Ce que l’on ne vous révèlera Jamais : “Origines cachées de la Monarchie Angloise” par Pierre Hillard. Vidéo.

Ceux qui croient que la monarchie Angloise c’est de l’Anglais pur Sang en seront pour leur frais.

« En Angleterre, la Maison royale a une tradition de longue date, qui exige que tous les garçons de descendance royale soient circoncis par le Mohèl juif de Londres ».
Par ailleurs, le droit britannique comporte des lois directement issues du judaïsme, comme par exemple le droit d’aînesse et le droit des successions. Les unités de mesures spécifiques utilisées en Angleterre sont directement issue des unités de mesures de la loi juive (la coudée sacrée, etc …). Les souverains britanniques sont intronisés selon le rite juif : ils sont oints (de l’huile est versé sur leur tête). D’ailleurs, même le terme British vient des mots hébreux « Brit » et « Ich » (l’homme de l’alliance). En sachant que justement l’alliance est matérialisée par la circoncision.
Merci à Pierre Hillard d’avoir Honoré le Chef Pontiac de la tribu d’Ottawa. Lorsque nous serons au Pouvoir, le Chef Pontiac aura son nom dans Tous les livres d’Histoire afin que jaillisse PARTOUT la Vérité sur ce Grand Monsieur qui avait compris QUI était l’Ennemi.

Ne Jamais oublier que ce sont les Anglois aidés par les juifs impies qui ont inventé les primitives formes d’armes bactériologique en présentant aux Amérindiens des couvertures infectées à la variole.
Par la suite, ILS ont appelé ça : LE PROGRES.

Louis XV n’a fait que retranscrire LES FAITS qui se sont passés au Canada lors de la guerre de sept ans :
« Les Anglais ont été de tout temps les ennemis constants et implacables de notre sang et de notre maison ; nous n’en avons jamais eu de plus dangereux. »
- LOUIS XV (1710-1774), Lettre à Ferdinand VI d’Espagne, 1754. Correspondance de Louis XV et du maréchal de Noailles, tome II (1865).
Elle vient du SINGE la Variole, Goyim, ce n’est pas NOUS !

http://andreboyer.over-blog.com/2017/05/exterminer-les-indiens-par-la-variole.html

