6 février 1934 : quand la république maçonnique corrompue a tremblé.

C’est le socialiste François de La Roque (en photo) qui a tout fait pour la sauver…….jusqu’à faire assassiner les Français qui combattaient pour LE BIEN COMMUN POUR TOUS, CONTRE LES VOLEURS.

Preuve, s’il en fallait une autre que la république maçonnique ne peut se maintenir qu’en répandant le Sang d’Innocents et ensuite se faire passer pour une “salvatrice” en médaillant les assassins tout en les qualifiant de “résistants”.

Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_de_La_Rocque

“La Rocque et les Croix-de-Feu se distinguent des autres ligues par leur respect de la légalité républicaine. Ainsi, après s’être délibérément abstenus de défiler sur le boulevard Saint Germain tout le mois de janvier 1934 aux côtés des ligues et de l’Action française, ils se décident à manifester le 6 février 1934, comme le font beaucoup d’anciens combattants. La tactique de La Rocque est cependant la suivante : pas de contacts avec les manifestants antirépublicains, pas d’intention de forcer les portes du Palais Bourbon : « Il était question de purifier la République, il eût été coupable d’en tenter le renversement ». C’est pourquoi les points de rassemblements décidés se situent dans l’espace délimité rive gauche de la Seine, par l’esplanade des Invalides, la rue de Varenne, la rue de Bourgogne, la rue de l’Université et la rue Saint-Dominique. Sur instruction de La Rocque, les Croix-de-Feu atteignent dans le calme les grilles du Palais Bourbon, sans chercher à les forcer malgré la faiblesse du barrage de police, qui interdit l’accès de la Chambre des députés. L’ordre de dislocation est donné par La Rocque à 21 h : on ne relève de ce côté de la Seine ni morts ni blessés. « Comment La Rocque a trahi » est le thème de la campagne de l’Action française le lendemain de cette posture indépendante et maîtrisée des Croix-de-Feu, une attitude qui sera reconnue par Blum lui-même : « Si la colonne qui s’avançait rive gauche aux ordres du colonel de La Rocque ne s’était pas arrêtée devant le mince barrage de la rue de Bourgogne, nul doute que l’Assemblée aurait été envahie par l’insurrection ».”


Le 6 février 1934, le radical Édouard Daladier présente à la Chambre des députés son nouveau gouvernement. C’est le prétexte à une violente manifestation antiparlementaire qui va faire trembler la République et susciter en définitive l’union des socialistes et des communistes, jusque-là refusée par ces derniers.

« Si le 6 [février 1934] fut un mauvais complot, ce fut une instinctive et magnifique révolte, ce fut une nuit de sacrifice, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une révolution nationale ».

Robert Brasillach.

J’ai vu les fosses de Katyn (par Robert Brasillach) | Jeune Nation

« Il faut avoir connu de près ces garçons des faubourgs et du Quartier Latin, défendant leurs fleurs de lys à deux contre quinze rouges, risquant joyeusement la prison, l’hôpital, le cimetière, leur enthousiasme à la veille du 6 février, ces gamins qui, dans la nuit de la Concorde, sous les sifflements des balles, à trente pas des mousquetons, lançaient posément des cailloux sur les casques des gardes mobiles. »

Lucien Rebatet.


Six-février : Solstice de la Nation

Février est un mois important pour tout nationaliste. C’est le mois des « Six-Février ». Le mois du souvenir. Le mois où une fois par an, le militant se rappelle avec plus d’intensité encore qu’il est le garant de l’œuvre civilisatrice de ses parents. Car une nation est comparable à un arbre : plus ses racines s’enfoncent profondément dans le sol et plus ses branches montent haut dans le ciel. Si, au sein de la nation, le mythe enflamme les énergies communes, le culte des anciens et des héros contribuent à forger l’âme d’un peuple, il est le révélateur d’un destin commun puisqu’il émane d’un passé commun. Et c’est parce qu’en nous brûle ce feu éternel de la mémoire que, même dépouillé de tout bien matériel, nous possédons une immense richesse, forte de 2 500 ans d’histoire. Là est le trésor de l’homme.

En février, le nationalisme fête l’anniversaire de deux événements majeurs, révélateurs à la fois de l’exemple à suivre et des erreurs à ne pas commettre.

