B17 – “crabe” & troubles urinaires

A titre personnel, je constate des nuits complète depuis que je prends la B17 que j’achète en Allemagne. En France, où Big-pharma règne en maître occulte, il et très difficile voire impossible d’en trouver. J’ai donc tendance à croire qu’elle a un effet très posirtif sur la prostate.

INFORMATION POUR COMM EN ALLEMAGNE : laurentglauzy1@gmail.com

Actuellement c’est très peu connu du grand public malheureusement de nos jours c’est pour cela que je me dois de vous aviser.

Je vais donc vous rafraîchir la mémoire avec des informations très fraîches.

La laetrile, ou vitamine B17, est une découverte ancienne de presque 2 siècles. Certaines études lui ont trouvé des vertus pour lutter contre le « crabe » et elle fait partie de l’alimentation de certaines tribus dont la longévité est étonnante.

Pourtant, l’utilisation de cette substance, présente dans les noyaux de fruits comme les abricots, a été placée aux oubliettes. Des rapports l’ont jugé inutile voire dangereuse. La laetrile présente-t-elle vraiment de risques ou a-t-elle été sacrifiée pour éviter de concurrencer les médicaments contre le « crabe ».

Qu’est ce que la laetrile ou vitamine B17 ?
La laetrile est un composé organique dérivé de l’amygdaline, une substance qui a été découverte dans les amandes amères en 1830 par deux scientifiques français : Pierre-Jean Robiquet et Antoine-François Charlard. L’amygdaline est ensuite trouvée dans de nombreux aliments comme le manioc, les céréales complètes ou la levure de bière. Mais, c’est surtout dans les noyaux de fruits qu’elle se présente en grande proportion : noyaux d’abricots, noyaux de pêches, noyaux de cerises et même pépins de pommes.

La laetrile est aussi nommée « vitamine B17 », bien que ne soit pas vraiment une vitamine. Cela mérite une petite explication :

C’est pendant la Seconde Guerre mondiale que les docteurs Krebs, père et fils, établirent l’hypothèse que le « crabe » provenait d’une carence en vitamine. Ils ont donc cherché ce qui pourrait manquer dans notre alimentation moderne et ont isolé un composé qu’ils nommèrent laetrile. Cette substance semble faire partie de l’alimentation que suivaient nos lointains ancêtres alors qu’elle est quasiment absente de la nôtre.

Considérant la laetrile comme un élément qui ne pouvait ni se classer dans les médicaments ni dans les aliments, les Krebs l’étiquetèrent comme « Vitamine B17 », bien que cette appellation soit discutée.

Une substance naturelle de l’alimentation paléo ?
L’amygdaline et donc la laetrile sont des éléments que l’on retrouve dans la nature. Mais, comme rares sont ceux qui mangent les noyaux de fruits, nous n’en consommons qu’une infime quantité à travers notre alimentation.

Pourtant, certaines tribus comme les Hunzas, au Pakistan, ou certaines tribus indiennes, en Amérique, utilisent les noyaux de fruits dans leur alimentation, sous forme d’huile, de décoctions ou sous leur forme naturelle. On peut donc se demander si nos ancêtres du paléolithique ne faisaient pas la même chose.

Certains membres de ces tribus profitent d’une espérance de vie exceptionnelle et dépassent allégrement les 100 ans. De plus, ils ne présentent quasiment aucun cas de « crabes »

Evidemment, cette excellente santé doit être reliée à leur mode de vie et à une alimentation paléo largement plus saine que celle de nos populations. Mais, on peut également se demander si la laetrile n’y est pas également pour quelque chose.

L’efficacité de la laetrile contre le « crabe »
La vitamine B17 est expérimentée depuis 1845 dans la thérapie pour lutter contre le « crabe ». Son action principale viendrait de la composition de ses molécules, qui contiennent du cyanure d’hydrogène. Selon les défenseurs de la laetrile, ce cyanure serait très peu assimilé par nos cellules qui ne pourraient pas l’extraire, faute d’une enzyme, la bêta-glucosidase, nécessaire à l’opération.

