Dites-moi par Qui vous vous laissez diriger et je vous dirai Qui vous êtes. Vidéos.

« Celui qui dit la vérité aujourd’hui a tout le monde contre lui : victimes et bourreaux. En particulier les victimes qui veulent surtout ne pas être défendues mais anesthésiées. Elles se vautrent dans la destruction fangeuse et putrescente. »
Roger Dommergue Polacco de Ménasce dans son ouvrage : “J’ai mal de la terre”.

Hommage au Dernier Dandy juif Roger Dommergue qui a TOUT révélé. Vidéos …
“Le poison du code civil de Napoléon di Buonaparte «Un code de lois qui semble avoir été fait pour un citoyen idéal, naissant enfant trouvé et mourant célibataire ; un code qui rend tout viager, où les enfants sont un inconvénient pour le père, où toute œuvre collective et perpétuelle est interdite, où les unités morales, qui sont les vraies, sont dissoutes à chaque décès, où l’homme avisé est l’égoïste qui s’arrange pour avoir le moins de devoirs possible, où l’homme et la femme sont jetés dans l’arène de la vie aux mêmes conditions, où la propriété est conçue non comme une chose morale mais comme l’équivalent d’une jouissance toujours appréciable en argent, un tel code, dis-je, ne peut engendrer que faiblesse et petitesse. Avec leur mesquine conception de la famille et de la propriété, ceux qui liquidèrent si tristement la banqueroute de la Révolution… préparèrent un monde de pygmées et de révoltés.»
Ernest Renan cité dans L’esprit familial par Monseigneur Delassus.


Le diable apparut à trois moines et leur dit : si je vous donnais le pouvoir de changer quelque chose du passé, que changeriez-vous ? Le premier d’entre eux, avec une grande ferveur apostolique, répondit :
“Je vous empêcherais de faire tomber Adam et Ève dans le péché afin que l’humanité ne puisse se détourner de Dieu.”
Le second, un homme plein de miséricorde, lui dit : “Je t’éloignerais de Dieu et tu te condamneras éternellement”.
Le troisième d’entre eux était le plus simple et, au lieu de répondre au tentateur, il s’est mis à genoux, a fait le signe de croix et a prié en disant :
“Seigneur, libère-moi de la tentation de ce qui pourrait être et de ce qui n’était pas”.
Le diable, poussant un cri rauque et frissonnant de douleur, disparut.
Les deux autres, surpris, lui dirent : « Frère, pourquoi as-tu répondu ainsi ?
Il répondit : « Premièrement : nous ne devons JAMAIS dialoguer avec le diable.
Deuxièmement : PERSONNE au monde n’a le pouvoir de changer le passé.
Troisièmement : l’INTÉRÊT de Satan n’était pas de prouver notre vertu, mais de nous piéger dans le passé, afin que nous négligions le présent, le seul moment où Dieu nous donne sa grâce et où nous pouvons coopérer avec lui pour accomplir sa volonté”.
De tous les démons, celui qui attrape le plus les hommes et les empêche d’être heureux est celui de :
« Ce qui aurait pu être et n’était pas ».
Le passé est laissé à la merci de Dieu et l’avenir à sa Providence. Seul le présent est entre nos mains. “Vivre l’instant présent”.

Notre Présent est que sommes sous la république Cabaliste, Talmudique, Franc-maçonne, démocratique donc Destructrice de la France, devenue un repère d’assassins, de mafieux en tous genre, d’homosexuels et de transexuels oeuvrant TOUS contre Notre Religion et celle de nos Pères, LA RELIGION CATHOLIQUE.


