Canada/France : Vague de démissions sans précédent dans la Police à Montréal et dans la Police et la Gendarmerie en France.

Au lieu de démissionner, on peut aussi décider de servir LE BIEN COMMUN et donc D’ALLER CHASSER LES MARCHANDS DU TEMPLE.

CANADA
«C’est du jamais-vu» : une vague de démissions sans précédent inquiète au SPVM.
Le syndicat sonne l’alarme sur le nombre record de départs à la police
Une vague de démissions sans précédent frappe les rangs de la police de Montréal, au point où le président du syndicat s’inquiète sérieusement pour la santé des patrouilleurs.
«C’est du jamais-vu», lance avec aplomb Yves Francœur, à la tête de la Fraternité des policiers et policières de Montréal. «Auparavant, ça se bousculait aux portes pour venir travailler à Montréal, et là, c’est le contraire. On a actuellement plus d’une centaine de policiers qui sont en processus d’embauche à la SQ ou à la GRC.»
En 2022, 218 employés ont quitté le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM): 144 personnes ont pris leur retraite et 74 ont démissionné. Selon les chiffres fournis par la Fraternité, environ 200 embauches ont été réalisées pendant cette même période. Si l’on compare à l’année dernière, on dénombre actuellement 45 policiers de moins au SPVM.

PHOTO PIERRE-PAUL POULIN
Mercredi, l’organisation syndicale a envoyé un message à ses milliers de membres afin de revenir sur un temps des Fêtes particulièrement intense.
Si la convention collective prévoit normalement que les agents doivent avoir congé soit à Noël soit au jour de l’An, nombreux sont ceux qui ont dû enfiler leur uniforme lors des deux célébrations. Et c’est sans compter les policiers qui ont dû faire des heures supplémentaires obligatoires pendant les Fêtes, faute de personnel.
«Le repos, c’est important dans notre travail, explique M. Francœur. Nos gens ont à prendre des décisions importantes en une fraction de seconde. Les gens sont épuisés.»
- Écoutez l’entrevue de Richard Martineau avec Yves Francoeur, Président de la fraternité des policiers et policières du SPVM sur QUB radio :
https://omny.fm/shows/richard-martineau/spvm-ces-gens-l-ont-tous-quitt-une-ou-deux-excepti/embed
De plus en plus de détresse
Devant ce constat, la Fraternité s’inquiète donc pour la santé physique et mentale des policiers. Pour preuve, entre 2017 et 2021, le syndicat a relevé une hausse de 56 % des demandes de consultation au programme d’aide aux employés.
Par ailleurs, de nombreuses escouades ont été créées au cours des dernières années pour répondre à des problématiques urgentes, comme le projet ARRET, qui a nécessité 68 policiers pour lutter contre la violence armée dans la métropole.
«C’est bien beau les escouades, mais chaque fois qu’ils en font une, ils enlèvent un policier de la route et ils ne sont pas capables de les remplacer, explique un policier sous le couvert de l’anonymat. Résultat: on se retrouve avec du temps supplémentaire obligatoire en malade et parfois même trop peu d’effectifs pour couvrir convenablement le territoire.»
- Écoutez la rencontre Lisée – Mulcair avec Jean-François Lisée, chroniqueur politique et Thomas Mulcair, analyste politique au micro de Richard Martineau sur QUB radio :
https://omny.fm/shows/richard-martineau/les-goldens-pinocchio-de-thomas-mulcair/embed
Faible engouement à Nicolet
Et la tendance se maintient à L’École nationale de police du Québec, à Nicolet, où rares sont les aspirants policiers qui souhaitent venir travailler à Montréal, indiquent nos sources. Selon la Fraternité, le salaire dérisoire à l’embauche, le manque de soutien de la Ville, le quotidien plus dangereux et violent, l’habitude qu’ont les citoyens de filmer les interventions policières, l’absence de stationnement et le coût exorbitant des loyers sont les facteurs principaux de ce manque d’engouement.
Le SPVM a préféré s’abstenir de commentaires, jeudi, afin de ne pas nuire au renouvellement de la prochaine convention collective, présentement échue, et dont les négociations sont entamées.
Le Journal de Montréal : https://www.journaldemontreal.com/2023/01/12/une-serie-de-demissions-inquietantes-au-spvm
EN FRANCE, PAS UN MOT DANS LES MEDIAS ALIGNES !
Cataclysmique vague de démissions dans la police et la gendarmerie !
Tout cela passe bien entendu sous les radars. Mais le très complotiste et gauchiste rapport annuel sur le budget de l’Etat publié par la Cour des Comptes donne quelques précieuses indications sur la déroute du service public en cours (soigneusement niée par la caste et ses représentants, dont Macron, qui nous expliquent qu’ils guident le pays vers la joie). Par exemple, 10% des forces de l’ordre ont quitté leur corps en 2022 (année, il est vrai, suivant l’obligation vaccinale pour les gendarmes) dont une part seulement du fait des retraites. Le taux moyen de démission dans les entreprises en France est de 2,7% annuellement. Des policiers et des gendarmes qui démissionnent beaucoup plus que les autres salariés ? Tiens donc. Et pourtant, les mêmes ont bénéficié d’une hausse de salaire de près de 750 millions € entre 2016 et 2022, soit pas moins de 400€ de primes annuelles moyennes…

S’il fallait un seul chiffre pour illustrer la grave crise que la police et la gendarmerie traversent, il tient au chiffre des départs annuels dans ces corps, qui ont atteint un record en 2022, à la faveur de l’obligation vaccinale qui a conduit à maltraiter de nombreux gendarmes (les policiers y ont échappé).
https://lecourrierdesstrateges.fr/author/eric-verhaeghe/


Démissions France en 2022 : 3.000 gendarmes et 2.600 policiers. Suicides : depuis le 1er janvier 2023, 6 Gendarmes, 6 Policiers. Suis d’accord avec vous: ”’Au lieu de démissionner, on peut aussi décider de servir LE BIEN COMMUN et donc D’ALLER CHASSER LES MARCHANDS DU TEMPLE!” Avec les sordides transgenres, ces abdications terribles, sont les plus dures épreuves du temps. Les démissionnaires réunis suffiraient pour aller ligoter le bri-jean-mich ou macron.