“Dommage pour les Indiens que les Français n’aient pas pu conserver le Canada, car ils leurs auraient permis d’échapper à la volonté exterminatrice des Britanniques qui ont utilisé la méthode des couvertures infectées lors d’autres conflits, comme en Nouvelle-Zélande.”
Extrait de l’ouvrage de D. Peter MacLeod, « La vérité sur la bataille des plaines d’Abraham », Les éditions de l’Homme, 2008 :
« — Combien de temps me reste-t-il à vivre ?
— Quelques heures à peine.
— Tant mieux, je ne verrai pas les Anglais à Québec. » (Montcalm)
Le 13 septembre 1759, les Britanniques remportent la première manche du siège de Québec à la bataille des Plaines d’Abraham.
La bataille des plaines d’Abraham s’inscrit dans le contexte plus large de la guerre de Sept Ans, première guerre mondiale opposant de 1756 à 1763 la France, l’Angleterre et leurs alliés respectifs, sur tous les continents.
La France s’intéresse à l’Amérique du Nord depuis l’expédition du Normand Jehan Denis en 1506 à Terre Neuve puis en 1508 par le navigateur dieppois Thomas Aubert.
Il s’agit alors d’expédition privée et il faut attendre 1524 pour que la couronne commandite les premières expéditions pour le compte de l’état.
Le 23 juillet 1534, Jacques Cartier pénètre dans le golfe du Saint-Laurent et prend possession du territoire au nom de François Ier. C’est le début de la Nouvelle-France.
L’essor des treize colonies britanniques d’Amérique du Nord et leur développement à l’ouest et au nord rend inévitable l’affrontement avec les possessions françaises.
Entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, Français et Britanniques se livrent à une deuxième guerre de Cent Ans sur le continent américain.
L’historiographie la baptisera « guerre intercoloniale » et en retiendra quatre, entre 1689 et 1763.
On peut même en retenir une cinquième, dans le cadre de la guerre franco-anglaise (1627-1629) au cours de laquelle la ville de Québec est une première fois occupée par les Anglais.
Au cours de l’ensemble de ces guerres intercoloniales, la France sort finalement vainqueur du bras de fer avec les Anglais.
C’est en 1759 que le destin des Français d’Amérique bascule.
Les Britanniques débutent le siège de Québec le 26 juin sous le commandement de James Wolfe et tentent une première invasion à Beauport le 31 juillet, qui se solde par un échec.
James Wolfe décide alors de changer de stratégie : plutôt que tenter un débarquement au nord-ouest de Québec il engagera ses troupes au sud-est de la ville : à l’Anse-au-Foulon.
Le 12 septembre 1759, vers 21h, les premiers soldats britanniques s’installent dans les barques qui doivent les transporter jusqu’au rivage.
Le débarquement britannique débute : la montre à gousset du capitaine britannique William DeLaune indique 4h07 du matin lorsqu’il met le pied à terre à l’Anse-au-Foulon avec un détachement de vingt-quatre soldats.
Au sommet des falaises de l’Anse-au-Foulon, soldats français et canadiens tirent dans l’obscurité en direction des barques britanniques.
Ces derniers escaladent les falaises et débordent rapidement les franco-canadiens.
Le soleil se lève à Québec lorsque le général britannique Wolfe revient au contact de son infanterie lourde restée positionnée sur le site du débarquement à l’Anse-au-Foulon.
Il ordonne à son infanterie légère et à ses grenadiers de s’assurer de la mainmise du terrain qu’il a choisi pour une bataille rangée comme il est d’usage en Europe : ce seront les champs de blés des plaines d’Abraham.
Il est 10h du matin lorsque le général Montcalm prend la tête des régiments de Guyenne et du Béarn et ordonne de battre la charge en direction des troupes britanniques.
Les premiers soldats s’arrêtent à environ cent mètres de la ligne ennemie et tirent sans qu’aucun ordre ne soit donné. La nervosité des troupes françaises est palpable.
La première salve étant inopérante du fait de la distance, les soldats français se rapprochent à trente mètres de l’ennemi pour tirer de nouveau.
Il faudra attendre la troisième salve française pour que les Britanniques engagent pour la première fois la riposte.
À la différence des Français, les Britanniques tirent de manière ordonnée, régiment par régiment, assistés de canons positionnés aux extrémités de leur ligne.
Défaites, les troupes régulières françaises battent en retraite.
Le général britannique Wolfe subit trois blessures par balle au cours de la charge contre les Français.
La première balle lui arrache les doigts de la main droite, qu’il recouvre d’un mouchoir avant de reprendre sa marche.
La deuxième balle l’atteint à l’abdomen, la dernière à la poitrine. Il s’effondre peu après. Il est remonté à bord du HMS Lowesoft après 11h, où l’on constate sa mort.
Alors que les soldats français se replient derrière les fortifications de Québec, a lieu une fusillade de plus d’une heure.
Elle oppose les Britanniques à des francs-tireurs Français mais surtout Canadiens et Amérindiens. Les Britanniques sont dominés techniquement.
Il est environ midi à Québec quand cessent les derniers coups de fusils entre les belligérants au pied des fortifications de Québec, mais les combats se poursuivent.
