“La franc-maçonnerie derrière les lois de la république” par Johan Livernette. Vidéo.

“Le pouvoir royal est un pouvoir divin qui abaisse les serpents. Les républiques par contre relèvent de terre les esprits serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l’empêchant de s’élever vers le Dieu du Ciel. C’est aujourd’hui le mal de l’Europe sous les républiques.”
Saint Padre Pio.
Pour parfaire les dires de Johan, voici l’article du CRIF publié le 24 Mai 2023. CRIF qui reçoit Gorges Sérignac, Grand Maître du Grand-Orient de France Occupée.
Ceci prouve que lorsque l’on avance “Judéo-maçonnerie”, ce n’est pas un concept “Antisémite” comme Ils le hurlent, c’est du concret.
Vous jugerez par vous-même du niveau de COSMOPOLITISME de ces gens qui préfèrent s’émouvoir de ce qu’il se passe à l’étranger plutôt que de parler des Graves Problèmes Présents en France, France qu’Ils ont contribué à mettre A FEU ET A SANG avec leurs Lois Iniques CONTRE LE PEUPLE FRANCAIS DE SANG.
Rappel. Simone Veil au Times de Londres du 3 Mars 1975 :
“En modifiant la loi, vous pouvez modifier fondamentalement le modèle du comportement humain.”
Et dans cette orgie judéo-maçonnique, républicaine et démocratique, c’est TOUJOURS l’Eglise Catholique et ses Saints qu’ils veulent faire disparaître à jamais : ce fut au nom de la “laïcité”, c’est désormais au nom leur nouveau Graal : les invertis, les pervers, les déviants et les désaxés.
Ils sont tous tenus par les abus qu’ils commettent, la main tendue des loges pour les aider c’est de faire passer ce que les loges veulent instaurer.

Toute cette caste de Malandrins a Peur désormais. Car Oui, la peur a changé de camp. Ils ont raison d’avoir Peur, le proche avenir en témoignera.

L’ENTRETIEN DU CRIF – GEORGES SÉRIGNAC, « FACE À LA DANGEREUSE MONTÉE DES POPULISMES, RÉFORMER LES PRATIQUES DÉMOCRATIQUES »
PUBLIÉ LE 24 MAI 2023
Le Grand Maître du Grand Orient de France, Georges Sérignac, répond à nos questions sur l’état de la démocratie française, la nocivité des violences que subissent les élus et appelle de ses vœux une forte « évolution des pratiques démocratiques ». Il évoque aussi « le danger mortel » auquel est actuellement exposé l’Arménie, pays où il s’est récemment rendu, et son combat pour le droit des femmes : il salue « le courage hors du commun » des Iraniennes (et des Iraniens) qui se battent pour leur liberté et dénonce « la terrible répression » que leur fait subir le régime iranien.

Le Crif : Notre démocratie semble malade de ses radicalités et leurs débordements de violences. On a pu constater que des élus, nationaux et locaux – comme le Maire de Saint-Brevin en Loire Atlantique – ont été gravement menacés : le domicile de ce Maire a par exemple été incendié, cet épisode provoquant sa démission. Que vous inspire ces dérives ?
Georges Sérignac : Ces débordements de violence sont bien sûr inadmissibles et il faut les condamner sans hésitation et avec la plus grande fermeté. Aucun élu de la République ne devrait être menacé en démocratie. L’analyse de l’état démocratique du pays n’en est pas moins complexe et renvoie à des considérations tenant à la fois au nécessaire respect des institutions républicaines et aux évolutions nécessaires elles aussi des pratiques démocratiques afin de mieux prendre en compte l’expression populaire.
Le point de cristallisation du problème remonte sans doute au référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne, qui a été rejeté, ce rejet n’étant ensuite pas totalement pris en compte, en tout cas cela a été ressenti comme cela. L’écart entre les élites politiques et le peuple s’est aggravé, il n’a cessé de se creuser pour aboutir à une crise assez générale de la représentation. La démocratie, ce n’est pas seulement l’élection au suffrage universel des représentants. C’est aussi le jeu des contre-pouvoirs et la diversité des modes d’expression.
Le décalage entre les représentants (quels qu’ils soient, exécutif, législatif, élus locaux) et le peuple, on peut l’observer un peu partout dans les démocraties mais il est prononcé en France. On voit la dangereuse montée des discours populistes, colportant toute une série de démagogies qui viennent flatter les instincts les plus mauvais. Mais on voit aussi une montée d’aspirations, légitimes et saines celles-là, à ce que les expressions populaires soient davantage prises en compte.