Exemple à suivre que celui de l’engagement de Robert Brasillach et de l’idéal qu’il a servi jusqu’au sacrifice suprême. Le 6 février 1945, il affronte la mort avec un courage exemplaire. La perle de sang qui roule sur son front, habituellement encombré de son éternelle mèche tombante, symbolise à jamais la pureté de nos sentiments. « Le sang qui coule est toujours pur ». C’est le sang du poète qui nourrit, aujourd’hui, nos aspirations, ce sang qui rend fort, qui ordonne alors que l’honneur nous conduit, cette sève dans laquelle chaque nationaliste puise la volonté de se battre Robert Brasillach fait partie des guerriers qui, selon Péguy, « sont grands non parce qu’ils tuent mais parce qu’ils savent mourir. »

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Autre exemple à suivre, le sacrifice des morts du 6 février 1934 dont nous fêtons cette année le 80e anniversaire. Le vaste mouvement de colère qui ce jour-là embrase Paris s’inscrit dans un grand élan romantique d’espoir nationaliste, né dans la rue au cœur des peuples européens, au début du siècle. Il est le symbole du peuple debout, luttant pour abattre le régime parlementaire gangrené par les escrocs et les voleurs.

Par leur sacrifice, la journée du 6 février reste une référence, mais l’acte politique s’est avéré inefficace. Parce qu’il découle d’une volonté d’abattre un gouvernement, de chasser des hommes du pouvoir, sans remettre en cause de façon fondamentale le régime. En ce sens, le communiqué publié au lendemain de la journée d’émeute par l’Union nationale des combattants (UNC) qui a participé à la manifestation est très révélateur de ce manque de volonté réellement révolutionnaire des nationaux : « Le gouvernement de la nuit tragique a eu peur et a fui ! Vous avez gagné la bataille et quelle victoire pour l’avenir de la France ! » L’avenir de la France en 34 nous le connaissons, c’est le Front populaire en 36 et la guerre et la défaite militaire en 40 !

Le régime démocratique avec son expression parlementaire porte en lui de façon endémique toutes ses tares et ses défauts. Il ne peut être à terme qu’antinational puisqu’il consacre le règne de l’argent et le pouvoir de la finance. Vouloir restaurer la nation sans remettre en cause le régime, avec ses références, ses chants, ses symboles et son fonctionnement politique, au pire du crime contre la nation. Ce changement radical aussi bien du point de vue politique que philosophique n’est possible que s’il est mené par des hommes possédant les mêmes signes de ralliement, animés d’un même idéal, moteur de toutes les actions, formés à une même doctrine et étant d’accord sur l’avenir comme sur le passé. Ceci est l’apanage exclusif des révolutionnaires.

« Pour nous, nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seules les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une Révolution Nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu’importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n’empêchera pas ce qui a été d’avoir été. » (Robert Brasillach, Notre Avant-Guerre)

Yvan Benedetti pour Jeune Nation : https://jeune-nation.com/kultur/histoire/six-fevrier-solstice-de-la-nation-par-yvan-benedetti

Pour aller plus loin :

6 février 34 : Le vrai visage de la République (Léon Daudet)

Le 6 février, promesse de la délivrance (par Philippe Henriot)

6 février 1945 : Leur République assassinait Robert Brasillach

Robert Brasillach 31 mars 1909 – 6 février 1945

La république maçonnique a signifié à Yvan qu’elle annulait LE DEVOIR DE MEMOIRE NATIONAL.

Rien ne peut arrêter une ascension dont l’Heure est Venue.

Le jeune José Antonio Primo de Rivera a été emprisonné par le gouvernement communiste parce qu’il était coupable d’être le chef du mouvement qui cause le plus de problèmes à la dictature qu’ils voudraient établir en Espagne.

“L’interprétation Catholique de la vie est, en premier lieu, la vérité ; mais c’est aussi, historiquement l’Espagnole. Toute reconstruction de l’Espagne doit avoir un sens Catholique.”

José Antonio Primo de Rivera.

ON LES AURA CHERS AÏEUX.


2 Commentaires

  • des hommes avec des valeurs et une morale , des hommes qui ont choisi leur propre souveraineté et celle du peuple.

  • Il faut lire et relire les décombres de Rebatet sur ce sujet, sur deux incapables que furent tant Maurras que le colonel de la loque et ses froides queues.

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