Cette « France du métissage » ouverte à l’afflux de « nouveaux citoyens », cette France sans patrie ayant aboli ses frontières et renié son identité, a été, il y a plus de 200 ans, décrite par Anacharsis Cloots comme l’aboutissement du projet républicain :
Anacharsis Cloots (1755-1794), prophète de la République universelle
[La France républicanisée qui se montre à nos yeux aujourd’hui, cette « France de métissages » ouverte à l’afflux de « nouveaux citoyens », cette France mondialisée et sans patrie ayant aboli ses frontières, renié son identité et abandonné son nom, cette France déchue et humiliée a été, il y a plus de deux siècles, décrite par Anacharsis Cloots comme l’aboutissement sublime du projet républicain.]
Anacharsis Cloots ne fait pas partie des figures retenues par l’hagiographie républicaine. C’est d’autant plus injuste que les idées de ce révolutionnaire décapité en 1794 imprègnent les esprits de nombreux républicains depuis la Révolution. Député de l’Oise, membre puis secrétaire du Club des Jacobins, les délires mondialistes de Cloots, le mot n’est pas anachronique ici, annoncent le dire et le faire de la République « française » pour les deux siècles à venir, et même son accomplissement final par la dissolution de la francité dans l’universel et le cosmopolite de notre temps.
Cloots pousse la logique républicaine jusqu’au bout. Trop pressé au goût d’un Robespierre contraint de composer avec des réalités implacables, il refuse de transiger sur les principes. Il veut que la République universelle en ses fondements et ses principes se réalise immédiatement par la destruction systématique des nations et des peuples. Trop « pur », Cloots ne peut attendre et dévoile une doctrine qui doit être tue pour que les Français, au nom de la Patrie et de la Nation, soient les bons outils sacrificiels dont l’entreprise républicaine se servira durant deux siècles. Cloots le paiera de sa vie et de la place qui lui revenait dans le roman républicain. Il annonce pourtant Coudenhove-Kalergi, Attali, Soros et notre société multiraciale. Il partage avec nos élites d’aujourd’hui la même haine des nations, des identités, des frontières et la même certitude en l’avènement prochain d’une société planétaire. Cloots, dont l’influence a été déterminante, est un personnage étonnement « moderne ».
Cloots, un « cosmopolite »
Tout d’abord Cloots est un « cosmopolite ». Il revendique le mot et en fait une profession de foi. Il annonce que lorsque tous les hommes seront « cosmopolites », la République sera « universelle » (« Le baiser fraternel des cosmopolites sera le sceau de la république universelle[1] »). D’ailleurs, le mot « français » dérange le député. Il proclame qu’il ne faut être ni Français, ni Anglais, ni Européen, ni Américain mais « homme » tout simplement, citoyen de la même cité avec les autres hommes[2]. Ce « citoyen de la république des hommes » n’a qu’une patrie : « le monde » ! Aussi demande-t-il la suppression du nom « Français » : « je demande la suppression du nom Français […] Tous les hommes voudront appartenir à la république universelle ; mais tous les peuples ne voudront pas être français [3]». La République ne doit donc plus se proclamer « française », c’est une dénomination qui est « fausse et préjudiciable[4] » dit Cloots.
On ne peut dénier à Cloots une certaine logique. Effectivement la République, fondée sur des principes qui se veulent universels, n’est pas plus « française » que zoulou ou berbère. Effectivement encore, la mise en avant de la francité, c’est-à-dire de l’identité spécifique, n’est pas le meilleur moyen pour intégrer dans l’universel… à moins évidemment de faire de la francité une simple catégorie juridico-administrative non signifiante. C’est l’option, plus douce, choisie par le camp républicain depuis Cloots. De fait aujourd’hui, le mot « français » a quasiment été supprimé dans la mesure où il n’a plus aucun sens identitaire, donc plus aucun sens du tout. Tout le monde pouvant se dire « français » plus personne ne l’est vraiment, d’autant que le personnel politico-médiatique s’accorde pour dire que les Français de souche, « ça n’existe pas » (Hollande) et que la France n’est qu’un « conglomérat de peuples » aléatoire et changeant (Eric Besson).
Un cosmopolite hargneux
Comme tous les philanthropes et autres néocons qui organisent aujourd’hui des coups d’Etat, des révolutions de couleur et des guerres libératrices, Cloots déborde d’amour pour son prochain. Il veut lui assurer un « bonheur durable », le libérer et lui apporter une existence paisible. Comment ? Par la guerre bien sûr ! Au procès du Roi, « premier Tribunal de l’univers » dit-il (sic), il propose d’envoyer Louis XVI à l’échafaud « au nom du genre humain » (il faut « prendre la hache du bon sens pour couper la fibre royale »[5] ). Il en va de « l’indivisibilité du monde ». Car le monde doit être « régénéré ». Aussi Cloots demande-t-il la guerre au nom du genre humain. Il faut propager la « doctrine » républicaine : « l’âge d’or est au bout de nos baïonnettes, le sort de l’univers »[6]. Il faut submerger