Un sourd-muet recouvre la voix en découvrant le jour de Pâques la tombe de la Mère de la ste Vierge.

Merci au Dr Orgeret et à sa femme qui m’ont fait connaître le récit de la découverte de la tombe de sainte Anne .
Sainte Anne mourut à Jérusalem, mais tous les historiens s’accordent à reconnaître que son corps n’y est pas resté. Un document pontifical nous autorise à croire que c’est l’Eglise d’Apt qui reçut et conserva les précieuses reliques de la Sainte.
Un miracle devait le faire retrouver à la fin du VIIIe siècle, lors d’une visite que Charlemagne fit à la ville d’Apt, à son retour d’Espagne, où il avait battu les Sarrasins.
L’empereur se trouvait dans la cathédrale d’Apt, le jour de Pâques 792. Le monarque assistait à l’office, entouré de ses chevaliers et du peuple.
Tout à coup, un jeune homme aveugle et sourd-muet, fils du seigneur Caseneuve de Simiane, chez lequel l’empereur avait accepté d’être l’hôte, entre dans l’église, comme guidé par une main invisible, et fait signe qu’on enlève une dalle et qu’on creuse.
Charlemagne voulut que l’on obéît à son désir. On lève la dalle, on creuse, on découvre une crypte où étaient des reliques.
Et voilà que le jeune homme, soudainement guéri, s’écria : — « C’est elle ! ».
« C’est elle ! », répéta Charles, et avec lui la foule.
La châsse qui se trouvait au fond de la crypte fut ouverte et sur un voile qui entourait les reliques, on put lire : « Ici repose le corps de sainte Anne, Mère de la glorieuse Vierge Marie ».
[Ajout de Laurent Glauzy : Le corps de saint Anne était parfaitement intact, et une lumière qui brûlait depuis plusieurs siècles, comme pour garder les reliques, s’éteignit.]
Pendant quatre siècles, les reliques de sainte Anne furent honorées dans la crypte où on les avait découvertes. Des Papes et des Rois y vinrent en grand nombre, attirés par l’immense concours des peuples qui obtenaient de la sainte de nombreuses faveurs.
Le 21 avril 1392, la translation des saintes reliques eut lieu dans la nouvelle chapelle, élevée en leur honneur par la famille 0llier, de Paris.
La reine Anne d’Autriche, désolée de n’avoir pas d’enfants, recourut à sainte Anne, et pour la remercier de la faveur obtenue en la personne de son fils Louis XIV, elle vint en pèlerinage à Apt, le 19 mars 1660.
Elle fit construire à côté de la cathédrale, une jolie chapelle, sur le modèle de sainte Marie Majeure, où le corps de sainte Anne fut transporté.
Résumé tiré du texte intégral écrit par les abbés H. Bossus et J. Thomas (http://www.infobretagne.com/sainte-anne.htm)
LE RECIT DE CET ENFANT SOURD-MUET PEUT ETRE TRANSPOSE AUJOURD’HUI. RIEN N’EST IMPOSSIBLE A DIEU ET LES VACCINES PEUVENT GUERIR S’ILS LE DEMANDENT A LOURDES OU DEVANT LES RELIQUES D’UNE SAINTE COMME SAINTE CATHERINE DE L’ENFANT JESUS, COMPLEMENT INTACTE ET CHAPELET EN MAIN.
LE DR KARL LUEGER (+1905 )- LE PLUS GRAND DES POLITICIENS QUI DONNA TOUT AUX PAUVRES ET COMBATTIT LES ROTHSCHILD
Renseignements : laurentglauzy1@gmail.com

MAGNIFIQUES CHAPELETS ENTIEREMENT FAITS MAIN PAR UNE COMMUNAUTE CATHOLIQUE ANTIVATICAN BAVAROISE
Nous proposons de cette communauté, le chapelet “conventionnel” monté de la médaille de saint Benoît et le chapelet de saint Michel dédié aux neuf Choeurs des anges.

