L’élite satanique a détruit les cloches qui guérissaient par les ondes.

De nombreuses cloches du vieux monde ont été détruites, enterrées et remplacées pour détruire leur importante résonance acoustique. La version officielle et mensongère avance que l’on a dû les fondre pour faire des munitions pour nos guerres provoquées par la franc-maçonnerie. Ce qu’on ne nous a pas dit, c’est que de ces cloches émanaient une énergie et une fréquence bénite par nos prêtes. Il est à rappeler que l’eau bénite est efficace, car elle contient grâce à la mémoire de l’eau des prières particulièrement puissantes. Ainsi, les cloches répandaient du haut de nos clochers et de nos cathédrales ces fréquences et énergies bénites guérissantes et « exorcisantes ». C’est tout l’inverse des énergies et vibrations captées par le raïki et le yoga, qui non bénites, sont captées par les démons.
(je suis obligé de faire des comparaisons aussi grossières, car nous sommes dans un mode décérébré, où plus personne ne sait plus rien, un monde d’ignorants se pensant être des théologiens hors norme, au-dessus même des saints qui ont fait des miracles. Aujourd’hui, les idiots préfèrent courir après les extraterrestres portant en outre des noms de démons qu’apprendre la vie des saints dont le corps est complètement intact plusieurs siècles après leur mort.)

Ces lieux étaient ornés de ces cloches plus anciennes parce qu’ils n’étaient jamais des lieux de culte d’idoles, mais les centres de guérison de l’ancien monde. Tout avait une fonction. La destruction de ces cloches partage la même mauvaise intention de ceux qui ont fait passer la norme de hauteur musicale de 432 Hz à 440 Hz.
Pourquoi serions-nous ouvertement autorisés à offrir de tels cadeaux de guérison acoustique et d’énergie gratuite tant que les contrôleurs visent à tirer profit de notre maladie et de notre dépendance. Ces cloches étaient plus que juste pour donner aux gens une idée du temps… elles étaient destinées à guérir l’esprit, le corps et l’âme.

C’est la raison pour laquelle Pro Fide Catholica vous propose aussi des articles de qualité sur la santé. Car, les maladies les plus graves ne doivent rien au hasard, comme, entre autres la destruction des cloches le démontre. L’élite maçonnique en est consciente et connait très bien les forces du surnaturel. C’est pourquoi, notamment, ils ont détruit la messe traditionnelle et achète une hostie à prix d’or. Car, ils savant pertinemment qu’il s’agit du corps du Christ. Une évidence que le peuple est loin de comprendre. Et, dans sa grande générosité, l’Eglise donnait le privilège de sonner ces instruments de guérison (les cloches) aux plus démunis, les clochards (d’où l’origine du mot).
LIEN CI-DESSOUS – IL ESCALADE LES CLOCHERS MAINS NUESPOUR LES REPARER.

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpf04007160/le-reparateur-de-clochers
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En Norvège, il est noté dans les anciennes sagas, que les trolls jetaient des grosses pierres contre les églises parceque le son qu’elles produisaient les rendrait fous.
Vu dans le film Troll !! Comme quoi, toutes les routes mènent à “Rome”
bonjour merci pour ces articles toujours interessants une petite erreur orthographique toutefois dans celui ci reiki s’écrie avec un “e”
Merci pour cet article très intéressant, du point de la sonorité des cloches d’églises de leurs ondes vibratoires et acoustiques bénéfiques.
La bénédiction des cloches ecclésiales de l’église, doivent être bénites ou baptisées à l’eau bénite avant d’être installées dans le clocher de l’église. Comme par exemple, lors du baptême des trois cloches de l’église du Sacré-Cœur de Vesoul, le dimanche 25 septembre 1927, installées et suspendues sur une poutre décorée pour l’occasion, devant l’appui de communion, face à l’autel, elles furent baptisées , un nom leur furent attribué, l’une d’elle s’appelle Jeanne-Antide, sa tonalité est un SI.
« Il est aimé de tous, mon nom de Jeanne-Antide. Enfants cher à mon cœur, race des Francs-Comtois, pour vous, je chanterai dans un hymne splendide, l’appel divin des Lys, gloire du Roi des Rois. »
« Vivre au rythme des cloches ou l’art campanaire des églises»
« Dans la première moitié du 20e siècle jusqu’au concile Vatican II en 1962, les cloches des églises rythment la vie des paroissiens, des fidèles, que ce soit pour les différents moments de la journée, les temps de l’année ou les événements de la vie. À ce moment, la société française est élevée au son des cloches qui annoncent l’angélus, le sanctus, les vêpres autant que les baptêmes, les mariages, les funérailles et autres fêtes liturgiques. Dans l’Église catholique, les cloches matérialisent la voix de Dieu et signalent l’existence du Paradis. Et faute de moyens de communication modernes, les cloches servent autant d’horloge que d’avertisseur d’incendies ou d’inondations. Sonnant à une heure inhabituelle, elles indiquent un décès. Cette sonnerie, appelée « glas », se compose du tinton qui consiste en trois coups par cloche, trois fois, pour un homme, deux fois, pour une femme, suivi de la volée. Les deux sonnent en trois séries successives et le glas se répète midi et soir, jusqu’aux funérailles.
L’angélus
Trois fois par jour, la cloche rappelle aux chrétiens le souvenir du mystère de l’Incarnation et le devoir de louange divine : c’est l’angélus, qui sonne à six heures du matin, à midi et à sept heures du soir en trois triades de tintons auxquelles s’enchaîne une volée d’environ trois minutes.
Les messes et les vêpres
Pour l’annonce de la messe chantée et des vêpres du dimanche, on sonne trois fois, soit une heure, une demi-heure et dix minutes avant l’office. Quelques tintements suivent les derniers coups, indiquant le début imminent de la cérémonie. Avec l’urbanisation, qui entraîne une fragmentation des heures de travail, les sonneries des cloches sont réduites dans la journée. L’usage des cloches demeure aujourd’hui dans bon nombre de célébrations. liturgiques. »
Cloches d’église
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Nous entendons les tintements des cloches d’église avant ou après une cérémonie religieuse
Source : Banque de sons gratuits
https://latramesonoredenosvies.ca/cloches_ecclesiales-church_bells-fra