Yvan Benedetti arrêté pour dépôt de Gerbe sur la Tombe de Pierre Sidos, Voie Libre pour les croûtenards et autre déviants en tout genre. Vidéos.

ILS savent que c’est LE NATIONALISME des Peuples de Toutes les Nations du Monde qui les fera chuter.

ACTION FRANCAISE NATIONALISTE.

C’est Rudy Reichstadt des Rothschild, du Fonds Marianne et de la Fondation Shoah qui parle le mieux de Pierre Sidos, Français sans Peur et sans Reproche.

LA NOMENKLATURA PREFERE, ET DE LOIN, LES CROÛTENARDS QUI ONT TOUS LA VOIE LIBRE.

On appelait également ça : “LES SOUPEURS”.

Qui sont les croûtenards, ces marginaux qui trempent leur pain dans les urinoirs ?

Personnages délurés nés d’un fétichisme pour les toilettes publiques, les croûtenards n’ont pourtant qu’un hobby simple : tremper du pain dans l’urine pour ensuite le déguster copieusement. Des vespasiennes d’époque aux urinoirs douteux de la Gare du Nord, rencontre avec ces rôdeurs de pissotières aux habitudes boulangères.

by Anna Summer

 21 décembre 2014

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« Son truc c’était les pissotières et surtout les croûtes de pain qui trempent dans les grilles ». Dès 1936, la prose saignante de Louis-Ferdinand Céline gonflait les pages de Mort à Crédit d’un constat intriguant : il se passe quelque chose d’étrange autour des urinoirs. Pourtant, adossée au mur rugueux de la prison de la santé, la dernière pissotière à l’ancienne de la capitale semble aujourd’hui oubliée de tous et bien peu sont ceux qui remarquent désormais ce curieux monument autrefois nommé « vespasienne ». Construit en 1834 afin d’améliorer l’hygiène publique de la ville, ces urinoirs aux cloisons vert sombre sont pourtant rapidement devenus l’un des points de rendez-vous secret du monde homosexuel et de la prostitution masculine. Surnommées les « baies » ou les « tasses », les vespasiennes offraient suffisamment d’intimité pour que s’y nouent les amours anonymes et parfois tarifées.

Déboussolés par la disparition des vespasiennes

Au milieu de cette faune interlope, il n’était pas rare de croiser alors un autres type de personnage rodant mystérieusement autour des pissotières : les croûtenards. Aussi appelés « soupeurs », ces individus marginaux répétaient généralement le même rituel, déposant au matin du pain dur dans les urinoirs et venant le soir récupérer et manger leurs croûtons imbibés par l’urine des inconnus. Évoqués brièvement dans certains livres de Jean Genet, Albert Simonin ou Auguste Le Breton, les soupeurs ont souvent pris les allures d’une légende urbaine autant que d’un mythe relayé par la littérature et son goût pour les marges. D’autant plus qu’à partir de 1961, en raison de la mauvaise fréquentation de ces pissotières publiques, la mairie de Paris décide de la suppression progressive des vespasiennes au profit des sanisettes, plus propres et adaptées aux besoins féminins. Peu à peu, les croûtenards perdent donc leur point de rendez-vous privilégié en même temps que le lieu de leur fascination.

Devenu spécialiste du sujet via le blog Croutenardland qu’il a un temps tenu, Emmanuel Villemin a eu l’occasion, au hasard de soirées dans des bars, de rencontrer quelques-uns de ces croûtenards déboussolés par la disparition des vespasiennes. Aujourd’hui, tout en gardant minutieusement l’anonymat de ses sources, il raconte en détails comment s’est créé dans le Paris des année 70 un groupe de néo-croutenards s’autodéfinissant comme des « traîne-pissotières » :

« Ils étaient 5 ou 6 mecs d’une vingtaine d’années issus du milieu homo un peu trash. Pour rire, ils s’étaient baptisés le gang des papis croûtenards. L’un d’eux avec qui j’ai passé plusieurs soirées m’a raconté qu’après la disparition des vespasiennes, leur lieu préféré était devenu les urinoirs de la Gare du Nord car ils étaient extrêmement fréquentés et dans un état immonde, ce qui les excitaient encore plus. Tous les week-ends, ils allaient donc y déposer leurs croûtons de pains puis revenaient plus tard pour les manger ».

« Chacun fait ça dans son coin »

Au fil du temps, le gang des papis croûtenards a même appris à connaître les adresses de boulangeries dont le pain se désagrège moins vite sous l’effet de l’urine, ou à développer différentes techniques dont la plus surprenante est celle qui consiste à congeler son pain avant de le déposer, puis de revenir sucer le croûton encore gelé et imbibé d’urine.

« Après ça, ils ramenaient souvent chez eux des croûtons dans un tupperware et s’organisaient un grande bouffe en les incorporant à leurs plats. Ça faisait partie de leur rituel. Ils buvaient des verres d’urine et beaucoup d’alcool puis finissaient en baisant ensemble, mis à part deux d’entre eux qui étaient impuissants », s’amuse l’ami des soupeurs à l’évocation de ces souvenirs.

