Roselyne Bachelot veut raser des églises — La grande pitié des églises de France, de Maurice Barrès. Vidéos.

Image d’illustration : L’église de Villeneuve d’Amont dans le Doubs détruite par un incendie comme tant et tant d’Eglises de France qui partent sous les fumées complices de la république.
En pleine promotion de son dernier livre « 682 jours : le bal des hypocrites », l’ancienne ministre est revenue sur sa proposition concernant le patrimoine religieux français :
« Il va falloir choisir. Il y a un patrimoine cultuel du XIXe siècle qui n’a pas un grand intérêt. »
La journaliste la relance : « Il faudra donc les raser ? »
Rien de nouveau sous la république maçonnique qui RASE ET ECRASE TOUT CE QUI EST CATHOLIQUE.
De 1910 à 1914, Maurice Barrès mène campagne pour la défense des églises menacées de ruine. La loi de Séparation de 1905 a des lacunes, le Pape refuse la constitution d’associations cultuelles, le patrimoine religieux français est en péril. L’antidreyfusard du tournant du siècle dépasse ici ses engagements antérieurs et le seul combat clérical. Avec des hommes politiques de différents bords, des artistes, des critiques et des historiens de l’art, il œuvre à une prise de conscience de l’opinion publique et à un amendement de la loi.
N’excluant aucun des divers héritages qui ont façonné l’histoire de la France, Barrès considère les édifices religieux d’abord comme un « trésor national » qui constitue « la belle chaîne de l’art français » et doit, à ce titre, être préservé. C’est pourquoi il propose le classement global de toutes les églises – y compris les modestes églises de village – bâties avant 1800. Au musée, institution qui, selon lui, déracine, il préfère le patrimoine agissant in situ, qui incarne de manière concrète et immédiate la continuité historique de la nation et permet une adhésion de sentiment.
La grande pitié des églises de France, texte hybride et original – fait de débats parlementaires, dialogues, lettres ouvertes, articles, méditations métaphysiques –, est le journal d’une campagne réussie qui a contribué au vote de la loi de 1913 sur les monuments historiques. Œuvre souvent citée et pourtant mal connue, elle marque la naissance d’une conscience patrimoniale nouvelle.
Pour les églises de France : discours prononcé à la chambre des Députés le 25 novembre 1912 par Maurice Barrès :
https://books.google.com/books?id=3VotSMDUAicC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false

Jonathan Sturel a réédité au sein de la Délégation des Siècles :
https://www.ladelegationdessiecles.fr/la-grande-piti%C3%A9-des-%C3%A9glises-de-fran
La grande pitié des églises de France
Maurice Barrès
La grande pitié des églises de France, de Maurice Barrès, paru en 1914, vient d’être réédité. Dans cet ouvrage, le célèbre écrivain déplore l’abandon de beaucoup trop d’églises partout en France, à la suite des lois de Séparation de 1905. Révolté de voir s’écrouler ces monuments de notre conscience nationale, de notre histoire et de notre spiritualité collective, il prend le parti de les sauver. Il est rejoint par beaucoup d’autres consciences de l’époque, et parvient à imposer à la Chambre plusieurs discussions dans lesquelles il alerte ses pairs contre les dangers d’un abandon des édifices religieux.
Dans La grande pitié se trouvent rassemblés ses interventions à la Chambre, ses méditations sur la France des clochers, ses textes en faveur des églises et de la religion. Le lecteur y découvre un Barrès hanté par la défiguration de la France, scandalisé par le règne des « maires sectaires » qui, par anticléricalisme et athéisme militant, laissent souvent les églises de leurs communes s’écrouler pour s’en débarrasser. Les échanges à la Chambre sont rudes, combattifs et inspirants. Relire aujourd’hui ces discussions rappelle qu’il fut un temps où les parlementaires, sans distinction d’opinions politiques, avaient une culture, des lettres et un excellent usage de la langue. Nostalgie…
Publié il y a plus d’un siècle, ce livre est encore terriblement d’actualité à une époque où des églises sont abandonnées à la ruine et à l’oubli, généralement dans l’indifférence. La force du texte de Barrès réside dans sa capacité à fournir aux défenseurs des églises des outils intellectuels, des arguments, des pistes philosophiques et un accès vers l’amour de nos vieilles pierres. En cela, c’est un livre puissant et utile, une pierre importante de l’édifice français. À l’approche de Noël, après une année 2020 au cours de laquelle les fidèles ont été particulièrement malmenés, offrir ou s’offrir La grande pitié des églises de France de Maurice Barrès est comme une manière de se consoler et se ragaillardir !
309 pages, 14,77 euros.