Depuis une vingtaine d’années, des symptômes et crispations se sont accumulés, on se souvient de l’épisode paroxystique des Gilets jaunes.
« Une radicalisation et des violences instrumentalisées
par des mouvements qui ont théorisé le chaos et l’insurrection. »
Tout cela a provoqué une radicalisation des positions, avec des violences dont certaines sont récupérées ou instrumentalisées par des mouvements qui ont théorisé le chaos, l’insurrection ou la désobéissance civile. On a constaté la violence extrême des black blocks, d’extrême gauche ou d’extrême droite on ne sait plus très bien le distinguer, ce sont des ultra violents, de plus en plus nombreux et organisés, qui veulent avant tout en découdre. Tout cela conduisant à une réponse du pouvoir qui est surtout sécuritaire.
Toutes ces tensions créent un climat de violence inquiétant pour notre démocratie qui ne pourra pas faire l’économie d’un aggiornamento. La légitimité du pouvoir, qu’il soit exécutif ou législatif, n’est pas en cause, elle découle des élections. Il n’empêche qu’on peut imaginer que, peut-être avant la fin de l’actuel mandat présidentiel ou après, et compte tenu de l’ampleur des contestations, des éléments nouveaux et des initiatives débouchent sur une réforme des pratiques démocratiques.
Le Crif : Que préconisez-vous pour faire face aux violences qui touchent les élus et avancer désormais en matière de pratiques démocratiques ?
Georges Sérignac : Face aux violences, la loi doit être strictement et fermement appliquée. Sur le sujet des pratiques démocratiques, nous pensons qu’elles doivent évoluer et qu’il faut progresser dans le sens d’une plus grande participation populaire. L’idée des conventions citoyennes est intéressante, il faut sans doute les développer mais il faut que les populations se sentent mieux représentées, que le pouvoir législatif puisse rendre des comptes, peut-être que les mandats soient plus courts et plus encadrés. En tout cas, une série de réflexions et de propositions doivent tendre à mieux équilibrer les pouvoirs, à développer les pratiques de gouvernances et d’échanges démocratiques entre le pouvoir et les citoyens pour que les Français se sentent mieux écoutés et représentés.
Les défiances radicalisées sont un mauvais virus qui atteint notre démocratie. Il faut en prendre la pleine mesure et que les aspirations citoyennes soient mieux intégrées par les institutions et leurs représentants. C’est un chantier fondamental. Le numérique permet d’ailleurs de réaliser des progrès, d’organiser des consultations, malgré certaines horreurs et les dérives qu’on peut déplorer sur les réseaux sociaux. Quand on prend du recul, on peut constater qu’il y a quand même, globalement, une élévation générale du niveau de culture et d’attente des citoyens, niveau souvent plus avancé en matière de conscience politique et civique que ce que l’on croit.
Le Crif : C’est un élément d’optimisme…
Georges Sérignac : Oui, je crois qu’on peut aller vers le meilleur avec l’outil numérique.
« Il faut être vigilant. Une minorité (complotiste et antisémite) peut déverser ses haines et même, dans certaines circonstances,
les propager et prendre le pouvoir. »
Le Crif : La Présidente de l’Assemblée nationale, le Président du Sénat et le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) ont enclenché un cycle de consultations en vue de faire émerger de nouvelles propositions sur la vie des institutions et de notre démocratie. Appelez-vous les différents groupes politiques à trouver un consensus républicain trans-partisan sur ce sujet ?
Georges Sérignac : Oui, d’autant plus qu’au Grand Orient nous sommes nous-mêmes trans-partisans. Nous ne faisons pas de politique au sens partisan, nous réunissons des citoyens de sensibilité de gauche, d’autres de sensibilité de droite, nous refusons clairement les extrêmes et, naturellement, nous estimons que des avancées démocratiques doivent pouvoir se faire avec l’assentiment du plus grand nombre de sensibilités.
Le Crif : Sur les réseaux sociaux, l’antisémitisme et le racisme, à mots plus ou moins couverts, se répandent parfois avec virulence autour des thèses complotistes. Comment mieux faire face à ce fléau, qui sévit dans le cadre d’une communication moderne qui échappe aux frontières et parfois donc aux lois ?
