François Braun, le Favoritisme pour “Sauv Life” et les Déserts Médicaux Français.

Le ministre de la santé François Braun visé par un signalement au PNF pour favoritisme
L’association AC Anti-Corruption a saisi le Parquet National Financier. Elle suspecte le ministre de la santé d’avoir favorisé les activités du Professeur Lionel Lamhaut, président de l’association Sauv Life.
Le ministre de la santé a-t-il aidé un de ses proches à développer un business discutable ? C’est ce que suspecte AC Anti-Corruption. Cette association a déposé récemment un signalement auprès du parquet national financier « contre X ». Elle s’étonne du soutien qu’aurait apporté François Braun au Professeur Lionel Lamhaut, médecin de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et président de l’association Sauv Life. Juridiquement, elle se demande si le ministre ne s’est pas rendu coupable du délit de favoritisme et de celui de complicité de prise illégale d’intérêt.

1 octobre 2022
Journaux, Journaux télévisés de TF1, France 2, Le Parisien, France Info, Ouest-France, Sud Ouest, Europe 1… Cela fait plusieurs années que les reportages les plus flatteurs s’enchaînent sur l’association Sauv Life. Normal : on y découvre des soignant·es et des bénévoles se portant à la rescousse de personnes dans le besoin, sous le haut patronage des Samu. La distinction avec ces derniers n’est d’ailleurs pas toujours évidente, si bien que l’on pense parfois avoir affaire à un nouveau service hospitalier. À sa tête, on trouve notamment un urgentiste du Samu de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), Lionel Lamhaut.
Avec SAUV LIFE, on est là pout Toi Christian, on veut te Sauver !

François, avec Nos Grands Amis, on fait disparaître tes Médecins mais Nous on est là Christian et même mort, on peut te réanimer !
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Samu-Quand-les-urgentistes-reveillent-les-morts-1768807

Et pour que l’on puisse te réanimer, il fallait bien faire disparaître ceux qui auraient permis que l’on exista pas !
DÉSERTS MÉDICAUX EN FRANCE : VOICI L’INQUIÉTANTE CARTE DÉVOILÉE PAR L’UFC-QUE CHOISIR

L’UFC-Que Choisir a publié ce mardi 8 novembre une étude sur la fracture sanitaire dans l’Hexagone, pointant du doigt des disparités financières et territoriales dans l’accès aux soins chez les médecins généralistes et certains spécialistes.
Une désertification médicale criante. Dans son étude sur la fracture sanitaire en France publiée ce mardi, l’UFC-Que Choisir démontre «l’état déplorable de l’accès géographique et financier aux soins en France». L’association de défense des consommateurs cible les médecins généralistes, mais aussi des spécialités à «accès direct» comme les pédiatres, les gynécologues et les ophtalmologues.
Pour comprendre le barème et les termes utilisés, il convient de rappeler qu’une commune avec un «accès difficile» aux soins se situe «entre 30% et 60% en-dessous de la moyenne nationale». Si ce dernier taux est dépassé, la zone est considérée comme appartenant à un désert médical.
23,5 % DES FRANÇAIS DANS UNE ZONE D’ACCÈS DIFFICILE
Premier constat : les déserts médicaux concernant les médecins généralistes touchent 2,6 % de la population française, soit 1,7 million d’habitants dans l’Hexagone. En élargissant cette donnée, 23,5 % des patients vivent dans une zone à accès difficile. Cela signifie qu’ils éprouvent des difficultés pour rencontrer un médecin généraliste à moins de 30 minutes de trajet de leur domicile.

Le bilan n’est guère plus flatteur pour les spécialistes avec 27,5 % des enfants français vivant dans un désert médical pour la pédiatrie, tout comme 23,6 % des femmes pour la gynécologie et 19 % des patients pour l’ophtalmologie.

A l’exception des grandes métropoles hexagonales bien fournies sur le plan médical, la disparité géographique est criante, à l’image de la carte ci-dessus. «La situation est particulièrement dégradée dans la France “périphérique” : périphérie rurale des grands pôles urbains, communes rurales, périphéries des petits et moyens pôles», détaille UFC-Que Choisir dans son étude.
LES DÉPASSEMENTS D’HONORAIRES DANS LE VISEUR
En prenant en compte l’aspect financier, la fracture sanitaire se creuse davantage dans le pays. En gynécologie, plus d’une femme sur deux (54,7 %) doit faire face à des dépassements d’honoraires «modérés», inférieurs à 50 %. Cette proportion est de 39,2 % pour les patients en ophtalmologie et de 32,8 % pour les enfants en pédiatrie. «Ce sont surtout les grandes villes qui sont touchées par des dépassements d’honoraires élevés. Cela crée un problème d’accessibilité aux soins», analyse l’étude.
Pour remédier à cette situation, l’UFC-Que Choisir appelle les pouvoirs publics «à changer de logique en régulant l’installation des médecins et en mettant fin à la fièvre des dépassements d’honoraires». L’association de défense des consommateurs milite aussi pour la suppression des «aides publiques aux médecins ne respectant pas le tarif de la sécurité sociale».



Tant que LA SANTE restera dans des mains assassines, nous resterons dépendants des sorciers et de leurs venins présentés comme “Bienfaits pour l’humanité.”