Maurice Barrès nous a laissé dans son géni littéraire des Trésors de Culture Française enracinée dans le Terroir Catholique où est née la France.
« Cette voix des ancêtres, cette leçon de la terre que Metz sait si bien nous faire entendre, rien ne vaut davantage pour former la conscience d’un peuple. La terre nous donne une discipline, et nous sommes le prolongement des ancêtres. Voilà sur quelle réalité nous devons nous fonder. »
— Maurice Barrès, La Terre et les Morts, 1899.
« Certaines personnes se croient d’autant mieux cultivées qu’elles ont étouffé la voix du sang et l’instinct du terroir. Elles prétendent se régler sur des lois qu’elles ont choisies délibérément et qui, fussent-elles très logiques, risquent de contrarier nos énergies profondes. Quant à nous, pour nous sauver d’une stérile anarchie, nous voulons nous relier à notre terre et à nos morts. »
— Maurice Barrès, Amori et Dolori Sacrum, 1903.
« Je suis d’accord avec la critique catholique : la morale c’est la morale chrétienne. Est-ce à dire que l’artiste ne doit connaître et peindre que des situations édifiantes ? Voulez-vous écarter le monde immense des émotions, des passions de l’âme et des affections du cœur ? »
— Maurice Barrès, « Comment la critique catholique conçoit le rôle de l’artiste », l’Écho de Paris, 16 août 1922.
Que laissera Roselyne Bachelot dans les Mémoires de la France sinon que sa carcasse pourrissant sous la Grandeur des Cathédrales et des Eglises protégeant CETTE CROIX QUI DEMEURE.

Bonne et Sainte Semaine à Tous.
Cette personne est intrinsèquement néfaste. C’est elle qui en 2009 à introduit la psychose du H1N1 et voulait déjà déclencher le confinement que nous avons subis il y a bientôt 3 ans.
A l’heure des comptes qui ne manquera pas d’arriver, il faudra se rappeler de Mme Bachelot !
qui a certaines tendances, elle l’a avoué elle-même …
Ancienne ministre de la Culture de la République luciférienne des Loges franc-Maçonnes, Roselyne Bachelot dit que : « on construit trop d’églises en France et qu’il va falloir se résoudre à en raser (ou à les vendre à des particuliers), en particulier celles du XIXe siècle ! »
C’était exactement le programme des révolutionnaires fanatiques sanguinaires de 1789, dont elle se réclame, elle et son engeance maléfique et satanique dégénérée, c’est une ignorante crasse, une paranoïaque, une psychopathe son futur à elle, est en Enfer !!!
« A bien plus forte reprise, les révolutionnaires français sont passés maîtres es-Terreur auprès d’une population déchristianisée ! La Terreur révolutionnaire organisée par le pouvoir, a dépossédé les populations de leur religion, de leurs traditions, culpabilisé sur leur histoire, décérébré par la confiscation de la philosophie et des humanités chrétiennes » * Sermon et discours du Père Joseph d’Avallon, aumônier, lors de la formation de formation et de cohésion organisée par la section Ste Geneviève de Paris, le 8 janvier 2022.
Les agents dits « déchristianisateurs » de 1789 – 1792, se sont acharnés dans l’application des mesures antireligieuses. –Historiquement, culturellement, tant sur le plan architectural et mémoriel, la vente dit des biens
« nationaux » de 1790 à 1792, fut un désastre et une perte irrémédiable dans tout la France.. Le patrimoine religieux , dont les: monastères, abbayes, cathédrales…., fut saccagé, vandalisé, pillé, détruit, escamoté, vendu à la coupe, démoli.
Du reste, nulle part, les fanatiques, apostats et ignares administrateurs des département et des district ne surent apprécier les objets d’art de science et d’histoire, comme tableaux, gravures, statues, bas-reliefs, médailles, inscriptions, livres, manuscrits, chartes nobiliaires …qui furent vendus à vil prix, dérobés ou détruits. La circulaire de novembre 1792, exacerba tous les excès, les administrateurs des départements et des districts officialisaient une véritable répression, un fanatisme anti religieux, à l’encontre du Catholicisme : ils firent brûler partout les titres généalogiques et nobiliaires, marteler les inscriptions tumulaires, les armoiries et les fleurs de lys ; ils firent renverser les croix, mutiler les statues saintes, détruire tous les emblèmes religieux. Faire table rase (tabula rasa) de toute référence religieuse, tel était le programme satanique de l’Assemblée Nationale sous l’autoritarisme de Mirabeau.
Il a fallut attendre la période du Consulat :1799-1804, sous Napoléon Bonaparte, pour constater la dévastation antichrétienne. C’est à l’époque du XIXe siècle, que l’on a reconstruit, rebâtit dans la foi retrouvée, des chapelles, des églises, des oratoires, des hautes croix de Jubilé, des calvaires, de différents styles…..qui ont besoin d’êtres sauvés, protégés, sauvegardés et non démolis.