Prostate et troubles urinaires – tout ce que l’on vous cache.

Alors ‘en Allemagne, de gands oncologues à l’instar des Drs Mohamed ben Zayed, Baltin (pour ne citer qu’eux) parlent de la B17 contre le cancer et les problèmes de la prostate (cf. art du Dr ben Zayed sur Pro Fide Catholica : La B-17 que vous ne trouvez pas en France – contre le cancer et les problèmes de la prostate – un médecin allemand parle.), le présent article écrit par le médecin italien Marcello Pamio Prostata: senso biologico e “disturbi” écrit par le Dr Marcello Pamio sur son site Disinformazione.it (Cf. : https://disinformazione.it/2019/11/25/il-senso-biologico-della-prostata-e-dei-suoi-disturbi/)

PARLONS CLAIR : “A titre pesonnel, depusi que je prends la vitamine B17, je constate une dispaition des troubles urinaires nocturnes. Ce qui tend à penser que la B17 soulage la prostate.”

B17 – RENSEIGNEMENTS ET COMM : laurentglauzy1@gmail.com

La prostate est un organe très particulier : une toute petite glande de la taille d’une noix (environ 3 cm) que la nature a tenté de dissimuler aux yeux et aux mains des médecins, mais sans y parvenir. Et, à cet effet, personne n’aurait pu prévoir qu’un jour l’homme en blouse blanche irait jusqu’à lui enfoncer d’abord son majeur, puis une aiguille de 18 cm de long dans le rectum !

La prostate est disposée autour de la première partie de l’urètre, reposant sur la vessie par l’intermédiaire des vésicules séminales. Elle s’écoule dans l’urètre pour sécréter un liquide alcalin lors de l’éjaculation.

Pourquoi la perfection de l’organisme aurait-elle conçu un liquide alcalin éjaculé lors d’un rapport sexuel dans un vagin très acide ? S’agit-il d’une erreur banale ou d’une sagesse magistrale ? Le sens du mot prostate explique le mystère, puisqu’il signifie en grec « accompagner en terre étrangère ». Pas d’erreur donc : l’alcalinité a précisément pour fonction biologique de protéger et d’accompagner la semence masculine – représentée par des centaines de millions de spermatozoïdes – dans l’environnement inhospitalier du vagin, la « terre étrangère » !

Un sol trop acide reviendrait à condamner les spermatozoïdes à la mort, et donc à la fin de la perpétuation de l’espèce. La prostate se développe pendant l’adolescence et est particulièrement sensible aux hormones sexuelles, c’est pourquoi le cancer de la prostate fait partie des tumeurs hormono-sensibles de la médecine orthodoxe. Les principales maladies de cette glande sont l’adénome, le carcinome et la prostatite (inflammation).

Sans la prostate, il ne serait pas possible d’engendrer une nouvelle vie, c’est donc une glande vitale pour l’évolution de l’espèce humaine. Voyons donc ce qui se passerait si un homme était confronté à un problème sexuel.

À ce stade, nous devons préciser une chose très importante : chez l’homme, l’érection, le plaisir et l’éjaculation sont une seule et même chose, ils ne peuvent pas être séparés, donc si vous n’avez pas d’érection, vous ne pouvez automatiquement pas jouir, éjaculer et donc procrée ! Si un homme, pour quelque raison que ce soit, ne peut pas éjaculer, la première chose que fait le cerveau est d’induire une hypertrophie de la glande (totalement asymptomatique) dans le but biologique d’augmenter la production de liquide séminal.

C’est la solution parfaite au problème, car si nous ne pouvons pas évacuer comme le cerveau l’a prévu, seule une augmentation de sa fonction peut résoudre le problème. Cependant, si la gêne dure longtemps, la glande peut atteindre une taille importante qui peut provoquer une gêne importante au niveau de l’urètre et de la vessie. Ces troubles urinaires sont dus à la poussée de la prostate sur la vessie.

Mais pourquoi cela ne se produit-il que la nuit ? Que fait la prostate pendant la journée, pendant le sommeil ?

L’urètre passe par le tiers antérieur de la prostate et les bourrelets prostatiques ne sont responsables que de 5 % des troubles urinaires, le reste dépendant du “détrusor” qui appartient à un tout autre feuillet embryonnaire, le « mésoderme récent ».

Le mésoderme est plutôt lié au territoire et à la dévalorisation, dans la série : « Je ne peux pas marquer mon territoire comme je le voudrais », où le territoire serait le vagin de la femme ! Cela peut expliquer pourquoi certains hommes ont des troubles urinaires et d’autres non, mais surtout pourquoi cela ne se produit que la nuit. Pendant la nuit, en effet, le muscle entre en vagotonie et se détend, alors que pendant la journée, en pleine phase sympathicotonique, il reste en tension, ce qui explique que l’on n’urine pas aussi souvent que lorsqu’on s’endort !

