Ecorcher un juge corrompu.
Ecorcher un juge corrompu. Qu’est ce que ça serait alors aujourd’hui où la pseudo-élite est pédosataniste et maçonnique ?
Le premier grand historien et voyageur de l’Antiquité, Hérodote d’Halicarnasse (484-420 av. J.-C.), a écrit une histoire très intéressante décrivant l’écorchement vivant d’un juge corrompu.
Sisamnes (vieux persan Chiçamanah) était juge sous le règne du grand roi perse Cambyse II (vieux persan Kambudjia). Selon l’histoire, il fut condamné pour avoir accepté des pots-de-vin et prononça par la suite une sentence injuste. Le Grand Roi Cambyse lui-même ordonna son arrestation et son châtiment exemplaire.
Le terrible châtiment de Sisamna fut d’être écorché vif. Cette méthode d’exécution cruelle était pratiquée en Perse ainsi qu’en Babylonie et en Chaldée. La mention de ce châtiment apparaît pour la première fois dans le code akkadien (région de Mésopotamie), rédigé aux alentours de 1900 av. À partir de l’empire akkadien, ce châtiment s’est progressivement répandu dans d’autres pays du monde et était appliqué contre les ennemis de l’État. Le plus ancien relief représentant l’écorchement provient d’Assyrie.
Les Perses auraient exécuté de cette manière l’empereur romain Publius Licinius Valerian. En Perse, souvent, seules certaines parties du corps étaient écorchées et le condamné pouvait survivre. De la Perse, l’écorchage a gagné Rome et la Grèce. Il convient de mentionner que l’écorchage était connu dans toute l’Asie mineure, chez les Chinois, les Mongols et les Japonais. Il était même pratiqué par les Incas et les Aztèques, qui avaient un dieu écorché, Xipe Totec.
Pour l’exécution du châtiment lui-même, on utilisait non seulement des couteaux spéciaux pour découper, mais aussi des fragments tranchants de coquillages. En Europe, l’écorchage était surtout pratiqué comme méthode de torture : des bandes de peau étaient découpées dans le dos et sur la poitrine du condamné. Il s’agissait généralement d’une méthode de punition populaire dans les sociétés pastorales et, jusqu’à récemment, elle était pratiquée, par exemple, par les Kirghizes, qui étaient également recherchés dans le passé pour leurs compétences en matière d’écorchage.
C’est à eux que l’on attribue la capacité d’écorcher un condamné de manière à ce qu’il vive l’ensemble de la procédure en pleine conscience. Il convient toutefois de noter que la grande majorité des personnes avaient auparavant succombé à l’exsanguination ou au choc de la douleur elle-même.
Mais revenons à l’histoire de l’exécution de Sisamnes. Sa peau fut tannée et utilisée pour recouvrir la chaise sur laquelle il présidait les procès. Sa fonction passa ensuite à son fils Otanes (Utanus en vieux persan). Ce dernier, conscient du sort de son père, n’a jamais prononcé de sentence contraire à la loi et, sans surprise, n’a jamais accepté de pot-de-vin. De quoi éduquer les fils des ministres crapuleux (dont celui du sang contaminé) qui font la politique des loges et des instances sataniques.
L’auteur de la peinture à l’huile “Le jugement de Cambyse” de 1498 est le peintre flamand Gérard David (1460-1523). Il s’agit de la partie droite d’un diptyque, c’est-à-dire d’un retable à deux feuilles illustrant l’histoire du juge corrompu Sisamnus.
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Des châtiments qui passent à la postérité.
Dont on parle encore comme la bataille des 300, etc.
Ont l’avantage de ne jamais être oubliés, planant toujours.
Savez-vous sous l’impulsion de qui , la peine de mort a été abolie ? …
Ceux qui prévoyaient de faire des saloperies.
Leur plan a été relaté à maintes reprises.
Heureusement, la justice militaire est encore de mise pour haute trahison, ce que toute cette plandémie Covid est.