Pro Fide Catholica

art. traduit de l’italien paru dans “Chiesa Viva” de mars 2023 (https://www.chiesaviva.com/569%20mensile.pdf)

Le phénomène COVID ne peut être traiter sans appréhender l’effondrement financier sans précédent qui menace l’ensemble du système financier mondial. L’histoire de la pandémie COVID-19 n’a aucun sens si on l’examine sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si l’on se place du point de vue de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert des richesses, tout est parfaitement logique.

Les blocages, les muselières obligatoires, l’éloignement antisocial et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique : ils n’ont jamais été conçus pour cela. Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, pour briser les esprits et les volontés, pour détruire le tissu social, afin de “reconstruire une société meilleure” conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre de classe.

Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires qui posséderont et contrôleront la planète comme un fief techno-féodal dans lequel l’humanité sera marquée numériquement et régulée comme du bétail dans une technocratie super-policière.

Ce que cette crise commodément inventée dissimule, c’est que nous sommes au beau milieu d’un effondrement économique total planifié, un effondrement qui était inévitable. La mise en place de la fraude COVID est devenue nécessaire lorsque les marchés mondiaux ont été confrontés à une grave crise de la dette à l’automne 2019, qui a émergé sur des marchés qui étaient auparavant essentiellement liquides : les marchés des pensions, les marchés monétaires et les marchés des changes.

Les gouvernements occidentaux se sont précipités pour sauver ce système en ruine, endiguer ce glissement de terrain catastrophique, sauver les investisseurs à grande échelle et installer de manière proactive des infrastructures de sécurité pour contrôler les troubles sociaux inévitables résultant de cet effondrement. Après une période d’hyperinflation, cet effondrement serait suivi d’une remise à zéro du système financier mondial qui détruirait à la fois la valeur de la dette et les créances papier correspondantes. Le système financier était déjà à un stade avancé de déclin à l’automne 2019, comme l’a illustré en septembre la prise de contrôle du marché Repo par la Fed pour court-circuiter l’apocalypse.

Cet effondrement a véritablement commencé en 2008/09, et les tentatives des 15 dernières années pour sauver ce système économique corrompu n’ont fait que retarder l’inévitable. À l’automne 2019, la crise a repris son expansion rapide. Une chute drastique de la production industrielle a caractérisé la crise bancaire d’août 2019 – dite crise Repo – lorsque les banques ont commencé à rejeter les titres de la dette souveraine américaine comme garantie pour les prêts au jour le jour, obligeant le gouvernement de la Réserve fédérale à intervenir en imprimant de l’argent pour couvrir cette pénurie massive. Sur le marché Repo, les banques empruntent de l’argent tous les jours, afin de disposer d’un certain pourcentage d’actifs liquides à la fin de chaque journée pour répondre à certaines exigences fiduciaires.

LE COVID A ÉTÉ CRÉÉ POUR SAUVER LA FINANCE MONDIALE.

Vers la mi-septembre, la Fed a commencé à injecter 10 à 20 milliards de dollars par jour sur le marché Repo, afin de maintenir les taux d’intérêt à un niveau bas et de permettre aux banques d’emprunter l’argent dont elles ont besoin pour poursuivre leurs activités. Malheureusement, cela n’a pas suffi. Début mars, la Fed a injecté 100 milliards de dollars sur le marché Repo pour enrayer cette crise majeure.

À Wall Street, tout le monde était accablé de dettes énormes et détenait des liquidités américaines pour honorer ces dettes, refusant de financer des achats de devises étrangères, puis de devises américaines, tandis que le marché des pensions s’arrêtait à un taux d’intérêt de 10 % sur les prêts au jour le jour. Les bons du Trésor américain et même les billets de banque américains ont été refusés comme garantie pour les opérations de pension.