Georges Sérignac : La partie de la population obsédée par ces thèses imprégnées d’antisémitisme et de racisme est, en fait, faible. L’enjeu est que cette partie de la population n’ait pas un effet contagieux sur une partie plus importante et croissante. On a bien vu que les « antivax » par exemple, qui ont fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux, ont été finalement faibles quantitativement et comptent assez peu de troupes vraiment convaincues. Les personnels soignants « antivax » par exemple ont été ultra-minoritaires à l’hôpital. La bruyance du sujet n’est pas du tout représentative de la réalité. Les réseaux sociaux ont joué, dans ce cas comme dans d’autres, un rôle de caisse de résonnance amplificatrice. Pour cette raison, entre autres, le doute critique doit être toujours en éveil face aux réseaux sociaux.
Les tenants de thèses complotistes, antisémites et racistes sont heureusement minoritaires mais il ne faut pas moins être très vigilants. Une minorité peut déverser ses haines et même, dans certaines circonstances, les propager et prendre le pouvoir. C’est pourquoi il faut, avec la plus grande intransigeance, face aux propos et aux actes antisémites et racistes, appliquer la loi, là encore strictement et fermement. Aucune concession n’est possible, surtout dans un contexte de crises dont peuvent profiter une série de démagogies et de thèses insensées. Les pouvoirs publics et la Justice doivent jouer leur rôle de protection sans faille. Dans une démocratie, le droit est un rempart contre les dérives. Il doit s’appliquer.
« Une situation terrible pour les Arméniens. »
Le Crif : Vous étiez récemment en Arménie, pays gravement menacé par l’Azerbaïdjan. Le contexte est compliqué, la Turquie soutenant l’Azerbaïdjan contre ce que le pouvoir turc estime être son ennemi historique, l’Arménie. Comment protéger ce pays et cette culture ?
Georges Sérignac : La situation est en effet très complexe et l’Arménie est dans une période qui peut être pour ce pays, à terme, un danger mortel. En allant à Erevan, il s’agissait pour nous, à l’occasion de la commémoration du génocide de 1915, de témoigner de notre amitié, de notre fraternité, de notre empathie au-delà bien sûr des aspects géopolitiques qui ne sont pas de notre ressort.
Au vu de l’histoire et de la mémoire, nous avons tenu à simplement exprimer une solidarité humaniste qui relève aussi d’un devoir humanitaire présent, qui concerne tout acteur de la société civile qui se doit d’aider les Arméniens, très inquiets pour la survie de leur Nation et de leur peuple. On en est malheureusement là. L’enclave arménienne du Haut-Karabakh est plus que menacée, elle est encerclée, enfermée, victime d’un dur blocus imposé par l’Azerbaïdjan dans une logique expansionniste. C’est une situation terrible pour les populations qui, là-bas, ne peuvent plus se déplacer et même s’approvisionner en certains biens alimentaires essentiels. La situation est très préoccupante et nous avons voulu marquer, à notre modeste niveau, une solidarité qui nous semble élémentaire et important à manifester. Nos principes humanistes fondamentaux doivent s’exprimer à ces moments-là, quand une population et un pays sont en danger.
« Les Iraniennes et Iraniens, à l’exceptionnel courage, ne doivent jamais tomber dans l’oubli. »
Le Crif : La question du droit des femmes est aussi l’un de vos grands combats. En Iran, on a vu se déployer, avec un courage extraordinaire, la volonté de nombreuses femmes (et de nombreux hommes aussi) revendiquant des libertés élémentaires, pourtant bafouées avec violence dans ce pays. Le régime iranien maintient et même renforce la répression. N’est-ce pas décourageant ?
Georges Sérignac : Nous avons pu échanger avec des Iraniennes et des Iraniens, qui montrent en effet un courage hors du commun et qui nous disent que les femmes et les hommes en Iran ont été nombreux à risquer leur vie pour l’accès à des libertés simples et fondamentales mais aussi qu’une chappe de plomb les menace toujours et que les relais, dans ce grand pays, ne sont pas pour l’instant suffisants pour espérer une évolution positive et rapide dans ce pays fractionné, soumis à une terrible répression policière et militaire.
Le Crif : La peur exerce son terrible poids…
Georges Sérignac : Oui, comme dans toute dictature sanguinaire, la peur est la première des armes pour imposer un pouvoir absolutiste. Ce que nous disent aussi ces Iraniennes et ces Iraniens, c’est qu’il y a quand même en Iran un véritable et large courant sous-terrain qui aspire aux libertés, courant qui est soumis aux tentatives de répressions mais courant qu’il ne faut pas sous-estimer. À l’avenir, ce courant démocratique pourra peut-être aboutir à l’éclosion de libertés ce qui, il y a encore quelques années, était impensable en Iran. Tout n’est donc pas désespérant dans ce pays même si les lueurs d’espoir paraissent, à court terme, faibles.
