La Russie continue le mensonge de la conquête spatiale contre la terre plate.

Le chef de l’agence spatiale russe Roscosmos a plaidé lundi pour que la Russie reste dans la course à la Lune, un jour après l’annonce de l’échec de sa mission. “Le programme lunaire ne doit en aucun cas être interrompu, ce serait la pire des décisions”, a déclaré Iouri Borissov lors d’une entrevue à la télévision.

La mission Luna-25 devait marquer le retour de Moscou à une exploration indépendante de la Lune, malgré les difficultés financières, les scandales de corruption et l’isolement croissant de l’Occident.

Mais dimanche, Roscosmos a annoncé que la sonde s’était écrasée lors des manœuvres de préatterrissage. “L’interruption du programme lunaire pendant près de 50 ans est la principale raison de l’échec de Luna-25, a déclaré M. Borisov. “L’expérience inestimable accumulée par nos prédécesseurs dans les années 1960 et 1970 a été pratiquement perdue” pendant l’interruption du programme, a-t-il ajouté. [Quel mensonge, alors que tout fut tourné en studio.]

M. Borisov a expliqué que l’accident était dû à un problème au niveau du moteur de correction du vaisseau spatial. Le moteur censé placer le vaisseau spatial en orbite de pré-atterrissage “a fonctionné pendant 127 secondes au lieu des 84 prévues”. C’est la principale cause de l’accident de la sonde”, a expliqué M. Borisov. Une commission spéciale a commencé à examiner les causes exactes de l’incident, a également déclaré M. Borisov. La dernière fois que Moscou a fait atterrir une sonde – Luna-24 – sur la Lune, c’était en 1976, avant de délaisser l’exploration lunaire au profit de missions vers Vénus et de la construction de la station spatiale Mir.

Tous ces mensonges sont battus en brêches quand on a compris que le schéma de la terre boule est tiré des “cerveaux malades” de la cabale au détriment de la terre plate. D’où l’intérêt de défendre cette conception, comme le démontre notamment la vision de l’horizon sur 3.000 km à 10 km d’altitude (alors qu’avec la prétendue rotondité, à cette altitude, nous devrons voir sur seulement 300km, entre autres nombreux arguments : le sonar des sous-marins porte aussi sur des milliers de kilomètres.) Tout cela démontre encore que la Russie de Poutine prépare d’avantage aux mensonges Illuminati des Extraterrestres en maintenant la légende de Gagarine, qui n’a jamais été en orbite autour de la terre.

AVEC ET SANS CCCP

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4 Commentaires

  • Il est quand-même manifeste que presque toutes les agences spatiales voire la totalité arborent sur leur logo le chevron censé représenter une langue de serpent.
    Ne soyons alors nullement étonné que la Russie vive encore dans le mythe de Gagarine.
    https://www.abovetopsecret.com/forum/thread480021/pg1

  • Il y a maintenant suffisement d’éléments pour prouver mathematiquement et scientifiquement (pas de la science de vendu) que la terre n’a jamais été ronde. (sur odysse il y a encore pas mal de video le prouvant)

    Les russes jouent dans la meme piece de theatre.
    Pourtant ça commence à se savoir qu’ils n’ont jamais été sur la lune.

  • Et puis les mensonges vont bon train avec la soit-disante mission indoue Chandrayan qui vient de “se poser sur la Lune”!!!!!! les photos de très mauvaises qualité en plus ressemble à un décor de play-mobils!

    <>
    .

  • Chandrayaan-3: la fusée indienne réussit son alunissage sur le pôle Sud de la Lune, une mission historique
    Par Le Figaro avec AFP
    Publié hier à 14:40, Mis à jour hier à 21:59

    Lien copié

    L’Inde intègre ainsi le club très fermé des grandes puissances spatiales, quelques jours après le crash d’une sonde russe.
    L’Inde intègre ainsi le club très fermé des grandes puissances spatiales, quelques jours après le crash d’une sonde russe. AFP

    L’Inde est parvenue à faire atterrir sa fusée non habitée sur la Lune ce mercredi, un moment historique pour le pays qui rejoint le club très fermé de ceux ayant réussi un alunissage contrôlé.

    La fusée Chandrayaan-3 a réussi son alunissage près du pôle Sud de la Lune, a annoncé mercredi l’Organisation indienne pour la recherche spatiale (ISRO).
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    L’Inde intègre ainsi le club très fermé des grandes puissances spatiales, quelques jours après le crash d’une sonde russe dans la même région du pôle Sud, peu exploré. L’alunissage de la fusée indienne représente un «jour historique » pour le Premier Ministre Narendra Modi.