En début d’après-midi, approchant du lieu de débarquement britannique, Bougainville ordonne l’envoi d’un détachement d’une centaine de soldats afin de tenter de reprendre l’Anse-au-Foulon.
L’opération est un échec, les Britanniques font de nombreux prisonniers.
Montcalm se replie vers Québec lorsqu’il est atteint dans le dos.
Trois soldats l’empêchent de tomber de son cheval. Il mourra vers 4h du matin et sera enterré le jour même, vers 20h dans la fosse de l’église des Ursulines.
La bataille est terminée en ce début d’après-midi, elle a débuté vers 4h du matin pour s’achever vers 13h. L’heure est au bilan.
Les pertes sont sensiblement les mêmes des deux côtés : six cent cinquante-huit morts britanniques, six cent quarante-quatre morts français.
Si le gros des pertes françaises survient au cours de la bataille rangée de 10h, les Britanniques subissent l’essentiel de leurs pertes en fin de matinée.
A savoir lors de la fusillade réalisée par les miliciens canadiens et amérindiens qui couvre la retraite des troupes régulières françaises.
Il résulte de la défaite du jour l’initiative inouïe prise par le commandement français de quitter le camp de Beauport.
Cette décision est lourde de sens car elle a pour conséquence l’abandon pur et simple de Québec. En effet, la ville ne dispose que d’une garnison de deux mille cent hommes.
21h approche à Québec en ce 13 septembre 1759, les troupes françaises quittent Beauport par la route de Charlesbourg alors que les Britanniques débutent le siège de la ville.
Pilonnée, Québec est en ruine mais s’est défendue courageusement.
Le 15 septembre 1759, une assemblée de notables se tient dans la résidence en partie détruite de François Daine, lieutenant général de la Prévôté de Québec.
Cette assemblée donne les pleins pouvoirs à de Ramezay, lieutenant du Roi, pour négocier la capitulation de Québec.
Le matin du 18 septembre 1759, de Ramezay et Townshend signent la reddition de la ville dans le camp britannique.
Il est 15h30, le colonel George Williamson, de l’artillerie royale, hisse l’Union Jack au-dessus des murs de Québec.
La fin de l’Amérique française est militairement entérinée en 1763 par la cession de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne.
Cependant l’épopée française en Amérique se poursuit culturellement et politiquement au XIXe et au XXe siècle.
Grâce à la « revanche des berceaux » les Français du Canada constituent des familles de plus de dix enfants par femme.
Permettant ainsi de contrer efficacement l’immigration massive venue des îles britanniques, selon les plans théorisés par Lord Durham.
En 1831 quand Tocqueville part pour l’Amérique, il fait étape au Québec.
Il est ébahi de constater que le peuplement français du Canada est plus vivant que jamais, s’établissant à six cent mille personnes, contre soixante mille quatre-vingt ans plus tôt.
Les Canadiens tenteront même de s’émanciper de la couronne britannique lors de la Rébellion des Patriotes (1837-1838).
Dépourvu de soutien, y compris de la France de Louis-Philippe, le mouvement d’indépendance canadien sera étouffé dans l’œuf.
Le lien entre la France et l’Amérique française se distend alors, jusqu’au premier voyage au Canada d’un certain Charles de Gaulle en juillet 1944.
Comme Tocqueville cent ans avant lui, de Gaulle a le cœur serré lorsqu’il prend contact avec ce peuplement français de l’Amérique du Nord resté intact.
Les Français du Canada sont maintenant près de trois millions.
De Gaulle se le jure, il reviendra au Québec payer la dette de Louis XV. Ce sera chose faites en 1967.
Le 24 juillet 1967, il est en visite au Québec. Dans une atmosphère digne de la Libération de Paris, il invite Montréal à l’émancipation avec son fameux « Vive le Québec Libre ! ».
À son arrivée à Québec, de Gaulle tient à débarquer à l’Anse-au-Foulon ; à l’endroit où a eu lieu le débarquement anglais deux cent huit ans plus tôt.
Par ce geste, il ferme symboliquement la page de l’occupation britannique à Québec.
Soixante mille Français peuplaient le Canada en 1759. En dépit de leur isolement, ils sont parvenus à préserver leur langue, leur religion, leur mode de vie, en un mot la fierté de leur racine française.
Aujourd’hui, ils sont près huit millions à poursuivre encore et toujours le rêve français du Nouveau Monde.
Nous célébrerons en 2034 les cinq cents ans de l’Amérique française.
Beau bilan pour un peuple que lord Durham vouait à la disparition sous l’immigration de masse anglo-saxonne au XIXe siècle.
Illustration : extrait du film « le dernier des Mohicans », réalisé par Michael Mann, produit par Morgan Creek Productions, sorti en 1992.

263 ans jour pour jour hier : 13 septembre 1759 – 13 septembre 2022.
Merci à Pierre Hillard et à Raphaël de Géopolitique Profonde pour ainsi répandre LA VERITE contre le mensonge ravageur.

C’est un Rabin qui vient circoncire tous les mâles Windsor de saxe gotta.
Ils auraient usurpé de trône à la vrai lignée royale.
Voir sur Before it’s news, la video d’un enfant qui s’échappe nu avec des draps pour cordage du palais de Buckingham et tombe Du 3 ème étage.
Voir aussi Les témoignages de survivantes de chasses à l’enfant dans le parc Du palais et aussi ã balmoral, pareil por la reine Béatrix la cousine hollandaise. Chaque fois Les témoignages attestent que les flics sont complices.