En mars 2020, la crise de liquidité s’était propagée des marchés primaires des courtiers (les banques TBTF et les fonds spéculatifs ont été renfloués en septembre) à tous les autres titres, matières premières, obligations, titres adossés à des actifs, fonds communs de placement, fonds négociés en bourse, ainsi qu’à divers systèmes de Ponzi tels que les dérivés structurés, échangés sur des plateformes propriétaires représentant jusqu’à plusieurs milliers de milliards de dollars. Lorsque les bons du Trésor américain sont devenus illiquides en dollars américains, en raison de la croissance exponentielle de la dette publique et surtout privée, alors même que la Fed absorbait les liquidités des marchés financiers, l’enfer s’est déchaîné.

Le château de cartes qui s’écroulait depuis six mois ne pouvait être arrêté, et l’hystérie COVID a donc été fabriquée pour couvrir ce qui représente 10 à 15 000 milliards de dollars de renflouements en espèces et en actions par la Fed via des opérations permanentes d’open market (POMO) – une façon fantaisiste de dire que la Fed achète des obligations du Trésor, injecte de l’argent sur les marchés financiers et donne une valeur collatérale utilisée dans les produits dérivés structurés.

La dernière étape, actuellement en cours, consiste pour les banques centrales (Fed) à acheter toutes les dettes toxiques et sans valeur des fonds spéculatifs et des banques, y compris le quadruple de 1,5 trillion de produits dérivés, puis à transférer la dette au Trésor en tant que dette souveraine. Ensuite, ils imprimeront de l’argent indéfiniment, ce qui est déjà le cas, pour honorer cette dette fictive afin de faire couler le dollar par l’hyperinflation, puis ils s’empareront des États-Unis et de tous les autres détenteurs de dettes en dollars sans valeur.

Voilà l’astuce : l’hyperinflation mondiale pour vaporiser les actifs des masses et des États afin de céder les actifs publics aux investisseurs privés. Cela permet à la classe dirigeante d’engranger des actifs (petites entreprises en faillite, maisons saisies, etc.) pour s’approprier sans limites tout ce qui existe dans le monde.

L’arrivée de l'”urgence” Covid-19 a fourni la justification et l’occasion de geler l’effondrement bancaire américain par des injections massives de liquidités. Quelque 8 à 10 000 milliards de dollars ont été versés aux banques américaines jusqu’en mars 2020, et la Fed a promis 5 000 milliards de dollars supplémentaires pour stimuler l’économie. La croyance en une urgence médicale mondiale en mars 2020 est le résultat de la manipulation des médias, des techniques de conditionnement comportemental et de l’ingénierie sociale. Cela a été rendu possible par une programmation institutionnelle et des messages médiatiques intrusifs, obstruant les processus cognitifs de base et éliminant les possibilités de pensée critique.

En dehors de ce bombardement médiatique incessant et écrasant promouvant la théorie d’un virus pandémique mortel, aucune autre explication n’a été autorisée à exister dans les médias ou dans la conscience du public. Sans la menace d’un “virus tueur”, cet effondrement financier massif aurait immédiatement provoqué la panique et menacé la crédibilité du dollar. Sans l’écran de fumée du Covid-19, cette vaste chaîne de Ponzi et le transfert de richesse historique en cours seraient apparus pour ce qu’ils sont : un vol opéré par l’aristocratie financière.

OPÉRATION COVID : LE CHEVAL DE TROIE POUR INAUGURER LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

Comme l’a montré la “guerre contre la terreur”, ces événements sont conçus pour exploiter le plus grand nombre d’opportunités possible. La “pandémie de Covid”, qui remplace la fausse “guerre contre la terreur”, est une autre “crise mondiale” instrumentalisée qui se transforme miraculeusement en opportunité pour la classe dirigeante. Si le besoin immédiat était d’arrêter l’hémorragie du système financier mondial, de nombreux autres objectifs ont été et sont servis par cette opération à multiples facettes. Rien de tout cela n’est accidentel. Tout cela est caché au grand jour, planifié et exécuté, comme en témoignent de multiples exercices de simulation tels que l'”Événement 201″ et de nombreux documents tels que l'”Agenda 2030 pour le développement durable”.

