L’impôt sur le Revenu : L’Arnaque qui dure depuis 1914 en France et depuis 1913 aux Etats-Unis. Vidéos.

L’impôt sur le revenu a été instauré pour la première fois en France par la loi du 15 juillet 1914. Pourtant avant cet énième impôt de racket républicain, la France avait déjà des routes, des écoles, des hopitaux, des services publics et une administration performante.
Comme tous les impôts et taxes qui viendront par la suite, l’impôt sur le revenu ne devait durer qu’un temps. L’on sait ce qu’il advient avec la formule républicaine “ne durera qu’un temps”. La preuve avec la construction des autoroutes pour ne citer que cette manne financière qui ne profite désormais qu’à des milliardaires.

L’impôt sur le revenu est une arnaque instaurée aux Etats Unis en 1913 quand la banque fédérale a été sous le contrôle des banques privées. Sur YouTube Aaron Russo explique très clairement comment cette spoliation du peuple américain a été mise en place.

Coïncidence : Aux USA, l’IRS a vu le jour en février 1913.
4 organisations importantes pour son histoire ont été fondées en 1913, les voici :
- FED : Federal Reserve
- FBI : Federal Bureau of Investigation
- IRS – Internal Revenue Service
- ADL- Anti Defamation League
Le (((HASARD))) fait bien les Choses !
Au Moyen-Âge ces impôts étaient payés à une administration locale, ce qui limitait pas mal les abus, vu qu’on voyait plus facilement où partait l’argent.
Valérie Bugault, juriste qui a étudié la société la plus juste de l’ Histoire a convenu que ce fut bel et bien LA SOCIETE FEODALE qui apportait la meilleure des bienvaillances pour Tous qui ne supportait AUCUNE RAPIGNE.
C’est pourquoi elle préconise de revenir à ce qui fut un réel équilibre de justesse.
Depuis 1913/1914, combien d’impôts et taxes en plus CONTRE LE CON-TRIBUABLE ???
«Le fait que la Monarchie n’apparaisse pas “actuelle” prouve non pas un progrès, mais une régression : cela signifie qu’une certaine partie de l’humanité est tombée tellement bas qu’elle n’est plus à la hauteur d’une telle institution.»
Julius Evola cité dans Totalité, n°26.