Le Crif : Des scènes publiques ou semi-publiques sont, malgré tous les risques, apparues ici ou là en Iran, ce qui étaient inimaginable il y a quelques années ?
Georges Sérignac : C’est vrai que des Iraniennes et des Iraniens font preuve d’un courage rare, qu’il faut saluer. Ils risquent leur vie, les forces de répression sont terribles. Mais l’Iran est un vaste pays et les régions les plus portées par le mouvement visible de l’émancipation ne sont malheureusement pas majoritaires. Il faut sans doute, pour les démocraties et les citoyens humanistes, d’autant plus les soutenir. Même symboliquement et moralement. Pour que ces femmes et hommes d’un exceptionnel courage ne tombent jamais dans l’oubli.
Propos recueillis par Jean-Philippe Moinet.

La conspiration mondiale de l’OMS deviendra une loi si nous n’arrêtons pas le nouveau traité sur les pandémies ! (par Ivo Sasek)
L’OMS est en train de modifier son règlement sanitaire international (International Health Regulations = IHR) datant de 2005. Le contenu du nouveau “Traité sur les pandémies” est choquant. Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique à l’occasion de la Journée internationale des Amis 2023, avec des retransmissions dans plus de 45 pays, à quel point le projet de traité de l’OMS menace l’existence et montre comment se défendre contre la conspiration mondiale de l’OMS. [lire la suite]
https://www.kla.tv/26097
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👉 Toute personne sous ce ciel qui ne veut pas que nous soyons tous contraints de nous soumettre à ces nouvelles lois dans quelques jours, doit chercher aujourd’hui, ou demain, ou après-demain au plus tard, les parlementaires les plus proches de lui et les secouer pour qu’ils crient tous haut et fort 📢 NON à ce projet satanique !
Georges Sérignac, grand maître du Grand Orient de France a un discours très lisse dans cette interview. Il est ouvert et compréhensif et souhaite que la démocratie puisse s’exprimer librement, sauf à travers les contre-pouvoirs qualifiés d’extrémismes dangereux. On peut débattre sur les détails de la forme, mais pas sur le fond. Car un débat de fond serait susceptible de remettre en question l’autorité de la Franc-maçonnerie en politique. Rappelons que la Constitution de la FM stipule que les loges ne doivent pas faire de politique. Cette trahison des initiés est bien analysée dans les livres d’Alain Pascal.
Le Crijf représente les institutions juives de France. Elle représente la matrice ou le fond de la politique française (et du monde). Ces institutions véhiculent le programme mondialiste et dirigent les loges en sous-main. Les loges exécutent les ordres à travers les ministères du gouvernement. Derrière le Crijf, il y a le messianisme et la religion du Talmud.
Pour preuve :
Si l’on se réfère à l’autobiographie de Soros, il se compare au dieu de l’Ancien-Testament et dit avoir une mission messianique. Le dieu Yahvé est tribal et peut être considéré comme un démon ou comme Satan. Il demande le génocide de peuples entiers jusqu’au dernier nourrisson et en même temps de tous les animaux de compagnie et d’élevage. L’Ancien-Testament regorge de textes décrivant ce dieu comme satanique, haïssant les peuples goys. Rien à voir avec le Dieu Créateur. Yahvé est un dieu imaginaire avec un grand impact psychologique, aujourd’hui encore et surtout. La “confession” de Soros dans son livre nous indique que le groupe qui impose l’idéologie mondialiste est religieux. Et si l’on cherche, on trouvera que ce sont les prophéties du Deutéronome qui sont à l’origine du mondialisme.
Le Grand Orient de France est un rouage du messianisme comme toutes les loges. Les FM ont un but bien précis qui ne concerne que les disciples de Yahvé comme Soros, Gates, Schwab et leurs proches. Le peuple français est le jouet de ces personnes, comme toute l’humanité goy. Monsieur Sérignac est obligé d’avoir un double discours et une double personnalité pour tenir ses propos tout en ayant des intentions religieuses cachées.
Merci à Johan Livernette pour son bel exposé sur la République et la FM. Comme à son habitude, il est didactique, structuré, clair et très intéressant. Belle conclusion qui confirme que le Nouveau Monde des gens sensés et intelligents est le Christianisme.
“C’est le programme des loges dont Éric Piolle fait partie.” -> Une source pour cette allégation ? Ce que je sais en revanche, c’est que la femme de Piolle est très impliquée dans Vatican II, que Piolle fréquentait également assidûment avant d’être maire…