Le Covid lui-même couvre de nombreux objectifs :

1.         Anticiper et dissimuler les raisons de l’implosion économique susmentionnée ;

2.         Accélération du plus grand transfert de richesse vers le haut de l’histoire de l’humanité ;

3.         Motivation et enracinement de l’État de biosécurité, y compris la surveillance de l’IA dans de multiples secteurs de la société ;

4.         Renforcement et enrichissement du cartel des technologies avancées, par le suivi des applications, la prolifération et la normalisation des médias sociaux et des plateformes de communication en tant qu'”intermédiaires” dans toutes les sphères de la vie. L’évolution de toute la vie sociale vers l’impératif technologique : les repas commandés via DoorDash, les réunions sur Zoom, l’augmentation des dépenses via Visa/MasterCard, la commande de biens en ligne avec Amazon, les films via Netflix, etc. ont tous été imposés à un public mondial crédule et largement subjugué pendant la tyrannie de Covid ;

5.         La création de la “pandémie” en tant que mécanisme financier. Les pandémies fabriquées sont devenues de gigantesques opportunités d’investissement qui augmentent la richesse des milliardaires et consolident leur pouvoir ;

6.         Expansion de l’industrie de la santé publique dans tous les secteurs de la vie publique et économique. L’industrie de la santé est désormais directement liée aux marchés mondiaux et aux conglomérats financiers et est devenue l’un des instruments financiers les plus importants pour les investisseurs ;

1.         Création d’un système biomédical de “gestion de la santé” entièrement nouveau et rentable pour introduire et coder un modèle médical biotechnologique axé sur des “vaccins” ARNm téléchargeables “révolutionnaires” ;

2.         Élargissement et normalisation de l’utilisation des cartes d’identité numériques, y compris des passeports pour les vaccins, en les reliant à une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) ;

3.         Système de revenu de base universel (RBU), pour suivre les achats, les interventions médicales, les “choix de vie”, etc. ; pour nous inciter à adopter le comportement “désiré” ou nous exclure complètement du système, à leur discrétion ;

4.         La réorganisation, la privatisation et la réduction des services publics sous le prétexte de les rendre “plus agiles” pour les “urgences publiques” ;

5.         Conditionner le public à des “états d’urgence” perpétuels pour le préparer à la mise en œuvre de l'”Agenda 2030 pour le développement durable”.

Nous vivons la plus grande criminalité organisée au monde depuis la Seconde Guerre mondiale. Certains l’ont compris. D’autres sont encore endormis ou traumatisés, alors que le tissu social vole en éclats et que le monde qui les entoure est complètement transformé.

Les élites financières :

1.         Elles savent qu’elles ont accumulé des dettes énormes et des déficits impayables.

2.         Elles savent que les promesses de pensions et d’avantages sociaux ne pourront pas être honorées.

3.         Ils savent que le système a atteint son Waterloo et que les troubles sociaux sont inévitables.

4.         Ils savent qu’ils doivent agir rapidement et de manière globale pour éviter cet effondrement afin de protéger le Léviathan financier dont dépend leur capacité à maintenir leur pouvoir et leur contrôle. En d’autres termes :

LE COVID-19 N’ÉTAIT PAS UNE URGENCE SANITAIRE GÉNÉRALISÉE, MAIS UN PLAN DE BLANCHIMENT D’ARGENT, UNE OPÉRATION PSYCHOLOGIQUE DE MASSE ET UN ÉCRAN DE FUMÉE POUR UNE RÉVISION ET UNE RESTRUCTURATION COMPLÈTES DE L’ORDRE SOCIAL ET ÉCONOMIQUE MONDIAL ACTUEL.

L’ÉVÉNEMENT MÉDIATIQUE DU COVID-19 ÉTAIT LE CHEVAL DE TROIE CONSTRUIT POUR INAUGURER UNE TRANSFORMATION COMPLÈTE DE NOTRE SOCIÉTÉ. L’OPÉRATION COVID-19 N’A JAMAIS ÉTÉ UN ÉVÉNEMENT ÉPIDÉMIOLOGIQUE, MAIS UN MODÈLE ÉCONOMIQUE CONÇU POUR GROSSIR LES PORTEFEUILLES DES SUPER RICHES. LE “COVID-19” N’EXISTE PAS, SI CE N’EST EN TANT QU’ASSOCIATION DE MALFAITEURS.

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