Dimanche 9 avril 2023.
Saint Jour de Pâques
La fête des fêtes
Dimanche de la Résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Station à Sainte Marie-Majeure.
Lecture de l’épître du Bienheureux Apôtre Paul aux Corinthiens
1 Corinthiens 5,7-8:
« Mes Frères : purifiez-vous du vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, comme vous êtes des pains sans levain. Car le Christ, notre Pâque, a été immolé. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, ni avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains de levains de la sincérité et de la vérité.»
Séquence
« A la victime pascale, que les Chrétiens immolent des louanges.
L’Agneau a racheté les brebis : le Christ innocent a réconcilié les pécheurs avec son Père.
La vie et la mort se sont affronté en un duel prodigieux : l’Auteur de la vie était mort, il règne vivant.
Dis-nous, Marie, qu’as-tu vu en chemin ?
J’ai vu le tombeau du Christ vivant, et la gloire du ressuscité.
J’ai vu les témoins angéliques, le suaire et les linceuls.
Il est ressuscité, le Christ, mon espérance : il vous précèdera en Galilée.
Nous le savons : le Christ est vraiment ressuscité des morts : ô Vous, Roi vainqueur, ayez pitié de nous.
Amen. Alléluia, Alléluia, Alléluia !.»
–Chapelle St Anne à Vellefaux- sur les hauteurs du village de Vallerois-Lorioz, dans le Pays des sept rivières, du département de la Haute-Saône, en Franche-Comté.–
Historique de l’établissement de la chapelle et du sanctuaire.
Un jour, un paysan trouva une statuette de Sainte Anne dans un buisson. Cette statuette fut placée dans l’église de Vellefaux d’où elle s’échappa pour retourner dans son buisson. Une chapelle fut donc érigée à cet endroit.
Chose étonnante, lorsqu’on décide de mettre la statuette en sécurité dans l’église du village, on l’a retrouve quelques temps plus tard dans le buisson. La période historique de cet évènement se situe vers l’an 548.Trois années plus tard, en l’an 551, un ermitage est érigé sur cette colline en l’honneur de la Sainte et de cette trouvaille si particulière. Au Moyen Âge, le village subit de terribles épreuves, tout d’abord la peste, puis l’invasion barbare des Suédois.
Les fidèles demandaient l’intercession de Sainte Anne dans de nombreux cas, surtout en cas de sècheresse ou de mauvais temps.
Au XVIIème siècle, la famille de Grammeret fit construire une propriété qui fut ensuite donnée aux ermites de l’Ordre de Saint Jean Baptiste, d’où le nom d’ermitage qui est resté.
Il fut restauré ainsi que la chapelle dans les années 1990.
Le culte de Sainte Anne fut popularisé en Occident, au cours du XVe siècle par les prédications d’ordres religieux, notamment celles des Franciscains et des Carmes. En 1584, l’Eglise établit le culte de Sainte Anne.
Un pèlerinage a lieu le dimanche au plus près du 26 juillet chaque année est organisé et se rend à la chapelle, point culminant de Vellefaux. Sur les hauteurs du village de Vellefaux se dresse la charmante chapelle Sainte-Anne en pierre, érigée en 1650 et se présente comme un enclos paroissial breton. Arrivé au sommet de la colline Sainte-Anne, à 412 mètres d’altitude : une chapelle toute en pierres sur la gauche, entourée d’un muret . C’est un moment hors du temps, un petit coin de paradis. C’est l’un des pèlerinages le plus ancien de la région. Autrefois, les fidèles des bourgs des alentours, accédaient à la colline, par des sentiers serpentant au flanc de la colline, car aucune route ne conduisait au sommet. Le site, apaisant et silencieux, offre une vue imprenable sur les vallées de l’Ognon, du Doubs et de la Loue. Ressourçant.
Vellefaux se situe en Haute-Saône, à quelques kilomètres de Vesoul. La chapelle Sainte-Anne est indiquée depuis le centre du village, sinon, prenez la petite route qui mène au cimetière et continuez durant 1,5 kilomètre. Arrivé au sanctuaire, il est possible d’effectuer une boucle à pied (prévoir de bonnes chaussures). Pour se faire, continuer le chemin qui contourne la chapelle et qui part dans le bois de Ste-Anne. Après 1400 mètres tourner à gauche, puis marcher 1800 mètres pour arriver à Vallerois, tourner de nouveau à gauche et longer la route (D108) jusqu’à Vellefaux, repartir au cimetière, et monter jusqu’à la chapelle. La chapelle est ouverte aux visiteurs toute l’année.