Cherbourg. Franc-maçonnerie : “Notre ADN, c’est le compagnonnage avec la République” Georges Sérignac.

Et QUI représente la république donc ?


Les abcès purulents que sont la franc-maçonnerie et la république n’en finissent plus de nous étouffer avec leurs pus pestilentiels.
L’ADN de la maçonnerie, des Frères et de la république se trouve dans l’Oeuvre de Johan : LA FRANC-MACONNERIE, 300 ANS D’IMPOSTURE où le Parfum de la Vérité redonne Oxygène, Force et Vigueur.

Ce 15 novembre 2022, à Cherbourg (Manche), Georges Sérignac, Grand maître du Grand Orient de France, doit donner une conférence avec la loge maçonnique La Solidarité Jean-Goubert.

Georges Sérignac, Grand maître du Grand Orient de France.
Ce mardi 15 novembre 2022, dans le grand salon de la mairie de Cherbourg-Octeville (Manche), Georges Sérignac, Grand maître du Grand Orient de France, doit donner une conférence publique organisée avec la loge maçonnique de la Manche, La Solidarité Jean-Goubert, pour parler de « La franc-maçonnerie, aujourd’hui ».
Actu : En effet, quelle est la présence de la franc-maçonnerie aujourd’hui, en France et dans le monde ?
Georges Sérignac : Il faut distinguer deux franc-maçonneries. Il y a celle d’inspiration anglo-saxonne, très implantée en Grande-Bretagne et aux États-Unis, qui ne s’extériorise pas beaucoup. Née au XVIIIe siècle, elle connaît très vite une expansion en France, où elle va suivre une évolution très différente. Cette franc-maçonnerie d’inspiration française compte aujourd’hui environ 150 000 francs-maçons et au Grand Orient de France, l’obédience principale, nous sommes 53 000 environ. Hommes et femmes, plutôt issus des classes moyennes, de toutes professions.
Quels sont les engagements partagés, qu’est-ce qui fait que l’on devient franc-maçon ?
G.S. : Notre ADN, c’est le compagnonnage avec la République, l’attachement aux valeurs et aux principes de la République. La motivation principale de ceux qui rejoignent le Grand Orient de France, c’est cette volonté de participer encore à l’aboutissement du projet républicain, Liberté Égalité Fraternité ; on voit bien qu’il n’est pas encore abouti. Mais également le faire par la méthode maçonnique. Nous ne sommes pas une association comme une autre, on a des méthodes initiatiques, on utilise un langage symbolique, il y a toute une façon d’être, de se conduire et d’agir qui est au centre de la méthode maçonnique. Pour travailler d’une manière différente. Le Grand Orient de France est aussi un laboratoire d’idées, un lieu où l’on échange et où l’on réfléchit en se mettant en dehors du temps et du brouhaha du monde extérieur, à l’abri dans nos temples.
« Travailler d’une manière différente, à l’abri dans nos temples »
Quelles sont aujourd’hui les priorités du Grand Orient de France ?
G.S. : La priorité, c’est vraiment la défense de la République. C’est évidemment la défense de la laïcité. C’est aussi s’impliquer dans la défense des droits des minorités, des droits des femmes… C’est vraiment l’attention à l’autre. Dans les grands combats qui nous animent encore aujourd’hui, c’est aussi une interrogation très forte sur l’école, sur l’instruction publique. Cette année d’ailleurs, nous lançons de grands chantiers sur l’école, pour participer à une réflexion et faire avancer les choses. Nous travaillons également, par exemple, sur l’accueil des migrants, l’écologie, le climat et le futur de l’humanité… La philosophie humaniste est essentielle pour nous. C’est donc au cœur du travail de nos loges, qui font la franc-maçonnerie. Notre combat passe par des thématiques essentielles, comme la loi sur l’euthanasie, c’est un autre exemple, puisque c’est un sujet essentiel par rapport à la liberté de conscience que nous défendons.
Regagner « la bataille de l’image »
Comment arrivez-vous à « recruter » des gens sincères dans leurs intentions, et pourquoi aller de plus en plus vers le grand public ?
G.S. : On n’est jamais à l’abri de l’entrisme, d’infiltrations, mais chaque loge est très vigilante et on a des instances disciplinaires qui, dès que des débordements sont signalés, radient très rapidement ces membres, les écartent. C’est une mesure autoprotectrice. Ensuite, quand nous allons vers le public pour expliquer ce que nous sommes, l’idée est justement de toucher tous ceux qui sont en adéquation avec nos valeurs. Notre problème, ce n’est pas tellement ceux qui ne sont pas en adéquation avec nos valeurs et qui nous rejoindraient, mais c’est ceux qui sont en adéquation avec nos valeurs et qui ne nous rejoignent pas. Une grande partie de la population, on le sait par des enquêtes, ne trouve pas les solutions pour s’engager afin de servir leurs idées. C’est le but de nos conférences. Si on a perdu la bataille de l’image, il s’agit aujourd’hui de la regagner. Dans ma fonction de Grand maître, je suis disponible pour ça, pour transmettre le message auprès du grand public.
Propos recueillis par Géraldine LEBOURGEOIS
Conférence publique « La franc-maçonnerie, aujourd’hui » ce mardi 15 novembre à 20 heures, dans le Grand salon de la mairie déléguée de Cherbourg-Octeville. Accès par le portail de la rue de la Paix.
Renseignements : bernard.labbey@orange.fr.
LA PRESSE DE LA MANCHE : https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/cherbourg-franc-maconnerie-notre-adn-c-est-le-compagnonnage-avec-la-republique_55159160.html
Franc-maçonnerie : le Valdoisien Georges Sérignac élu à la tête du Grand Orient de France
À 67 ans, Georges Sérignac a été élu Grand maître du Grand Orient de France. Initié à Conflans-Sainte-Honorine, il est installé à Méry-sur-Oise, dans le Val-d’Oise, depuis 1980.

