Madonna accusée de traffic d’enfants

La Fédération mondiale éthiopienne s’est adressée au président du Malawi, Lazarus Chakwera, pour lui demander d’enquêter sur les allégations d’homosexualité et de transsexualité liées à l’adoption d’enfants malawites, en vue d’un éventuel “trafic d’êtres humains et d’expériences sociales”. Au centre de la controverse se trouvent la “reine de la pop” américaine, Madonna, son association caritative, Raising Malawi, et l’exploitation par l’icône de la mode de l’autorité malawite et de ses enfants les plus vulnérables. La Fédération demande au président Chakwera de “restreindre son accès et celui de ses associés à l’Afrique et aux enfants africains, par mesure de précaution, jusqu’à ce qu’une enquête approfondie soit menée sur la traite des enfants, l’exploitation sexuelle, l’esclavage sexuel, l’inversion de l’adoption, la menace de coercition, la fraude, la tromperie et l’abus de pouvoir ou de vulnérabilité”. Le principe “innocent jusqu’à preuve du contraire” doit être rappelé dans cette affaire, mais il y a des faits indéniables à prendre en compte concernant Madonna qui la rendent inapte à côtoyer des enfants, et encore moins à avoir la possibilité de les influencer.
Madonna, qui se vantait que son fils adopté au Malawi était plus beau qu’elle dans ses vêtements, a été au centre d’une controverse en 2006 pour avoir fait irruption dans ce pays d’Afrique de l’Est (en jet privé de surcroît), pour avoir “dépassé les procédures normales” et pour avoir utilisé sa notoriété, son argent et ses “privilèges” pour avoir accès aux orphelinats du Malawi et adopter des enfants malawites. Le Comité consultatif des droits de l’homme (HRCC) a déposé à l’époque une motion visant à “garantir que la procédure d’adoption de Madonna respecte la lettre de la loi”. Mais elle a échoué. Madonna se sentait hors la loi et a trouvé un moyen de manœuvrer en dehors de la loi au Malawi. La loi sur l’adoption des enfants, qui régit le Malawi, est censée s’appliquer de la même manière à toute personne envisageant une adoption, quels que soient son statut et ses revenus. Comme le dit un défenseur des droits de l’enfant : “Les procédures sont là pour garantir que nous réduisons les incidences de la traite des enfants, pour réduire les incidences de la séparation des enfants de leurs parents… C’est pourquoi nous avons des règles.” Et maintenant, Madonna fait l’objet d’une enquête pour ces mêmes “incidences”.
Ironiquement, Madonna prétend faire avancer les droits des Noirs. Elle était une fervente partisane et participante des manifestations Black Lives Matter de 2020, assistant même à une manifestation avec des béquilles alors qu’elle se remettait d’une blessure. Le mouvement Black Lives Matter, bien connu pour sa présence autour du battage médiatique autour de George Floyd, a un objectif beaucoup plus large, notamment le rejet d’Israël en tant que “projet impérialiste”, “la perturbation de la famille nucléaire prescrite par l’Occident”, l’accent mis sur le colonialisme et l’obsession du “privilège blanc”. Malgré son plaidoyer en faveur des droits des Noirs, Madonna a fait irruption sans précaution au Malawi et s’est imposée pour créer un orphelinat. Cela fait maintenant dix-sept ans que Madonna a débarqué au Malawi pour “sauver” des enfants malawites. Madonna est connue pour ses coups de pub scandaleux et son comportement égoïste. La pétition de la Fédération mondiale éthiopienne déclare à propos de Madonna que “la psychologie qui sous-tend sa capacité à diffuser de la pornographie enfantine, de l’imagerie religieuse, de la bestialité et de la pornographie vulgaire l’a incitée à ouvrir un orphelinat au Malawi, baptisé “Raising Malawi”, en 2006, afin de mener des expériences sociales sur des enfants africains vulnérables au Malawi”.
Alors que Madonna fait aujourd’hui l’objet d’une enquête pour les horreurs de l’exploitation et de la corruption d’enfants noirs au Malawi, les voix habituelles, promptes à lancer des accusations de racisme, de colonialisme, de privilège blanc et autres, sont notablement silencieuses.
Récemment, le Premier ministre italien Giorgia Meloni, que les idéologues de gauche ont qualifié de “fasciste d’extrême droite”, a critiqué la France pour l’exploitation des enfants africains, notamment dans l’industrie minière aurifère, et pour son accueil hypocrite des migrants africains.
La politique de deux poids deux mesures des médias grand public et de l’industrie antiraciste d’extrême gauche est flagrante. Les véritables victimes continuent d’être ignorées, tandis que ceux qui dénoncent les abus sont réduits au silence. Les victimes, notamment les enfants africains, les femmes maltraitées en vertu de la charia, les chrétiens nigérians ravagés par le génocide, les femmes exploitées par des hommes transgenres dans le sport et violées par des hommes qui s’identifient comme des femmes, sont systématiquement ignorées.
POUR TOUT RENSEIGNEMENT :
laurentglauzy1@gmail.com
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ALERTE – BRESIL – COMBAT POUR LA LIBERTE 2023
Le peuple Brésilien ont bougé ! ENFIN !
“Lula” as envoyer des gangs armés pour essayer de detruire le mouvement, et des Policiers gazent des personnes sans defence !
Le peuple ont pris le Congres, la maison du Président, Le Tribunal Electoral Supreme, etc.
Ils sont des millions partout dans le pays. . . De plus en plus !
Priez pour une intervention militaire au Brésil et en France !
Amem.
Comme disait Soljenitsyne de ne pas confondre Soviets et Russes
[…] a critiqué la France pour l’exploitation des enfants africains,[…]
il convient de ne pas confondre la RDF (république démocratique de France ) avec la France
sur la photo, vous ne lui trouvez pas un air de Vanessa Paradis ?
Ce n’est même pas un sosie de Madonna, je ne sais pas ce qu’ils ont fait de Madonna, on ne le voit plus. Ce n’est pas qu’il me manque (bien au contraire !), mais ils auraient au moins pu choisir ou fabriquer quelqu’un d’un tant soit peu ressemblant.