Si aujourd’hui les papis croûtenards ont vieilli et finalement laissé de côté leurs sorties du week-end, il n’empêche que la pratique du pain dans les urinoirs n’a pas disparu pour autant. En sillonnant sur internet les différents forums dédiés à l’urophilie et aux sexualités marginales, on trouve encore quelques croûtenards, dont celui que nous appellerons Guillaume, originaire de Marseille. « Je crois que mon attirance pour l’urine vient du fait que lorsque j’étais enfant mon père urinait sans complexe devant moi dans la salle de bain familiale. J’ai donc toujours été attiré par les pissotières et c’est comme ça que j’ai découvert les croûtenards », explique ce pratiquant occasionnel. « Mais aujourd’hui, avec l’aseptisation des urinoirs publics, cette pratique est devenue de plus en plus isolée et même sur internet, il est difficile de rencontrer d’autres croûtenards. Chacun fait ça dans son coin ».

Pourtant, si au hasard d’un pipi nocturne dans l’un des bars louches de la rue de Solférino à Lille, les curieux prennent la peine de lever les yeux de leurs pissotières, ils pourront lire sur une petite plaque de céramique : « Ne pas déposer de croûtons de pain dans les urinoirs ». Preuve qu’un peu partout, les voleurs d’urine sont toujours là pour casser la croûte.

Source : Les Inrocks

Les Vespasiennes ont été supprimées dans les années 70.

Mais RIEN n’arrête les Vices Maladifs des cerveaux malades dans une société qui vénèrent Satan dans laquelle c’est LE BIEN qui est persécuté.

Michel Amas est Avocat.

“Qu’est-ce que cela fait à l’âme ?”

Soutien Total à Yvan Benedetti : NOUS NE LÂCHERONS JAMAIS RIEN, NOUS SOMMES VOS PIRES ENNEMIS ET NOUS VOUS FERONS TOMBER, SACHEZ-LE.

“Toute rébellion contre l’ordre de l’homme est noble, tant qu’elle ne masque pas une rébellion contre l’ordre du monde.”

Nicolás Gómez Dávila.

Merci à tous pour vos dons de soutien à Pro Fide Catholica.

Bon et Saint Dimanche à Tous dans la joie et la Gloire de Dieu.

Ainsi soit-il.


Un commentaire

  • “Quelqu’un doit prendre la place des gouvernements et le business me semble l’entité logique pour le faire”. D. Rockefeller en 1999.

    Il dit ça comme un truisme : “plus c’est gros et plus ça passe!”

    Ce que Rockefeller dit est déjà opérationnel depuis la République. Les Francs-maçons sont le bras politique de Rothschild, de la finance et du commerce. On voit le résultat aujourd’hui. Ils sèment le chaos après avoir pillé la nation et son peuple. Pour eux, il n’y a que le rendement qui les intéressent. Après, ils jettent le peuple et espèrent l’incinérer pour dépopuler. Puis ils passent à un autre peuple pour faire la même chose : parasiter l’économie, siphonner les bénéfices et enfin incinérer la population exangue. C’est ce que Attali appelle le temps cyclique.

    Pourquoi Rockefeller veut-il que les businessmen dirigent? Parce qu’ils sont en majorité disciples de Satan, de Lucifer et de la Kabbale. La Kabbale leur convient bien, car elle est amorale. Le commerce a toujours détesté la morale et le Christianisme. Déjà du temps de St. Louis. Les commerçants n’aiment pas le nationalisme où les parts de marché sont plus faibles et mieux réparties dans des PME. Ils préfèrent le mondialisme et la mondialisation qui créent des fortunes gigantesques pour quelques uns qui rachètent ensuite toutes les PME.

    Le problème vient aussi que la Kabbale est moniste. Le monisme est la métaphysique amorale sans Dieu. Elle vient d’Orient. C’est l’homme au pouvoir (ou le “sage”) qui décide de tout. Il y a donc une lutte pour le pouvoir afin de tout décider, jusqu’aux génocides. Ce sont les plus retors, les plus amoraux et les plus criminels qui obtiennent le pouvoir. Leurs décisions risquent d’être populicides et constamment dirigées vers leurs intérêts. Leurs buts sont leur propre gloire et leur autodéification. Pour eux, l’humanité est un troupeau de bétail que l’on peut exploiter, consommer et jeter a volo. S’il n’y a pas Dieu, même des “sages”, sont des gens corruptibles, faibles, influençables, faillibles, etc.

    Dans les nations avec dirigeants chrétiens, il y a moins de dérégulations et d’ultralibéralisme et plus de lois et de règles pour protéger le peuple, freiner les grosses fortunes et les empêcher de dominer le Monde.

    Il n’y a que le dualisme métaphysique entre Dieu et l’humanité qui fonctionne idéalement et universellement.

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