Plus d’infections, d’inflammations et de SIDA de vaccination : un cardiologue japonais met en garde contre les injections de corona. Pensons vit. C !

Dans une lettre adressée aux éditeurs de la revue spécialisée « Virology », le chirurgien cardiaque japonais, le Dr Kenji Yamamoto, a demandé l’arrêt des boosters COVID-19 et a attiré l’attention sur les risques sanitaires liés à la piqûre au covid-19. Il y a de plus en plus de signes indiquant que le système immunitaire des personnes piquées est durablement affaibli – Hamamoto soupçonne entre autres un « sida vaccinal ». Le risque d’infection augmente donc. Il en a fait l’expérience avec des patients qu’il a opérés à cœur ouvert. Dans de nombreux cas, l’infection qui s’en est suivie n’a pas pu être éliminée, et dans certains cas, les patients sont décédés.

Dr Kenji Yamamoto

Depuis décembre 2021, le service de chirurgie cardiovasculaire de l’hôpital Okamura Memorial de Shizuoka aurait constaté, outre le COVID-19, des cas d’infections qui n’ont pas pu être maîtrisées après plusieurs semaines d’antibiotiques. Les patients ont montré des signes d’immunodéficience et quelques décès ont été enregistrés. Yamamoto fait référence à une étude publiée dans le célèbre « Lancet ». Elle montre que huit mois après l’administration de deux doses de la préparation génétique Covid-19, la fonction immunitaire des personnes piquées était plus faible que celle des personnes non piquées. Cela concerne surtout les personnes âgées et les personnes ayant des antécédents médicaux. Il renvoie également à la remarque de l’Agence européenne des médicaments (EMA) selon laquelle les boosters de Covid-19 fréquents peuvent nuire à la réponse immunitaire.

Protéines spike présentes dans le corps pendant des mois

La baisse de l’immunité après la piqûre génétique a plusieurs raisons, écrit Yamamoto. Premièrement, la N1-méthylpseudo-uridine serait utilisée comme substitut de l’uracile dans le code génétique. L’uracile est l’une des quatre principales bases nucléiques de l’ARN (similaire à l’ADN). Selon lui, cela déclenche un processus qui peut entraîner une diminution de l’immunité. Ainsi, les protéines spike ne se désintègrent pas immédiatement après l’administration de l’injection de gène d’ARNm. Elles circulent dans tout le corps pendant quatre mois. C’est sans doute pour cette raison que les autorités sanitaires américaines (CDC) ont discrètement supprimé de leur site web la section : « l’ARNm et la protéine spike ne restent pas longtemps dans le corps. »

Inflammations dues aux nanoparticules lipidiques

Hamamoto renvoie en outre à des études in vivo (sur l’organisme vivant) selon lesquelles les nanoparticules lipidiques (LNP, composants de la préparation génétique Covid-19) s’accumulent dans le foie, la rate, les surrénales et les ovaires et que l’ARNm encapsulé dans le LNP est fortement inflammatoire. Selon Hamamoto, les protéines spike nouvellement formées endommagent les cellules et les tissus qui sont programmés pour produire des protéines spike. De même, les « cellules endothéliales vasculaires » (une sorte de revêtement de la paroi interne des vaisseaux sanguins) sont endommagées par les protéines spike dans la circulation sanguine. Cela peut endommager les organes du système immunitaire, comme les glandes surrénales. Selon Hamamoto, un renforcement dépendant des anticorps peut en outre se produire, les anticorps renforçant l’infection atténuant l’effet des anticorps neutralisants dans la prévention de l’infection.

Le cardiologue évoque également le « péché originel antigénique » : Selon ce mécanisme, la mémoire immunitaire résiduelle de la préparation du gène Covid-19 pourrait empêcher le vaccin d’être suffisamment efficace contre les souches variantes. Ce mécanisme pourrait également être impliqué dans l’aggravation du Covid-19, précise-t-il. Il fait référence à des études qui indiquent un lien entre le traitement du gène Covid-19 et la réactivation du virus à l’origine du zona. Cette situation serait également appelée « sida vaccinal » (syndrome d’immunodéficience acquis par le traitement génétique). Pour des raisons de sécurité, il convient donc d’arrêter les autres boosters de Covid-19.

Risque de lésions organiques inconnues

En outre, la date de la vaccination et le temps écoulé depuis la dernière vaccination devraient être consignés dans le dossier médical des patients. En raison du manque de sensibilisation des médecins et du grand public au Japon, une piqûre de Covid-19 n’a souvent pas été documentée, comme c’est le cas pour la vaccination contre la grippe, critique Hamamoto. Jusqu’à présent, lorsqu’on compare les avantages et les inconvénients des traitements par ARNm, on recommande souvent la piqûre génétique, écrit Hamamoto. On part cependant du principe que les maladies cardio-vasculaires, notamment les syndromes coronariens aigus, vont augmenter en raison des protéines spike dans les vaccins génétiques. Outre le risque d’infection dû à la diminution des fonctions immunitaires, il existe un risque potentiel de lésions organiques inconnues dues à la préparation génétique. Il est donc indispensable d’évaluer soigneusement les risques avant les opérations et les procédures médicales invasives. En résumé, on peut dire que le traitement génétique COVID-19 est un facteur de risque important d’infections chez les patients en état critique, écrit le chirurgien cardiaque.

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3 Commentaires

  • c’est marrant cette obsession avec la vitamine c et le glutathion incroyablement stupide et montre la limite du personnage glauzy, je ne vois pas d’autres explications comme si la santé dépendrai de ces deux molécules, c’est toujours intéressant de voir les limites des humains et j’ai l’impression qu’ils ne faillent pas faire confiance aux humains, ils restent très très faillible et c’est normal si nous nous connaissons un poco.

    • Bonjour soyez moins sévère et un peu plus intelligent dans vos commentaires et renseigner vous un peu mieux et surtout aller sur le site Cogiito.com vous aller en n’apprendre beaucoup et vous serais moins bête. Bonne lecture

  • Il y a 30 ans déjà, Roger Dommergue affirmait que les vaccins détruisent le système immunitaire.

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