    «C’est un jour historique pour le secteur spatial indien», a-t-il écrit sur le réseau social X (anciennement Twitter).
    La joie de Narendra Modi

    L’alunissage de la mission Chandrayaan-3, qui signifie «vaisseau lunaire» en sanskrit, s’est produit à 14h34, heure française. Quatre ans après une tentative avortée, le pays le plus peuplé du monde a rejoint le club très restreint des nations qui sont parvenues à mener avec succès une telle opération, en effectuant pourtant nombre de ses programmes à des coûts bien moindres.

    La Russie, héritière de l’URSS qui avait réalisé cette prouesse en 1976, vient pour sa part d’échouer dans une nouvelle tentative, sa sonde Luna-25 s’étant écrasée dans la même région. Avant l’Inde, seuls l’Union soviétique, les États-Unis et la Chine étaient déjà parvenus à procéder à un alunissage contrôlé.

    Narendra Modi est apparu souriant et brandissant un drapeau indien, en marge du sommet des puissances émergentes des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), réunies en sommet à Johannesburg.
    Moins puissante

    Cette nouvelle étape du programme indien, en plein essor, intervient quatre ans après un échec cuisant, l’équipe au sol ayant perdu le contact avec l’engin peu avant l’arrivée sur la Lune. Conçu par l’Organisation indienne pour la recherche spatiale (ISRO), Chandrayaan-3 comprend un module d’atterrissage baptisé Vikram, signifiant «vaillance» en sanskrit, et un robot mobile, appelé Pragyan («sagesse» en sanskrit) pour explorer la surface de la Lune.

    Cette mission, lancée il y a six semaines, a été plus lente à atteindre la Lune que les missions américaines habitées Apollo des années 1960 et 1970, qui y étaient parvenues en quelques jours. La fusée indienne est en effet beaucoup moins puissante que Saturn V, celle du programme lunaire américain. Elle a dû effectuer cinq ou six orbites elliptiques autour de la Terre pour gagner en vitesse, avant d’être dirigée vers une trajectoire lunaire d’une durée d’un mois.

    Vikram s’est détaché de son module de propulsion la semaine dernière et transmet des images de la surface de la Lune depuis son entrée en orbite lunaire le 5 août. Une fois qu’il aura aluni, un rover fonctionnant à l’énergie solaire explorera la surface et transmettra des données à la Terre pendant deux semaines.

    À lire aussiDe nouveaux partenariats en vue à l’occasion de la visite en France de Narendra Modi
    Ingénieurs qualifiés

    Le programme aérospatial indien est doté d’un budget relativement modeste mais qui a été considérablement augmenté depuis sa première tentative de placer une sonde en orbite autour de la Lune en 2008. Cette mission indienne, d’un coût de 74,6 millions de dollars (66,5 millions d’euros), selon les médias, bien inférieur à celui des autres pays, témoigne d’une ingénierie spatiale frugale.

    Selon les experts du secteur, l’Inde parvient à maintenir des coûts bas en reproduisant et en adaptant la technologie spatiale existante à ses propres fins, notamment grâce à l’abondance d’ingénieurs hautement qualifiés bien moins payés que leurs confrères étrangers.

    La précédente tentative d’alunissage en 2019, qui coïncidait avec le 50e anniversaire de la première sortie sur la Lune de l’Américain Neil Armstrong, avait coûté 140 millions de dollars (124 millions d’euros), soit près du double du coût de la mission actuelle.

    Premier pays asiatique à placer un satellite en orbite autour de Mars en 2014, l’Inde devrait envoyer une mission habitée de trois jours en orbite terrestre d’ici à l’année prochaine. Pour M. Sivan, les efforts de l’Inde pour explorer le pôle Sud lunaire pourraient apporter une contribution «très, très importante» aux connaissances scientifiques.

    À lire aussiLa sonde russe Luna 25 s’est écrasée sur la Lune
    La Russie félicite l’Inde

    L’agence spatiale russe Roscosmos a félicité mercredi l’Inde pour l’alunissage réussi de son vaisseau Chandrayaan-3, quelques jours après que la sonde russe Luna-25 s’est écrasée sur la Lune lors d’une mission similaire.

    «La société d’État Roscosmos félicite ses collègues indiens pour l’alunissage réussi du vaisseau spatial Chandrayaan-3», a indiqué l’agence spatiale russe dans un communiqué. «L’exploration de la Lune est importante pour toute l’humanité. Dans l’avenir, elle pourrait devenir une plate-forme pour l’exploration de l’espace lointain», a-t-elle ajouté.

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