Vétérinaire de 67 ans installé à Méry-sur-Oise (Val-d’Oise) depuis 1980, père de quatre enfants, Georges Sérignac est devenu Grand maître du Grand Orient de France. La plus grande organisation maçonnique de France qui compte quelque 50 000 membres et 1 500 loges.
La cérémonie a eu lieu samedi 16 janvier lors de l’élection du nouveau bureau du Grand Orient de France. Pour le Conseil de l’ordre, deux candidats à la présidence s’étaient déclarés : Georges Sérignac et Stéphane Kotovtchikhine.
Vétérinaire à Méry-sur-Oise
Stéphane Kotovtchikhine s’étant retiré, c’est sans surprise que Georges Sérignac, 67 ans, a été élu, avec 31 voix et 5 bulletins blancs, Grand Maître du Grand Orient de France. Il a déjà occupé de nombreuses fonctions par le passé au sein du Grand Orient.
Georges Sérignac a été initié en 2002 à la R.L. Les sept frères d’Héliopolis de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, dont il est toujours membre. Il a présidé le Convent en 2014, et a fait un premier mandat au Conseil de l’Ordre de 2016 à 2019. Il a été premier Grand-Maître adjoint en 2017-18 et en 2018-19, en charge de la République, de l’école et de la laïcité.
« Je suis honoré et heureux d’avoir la confiance et la reconnaissance de mes sœurs et frères, mais je ressens aussi le doute que procure la pleine conscience de la difficulté de la fonction. C’est donc avec humilité et détermination que je l’aborde. Comme je viens de le dire, j’ai une réelle volonté de travailler avec les loges, en les rencontrant et en m’appuyant sur elles. La rencontre avec les loges est indispensable », a réagi Georges Sérignac lors d’une interview sur le blog maçonnique hiram.be.
Ouverture sur l’extérieur
Le nouveau Grand maître du Grand Orient, élu pour une durée d’un an, plaide pour une ouverture sur l’extérieur de cette obédience maçonnique.
« Je voudrais aussi, dans l’après Covid, poursuivre la réflexion entamée et en faire un fil rouge. C’est-à-dire que les loges du Grand Orient travaillent dans la durée sur une certaine réinvention du monde, sur une réorganisation en profondeur de la société. »Georges SérignacGrand maître du Grand Orient de France
Et de conclure : « La refonte de l’organisation de la société est maintenant une exigence quasiment publique. Contrairement aux politiques qui continuent à gérer ça de la même façon avec les vieux systèmes, la société civile bouge de plus en plus, craque même, les gilets jaunes en ont été un exemple. Il y a une mise sous cloche actuellement avec la pandémie, mais elle n’est que temporaire et quand la vie normale reprendra son cours, il m’apparaît souhaitable que nous ayons une réflexion sur ces questions. »
La Gazette Val d’Oise : https://actu.fr/ile-de-france/mery-sur-oise_95394/franc-maconnerie-le-valdoisien-georges-serignac-elu-a-la-tete-du-grand-orient-de-france_39144571.html
« Arrachez à la franc-maçonnerie le masque dont elle se couvre et faites-la voir telle qu’elle est. »
Saint Pape Léon XIII en 1884 dans son encyclique Humanum Genus.
Oui Saint-Père, de suite :