Si et quand le cerveau ne voit plus le problème, le tissu excédentaire sera démantelé par des micro-organismes comme les champignons et les mycobactéries, ou encapsulé et enkysté.

Il est évident que ce processus de démantèlement ne peut avoir lieu que si ces germes sont présents dans l’organisme ; je dis cela parce que, suite à des pratiques aberrantes telles que les vaccinations, l’hyper-stérilisation des environnements, etc., le pool microbactérien humain se raréfie de plus en plus, de sorte que ce qui se produit le plus fréquemment de nos jours est l’enkystement des tissus (qui n’est toutefois pas biologique).

Est-ce une coïncidence si la plupart des hommes d’un certain âge présentent des masses et/ou des formations dans la prostate ? Le cancer de la prostate et le cancer du sein sont les deux types de cancer les plus fréquents chez l’homme et la femme, avec une probabilité officiellement estimée à 1 sur 9. Le cancer de la prostate représente à lui seul 19 % de tous les cancers diagnostiqués chez l’homme ! En ce qui concerne l’âge, il s’agit du cancer le plus fréquent chez les 50-69 ans et chez les plus de 70 ans, ce qui, comme nous le verrons, n’est pas une coïncidence… Les données officielles ne laissent donc guère de place au doute.

Voici ce que disent les statistiques sur l’incidence du cancer de la prostate découvert chez les personnes décédées dans un accident de la route lors d’une autopsie, c’est-à-dire les décès non dus à une maladie.

– Hommes âgés de 40 à 49 ans > 40 %

– Hommes âgés de 60 à 69 ans > 70 %

– Hommes âgés de plus de 70 ans > 80 %

Ces données confirment la validité de l’adage populaire selon lequel « certains hommes meurent du cancer de la prostate, mais presque tous les hommes meurent avec le cancer de la prostate ! »

Par exemple, 240 000 (37 000 en Italie, données 2019) cancers de la prostate sont diagnostiqués chaque année aux États-Unis, mais le risque de décès est de 3 %. Ce chiffre ne sanctifie pas la soi-disant « médecine préventive » (les examens ne peuvent rien prévenir, mais seulement diagnostiquer) : au contraire, c’est la preuve que 97 % des tumeurs sont une Consultation de l’overdiagnostic !

La confirmation que cet état est pour ainsi dire « normal » (alors qu’il ne devrait pas l’être) est apportée par d’autres examens d’autopsie. En Suisse, l’étude des cadavres de personnes de plus de 50 ans décédées dans des accidents de la route a permis de constater ce qui suit :

– Femmes : cancer du sein (in situ) > 38 %.

– Hommes : cancer de la prostate (in situ) > 48 %.

Combien de ces personnes ne savaient même pas qu’elles avaient un cancer du sein ou de la prostate ? La métastase la plus fréquente du cancer de la prostate est la métastase osseuse. Cependant, personne n’explique scientifiquement comment une tumeur qui se développe dans la prostate comme un chou-fleur (adénocarcinome) parvient à migrer dans la circulation sanguine et, une fois dans les os, à créer des « trous ».

L’oncologie doit expliquer comment une cellule peut métastaser dans un autre organe en changeant de position biologique. L’explication bio-logique est liée à l’origine embryonnaire des os, qui font partie du « mésoderme récent », le tissu que l’on a vu plus haut lié à la “dévalorisation”.

Rien qu’aux États-Unis, entre 1994 et 2004, le préjudice économique dû au cancer de la prostate s’est élevé à 240 milliards de dollars. Si l’on ajoute à cela toutes les procédures inutiles (biopsies, prostatectomies, couches, prothèses mécaniques, etc.), le chiffre atteint 1 000 milliards de dollars.

Aujourd’hui, le surdiagnostic lié à la prostate est donc la poule aux œufs d’or, car il représente un business de plus de 100 milliards de dollars par an !

Le tableau commence peut-être à se dessiner : derrière cette petite glande se cachent des intérêts économiques pharaoniques. D’un côté, nous avons un système de santé malade qui a trompé les gens en leur faisant croire qu’un marqueur tumoral comme le PSA était un examen de routine tout à fait normal… Je le répète encore une fois : à partir d’un certain âge, pratiquement tous ceux qui font le test auront une valeur de PSA très altérée !