Or, nos cellules ne disposeraient que d’une quantité infime de cette enzyme. Le cyanure d’hydrogène ne serait donc quasiment pas libéré et ne présenterait pas de toxicité lors d’une consommation faible de vitamine B17.

Cependant, les cellules atteintes par le « crabe », elles, produisent cette enzyme de façon plus importante. Elles absorberaient donc le cyanure d’hydrogène, ce qui provoquerait leur destruction. C’est par cette voie que la laetrile démontrerait son efficacité.

C’est en tout cas ce que semblent démontrer les diverses utilisations de la laetrile par des personnes atteintes du « crabe », mais également les essais menés par des scientifiques comme le Dr. Sugiura. L’amygdaline a également été testée à travers plusieurs études récentes qui ont établi une action positive de cette substance sur divers « crabes ». D’un autre côté, l’amygdaline est délaissée, considérée comme toxique par la plupart des spécialistes.

Pourquoi l’amygdaline a-t-elle été mise de côté ?
A tort ou à raison, l’amygdaline et la laetrile ont été la cible d’un certain acharnement pour limiter leur utilisation.

La laetrile a, par exemple, subi les conséquences des déclarations sur sa toxicité. Comme elle contient du cyanure d’hydrogène, elle a été pointée du doigt et on a conseillé à la population de ne jamais consommer de pépins ou de noyaux de fruits. Pourtant, comme nous l’expliquons plus haut, certains pensent que ce cyanure d’hydrogène ne peut pas être extrait en quantité suffisante de la molécule de laetrile, pour présenter un danger.

On peut également se demander si interdire une telle substance pour lutter contre le « crabe », sous prétexte qu’elle est toxique, est une démarche honnête. En effet, les médicaments utilisés pour traiter le « crabe » possèdent, eux, une toxicité bien connue.

La vitamine B17 a également été victime d’un rapport pour empêcher son utilisation. Mais, ce rapport semble controversé. Or, il est encore utilisé comme référence pour rejeter la laetrile.

Un livre écrit par G. Edward Griffin évoque les déboires de cette molécule et tente de démontrer comment les résultats du Dr Sugiura ont été dilués par d’autres études, apparemment mal menées, de façon consciente, pour aboutir à des conclusions négatives. Cependant, les spécialistes anti-laetrile considèrent l’auteur comme un complotiste.

NB: En résumé, laetrile et amygdaline ont subi de nombreuses attaques dont certaines paraissent douteuses et semblent avoir eu pour but de détruire leur réputation pour empêcher leur commercialisation. Ce qui a très bien marché, que ce soit une bonne ou une mauvaise chose.

Faut-il utiliser la laetrile et où s’en procurer !

La Laetrile et amygdaline sont des substances controversées. Elles sont soit interdites par les états, soit totalement ignorées. Les personnes atteintes par le « crabe » auront donc beaucoup de mal à s’en procurer.


Le Dr Krebs, lui, estimait qu’il était possible de consommer une dizaine de noyaux d’abricots par jour pour se procurer environ 50 mg de laetrile quotidiennement. Mais, selon la plupart des spécialistes, ce serait une démarche dangereuse.

Vous l’aurez compris, l’utilisation de la vitamine B17 est controversée et ne se trouve pas en vente libre en Europe, à l’exception de l’Allemagne, pays dans lequel il est très facile de s’en procurer.

POUR MA PART JE L’UTILISE TOUS LES JOURS CONFORMEMENT A LA LEGISLATION ALLEMANDE, CAR JE VIS DANS CE PAYS A MON PLUS GRAND BONHEUR.