« En prenant possession de la loge de Béziers, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette âgée d’environ sept ans.
Commis par M. le procureur de l’Etat français, M. le docteur Roulaud, médecin légiste, se rendit le 19 décembre 1941, à 16 heures, à la Loge et dressa un rapport.
« Le cadavre examiné, y lit-on, est celui d’une fillette mesurant cent trois centimètres, et par conséquent, âgée d’environ sept ans. »
Le médecin légiste décrit ensuite minutieusement ce cadavre qui pesait deux kilos, dont les parties molles étaient « absolument desséchées, ligneuses et légères« . Les viscères avaient été enlevés. Il ne restait que le « squelette, les muscles des membres, avec des morceaux de peau parcheminée« .
Les vaisseaux artériels avaient été « colorés en rouge vif« , et les veines « injectées en bleu« . On avait conservé « la vessie et le rectum béants et parcheminés« .
Deux trous pratiqués dans le vertex permettaient de suspendre ce cadavre au mur, ajoutant à l’horreur du spectacle.
On avait, détail horrible, « respecté les paupières qui portaient encore leurs cils longs et blonds » et les lèvres qui bordaient « d’un mince liseré desséché une rangée presque intacte de petites dents jaunies ».
On pourra trouver deux reproductions photographiques du cadavre de la loge de Béziers dans les Documents maçonniques d’août 1942, p. 23.
Toutes les loges n’avaient sans doute pas les moyens de pousser l’usage de l’horrible aussi loin que la loge de Béziers, mais dans tous les cabinets de réflexion, on trouve des crânes, des tibias, des tentures de deuil, des transparents lumineux faisant apparaître un corps d’homme, des silhouettes en matières luminescentes, des squelettes en fer forgé peint, etc…
De toute manière, il s’agit d’inspirer l’horreur.
La découverte du cadavre de la loge de Béziers indigna, à l’époque, un public qui ignorait tout des cérémonies initiatiques dans la Franc-maçonnerie. « Sans aucune nécessité scientifique, écrivaient les Documents maçonniques, sans aucun droit, contrairement aux lois, la Maçonnerie s’est appropriée le malheureux cadavre d’une petite fille pour le faire figurer dans ses cérémonies macabres afin d’impressionner les Frères. »Le but était, évidemment, de placer ses adeptes dans un « état spécial d’hypnose intellectuelle et d’énervement physique », nécessaires à la préparation à l’initiation.
Jacques Ploncard d’Assac
Le secret des Francs-maçons (1979)
p. 131
Bonjour la Résistance,
Les loges maçonniques proclament sans ambiguïté leur déférence indéfectible envers la république et confirment ainsi leur lutte contre la France Chrétienne.
Tous les engagés dans la franc-maçonnerie devraient avoir conscience qu’ils sont des mercenaires participants au combat contre la France.
La guerre déclarée à la France le 22 septembre 1792 est toujours en cours et se sera jamais terminée tant que des Français et des Françaises sont fermement résolus à résister à l’usurpation de la gouvernance de la patrie.
Fraternités Cordiales à la communauté résistante.
Pour info : le plus ancien temple :. est le temple de David à Epône, construit en 1785. Michel Debré et 4 ministres s’y sont retirés en 1958 pour rédiger la constitution de la Vème République.
Mille mercis d’avoir republié les images des FM-décharnés!! Il n’y a rien de plus parlant. Merci à Bernard de l’info sur Debré, encore un formé talmud!
FLASH INFO – Brésil – La preuve du Fraude Electoral OCTOBRE 2022 – « LULA-GATE »
Pots-de-vins – NIXDORF – Cuba complice, etc.
https://youtu.be/w70_k57h6Lo
Bonsoir.