Mais pour aller plus loin et parler de l’activation de cette glande, il faut évoquer la « sexualité inappropriée », c’est-à-dire une sexualité qui n’est pas dans la norme, par rapport à la relation, mais pas seulement. Une éjaculation incomplète, c’est-à-dire inachevée, suffit amplement à activer le tissu ! Mais aussi un partenaire qui se comporte mal avec nous, ou le fait de vouloir féconder plusieurs femmes (amante et épouse par exemple) mais de ne pas pouvoir le faire…

Paradoxalement, même un “conflit” décalé où le fils n’a pas d’enfant et où le père assume symboliquement la responsabilité organique est intéressant. Quoi qu’il en soit, ce qu’il faut comprendre, c’est que le sens biologique du cancer de la prostate se situe dans la phase de conflit : lorsque le tissu se développe dans le but biologique d’augmenter la production de liquide séminal !

C’est le sens biologique du problème de la prostate (appelé adénome, hypertrophie, tumeur, cancer, etc.).

Si, au lieu d’utiliser les yeux limités et craintifs de l’homme, on utilisait ceux, parfaits, de la nature, il apparaîtrait immédiatement qu’il ne s’agit pas d’un problème, mais d’un programme biologique sensé et absolument parfait !

Par exemple, toute affection de la prostate peut être liée à une « perte dans la famille » (situation dramatique d’enfants, de partenaires, de petits-enfants ou d’autres personnes, comme un accident, une maladie ou un décès) ; à une « castration symbolique » (la femme qui fait chanter son mari ou le « désir de faire l’amour avec quelqu’un d’autre, mais on ne peut pas »).

Un ressentiment d’impuissance (« il faut que je sois à la hauteur pour satisfaire ma cadette et je ne sais pas si j’y arriverai »). La prostate représente d’un certain point de vue le « principe masculin », donc tout ce qui concerne les peurs et les appréhensions liées à la « masculinité », au « pouvoir », voire au « renoncement » ou à la « culpabilité sexuelle » peut activer cette glande…

S’il est vrai, comme il est vrai que le problème de l’activation de la prostate réside dans l’augmentation de la fonction parce qu’on n’a pas éjaculé comme le cerveau l’aurait voulu, la conséquence logique (ou plutôt bio-logique), c’est de le faire autrement !

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7 Commentaires

  • Jean Marcel Restayn

    J’utilise et recommande en naturothérapie la B 17 depuis le début des années 2000. J’ai souvent constaté, comme en homéopathie, une première aggravation des symptômes qui ne durent que quelques jours ( 1-3 ) en général. On peut intensifier le traitement avec l’application locale d’une bonne huile de ricin bio ( pubis et entre -jambe ) avec en préambule un apport de DMSO pour une meilleure pénétration . La B17 a une action ant- inflammatoire importante à tout les nivaux. Avec du DMSO elle peut même guérir des gencives infectées qui feraient sinon la richesse de nos ”arracheurs de dents”.. Son action contre les piquouzes anti Stupid 19 n’a plus à être démontré et avec l’ivermectine, la nattokinase, le CDS , NAC, etc…le repenti constitue une nouvelle ”arme” contre les poisons des Pharmakom internationaux

  • Bonjour. Où peut-on se procurer de la vitamine b17? Merci et belle journée à tous

  • Merci. Beaucoup d’informations dans cet article.

  • Hum !
    Cet article captivant (i.e. qui rend captif) n’est PAS compatible avec la doctrine catholique et relève plutôt de la célébration du panthéisme, à l’instar de ce passage :
    “… Si, au lieu d’utiliser les yeux limités et craintifs de l’homme, on utilisait ceux, parfaits, de la nature, il apparaîtrait immédiatement qu’il ne s’agit pas d’un problème, mais d’un programme biologique sensé et absolument parfait !”, etc.
    La conclusion non tirée qu’il implique est que les maladies de la prostate sont belles et bonnes.
    Ceux qui en souffrent apprécieront.

    • remplacez la nature par Dieu et le tour est joué.
      Ceux qui souffrent peuvent aussi acheter et tester la B17, ça ne coûte “rien” d’essayer. En tous cas on sait les effets de la chimio ou des rayons , ça c’est une certitude.
      Le jour où on me diagnostique un cancer, je me fais un jeûne et cure citron + bicarbonate de soude. Ca me coûtera moins cher déjà qu’une chimio et de toute façon, perdu pour perdu…

  • Il y a un lien aussi avec la faiblesse du méridien du rein.
    Donc l’acupuncture c’est pas mal…
    Ou
    YouTube Quantum Alchemy : kidney meridian.

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