LA VITAMINE C-SALT HAUTEMENT DOSEE QUI M’A GUERI DE LA MALADIE DE LYME ET GRACE A LAQUELLE UN AMI EST SORTI DE 25 ANS DE MIGRAINES :

LE GLUTATHION QUE JE PRENDS CONTRE LE GRAPHENE DANS LA NOURRITURE ET LES POLLUTIONS DIVERSES :

LA VITAMINE D3K2 (DUO ANTI-AVC)

ET LA DERNIERE QUE L’ON NE TROUVE PAS EN FRANCE – LA VITAMINE B17 ANTI-CRABE – PROSTATE ET TROUBLE URINAIRE

3 Commentaires

  • Concernant les amandons d’abricots amers, j’ai expérimenté que le taux d’amygdaline qu’ils contiennent varie dans des proportions CONSIDÉRABLES, pouvant aller jusqu’à un facteur 1000 (!) selon la variété et la région d’origine.
    J’ajoute que les taux portés sur les paquets achetables (facilement) en France peuvent être TOTALEMENT FAUX. Compte-tenu du risque très réel d’un surdosage (ce qui m’est arrivé une fois : sans suite, mais grande frayeur), il est IMPÉRATIF d’obtenir le procès-verbal d’analyse par un laboratoire certifié (allemand en l’occurrence) pour être fixé. J’ajoute que les résultats fournis sont assortis d’une marge d’incertitude très élevée, qu’il faut prendre en compte dans l’estimation de la quantité absorbable PAR PRISE (et non par jour, la durée de vie dans l’organisme est courte : quelques heures).
    Tout ceci fait que :
    1°/ Indiquer un nombre d’amandes par jour n’a AUCUN SENS.
    2°/ Les cliniques étrangères (entre autres mexicaines) qui traitent le cancer sous contrôle médical avec la B17, utilisent des doses très élevés de B17, de 500 mg à plusieurs grammes par jour, le plus souvent en intraveineuse. Bien considérer que pour obtenir ces doses à partir de la consommation d’amandons, il serait nécessaire d’en ingurgiter des centaines de grammes à la fois, ce qui me paraît délirant si on veut bien considérer l’énorme masse des autres composants des amandons, qui sont très lipidiques.
    3°/ D’après mes propres constatations, les quantités dérisoires de B17 contenues dans un amandon (dans 10 si l’on veut), sont parfaitement inaptes à réduire significativement quelque cancer que ce soit. Il en faut beaucoup beaucoup plus, au moins 500 mg de B17 par prise. On trouve facilement sur le WEB de telles gélules d’extrait titrant 500 mg de B17 pure, mais je ne je ne me suis jamais risqué à tenter l’opération (sans support médical, humain et matériel). J’ignore d’ailleurs quelle en est la valeur en termes de résultats, même en cas d’absence d’intoxication.

    En résumé, à chacun de juger, c’est peut-être jouable, mais de grâce, PAS à l’aveuglette et selon des posologies fantaisistes indiquées par des inconscients à des inconscients.

    N.B. J’ai fourni ces indications, issues de mes propres essais, uniquement à titre informatif, sans faire la promotion ni le dénigrement de la B17. Je dissuade cependant fortement une personne sans expérience scientifique de tenter l’opération avec l’idée de réduire un cancer., ce qui est tout autre chose que de grignoter quelques amandons par jour à titre ludique.

  • J’ai oublié de préciser une chose importante.
    S’il est bien vrai que, hors cellules malignes, l’organisme ne possède le plus souvent pas suffisamment de bêta-glucosidase pour y dégrader une quantité critique d’amygdaline et donc libérer une dose toxique de HCN, CELA PEUT DEVENIR FAUX SI L’ALIMENTATION EN APPORTE. Or, on en trouve par exemple dans les YAOURTS (ce qui explique d’ailleurs que les intolérants au lactose les supportent !), et aussi dans certains fromages non cuits. Plus encore dans les probiotiques que prennent les colopathes. L’incident d’intoxication au cyanure que j’ai rapporté dans le précédent message avait eu lieu après avoir mangé un yaourt …

  • Si je comprends bien comment l’amygdaline (ou B17) peut réduire le cancer en tuant les cellules cancéreuses ou tout au moins en les empêchant de se développer, en revanche je ne saisis pas par quel processus elle est censée agir sur les troubles urinaires masculins…

    Réduirait-elle la taille de la prostate ?

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