le monde sous un « torrent démocratique », il faut propager les « droits de l’homme » jusque dans la capitale du Dalaï Lama, il faut imposer un « système de liberté universelle » et une « régénération universelle »[7]. Car la Déclaration des droits n’est pas que pour la France seule, écrit Cloots. Non plus que la République, la démocratie, la « loi commune » ou même l’organisation en départements ! Cloots compte sur « nos armées libératrices » (en fait sur le sang des Français dont il dit vouloir effacer le nom) pour apporter les valeurs de la République jusqu’en Asie, en Mauritanie, au Japon, au Kamtchatka ou au Spitzberg ! Cloots se pose comme le précurseur des théoriciens du devoir d’ingérence (« marchons aux tyrans» pour libérer les peuples et imposer la démocratie) et de la violence légitime (tuer les hommes au nom des droits de l’Homme).
La destruction des nations
Les nations et les peuples qu’elles incarnent sont pour Cloots la base de l’anarchie, du despotisme, de la « dévastation » et de la guerre : « il n’y a pas de fléau plus désastreux que les corporations nationales »[8]. Ici encore, le discours de Cloots apparaît étonnement moderne dans sa manière très « européiste » de relier le fait national à la barbarie et à la guerre. Le « morcellement politique » de la planète doit donc disparaître. Il faut substituer au cri de vive la nation , le «cri plus beau, plus généreux, plus éclatant de vive le genre humain ! »[9] . La République doit abattre les frontières, imposer une « constitution universelle » et un « système planétaire », de manière qu’il n’y ait plus au monde qu’une seule « Nation », une « confédération des individus sur l’autel de la loi » (c’est nous qui soulignons) gouvernée par un « sénat du genre humain ». Pour pouvoir abolir les nations et les ramener à une somme d’individus, il faut auparavant les « niveler », un mot qui revient souvent sous la plume de Cloots (ainsi veut-il « niveler » l’Espagne, l’Angleterre, le Mexique, le Pérou, le Sénégal, la Gambie…). La « nation nivelée » est une nation « départementalisée » – c’est-à-dire réduite à un statut administratif – qui a renié ses erreurs, notamment en matière de religion, et reconnu les droits de l’homme, la démocratie et la « République universelle ». La nation ainsi détruite peut alors s’emboîter dans un « monde organisé départementalement » (« le damier départemental va niveler la terre »[10]).
La destruction des frontières n’a que des avantages pour Cloots. C’en sera fini de la guerre : « les hostilités seront bannies du monde […] lorsque les nations n’auront plus de frontières. […] le principe de l’unité souveraine du peuple humain rendra le monde heureux et paisible »[11]. Et puis, plus de problème de change monétaire, de concordance dans les poids et mesures, de lois. Le commerce régulé par le pouvoir des « juges de paix » deviendra permanent et la valeur des marchandises ne sera plus troublée par la diversité des règles et des monnaies. Cloots nous propose le meilleur des mondes : « Tous les individus se précipiteront dans le sein de la république des individus unis, dans les bras du genre humain »[12] (c’est nous qui soulignons).
Un cosmopolitisme qui suppose le mélange des peuples et l’immigration de peuplement
«Tous les individus se précipiteront… » . Pour Cloots, cela ne fait aucun doute : « les peuples sauront franchir les barrières pour s’embrasser fraternellement »[13]. Anticipant les grandes invasions de notre siècle, il prédit qu’une « force incalculable attirera journellement de nouveaux citoyens »[14]. Il est persuadé que la République « mettra tout le monde d’accord », bien qu’il lui faille pour cela impérativement bannir son qualificatif de « française ». D’ailleurs, Cloots ne connaît pas un homme, quel que soit le climat, qui réfuterait un seul article de la déclaration des droits, base de la loi commune[15]. Tous les hommes sont frères et il prévient : « ceux qui veulent exclure de notre association fraternelle […] les individus qui habitent hors de l’Europe, commettent une injustice… ». Aussi Cloots propose-t-il un « nivellement absolu » et un « renversement total de toutes les barrières » qui séparent la « famille humaine »[16]. Le mélange des hommes dissociés de leurs peuples (« je ne veux ni despote, ni peuples »[17]) donne des accents lyriques au cosmopolite Cloots : Italiens, Danois, Espagnols, « tous le monde s’empressera de se confondre dans la grande société, pour en partager les bénéfices, pour en goûter les délices […] le bonheur sera sans borne »[18] . Dans le sillage de Clermont-Tonnerre, Cloots demande un décret qui interdise toute agrégation collective de peuple à peuple. L’agrégation à la République universelle (l’intégration dirait-on aujourd’hui) doit être « individuelle »[19] . Les rivalités d’autrefois disparaîtront tout naturellement avec la disparition des « anciens noms » et des « anciennes démarcations ».
Une incarnation de la République
Cloots est un théoricien fondamental du républicanisme. Il s’attache au cœur nucléaire de la doctrine, à son espérance profonde, à cet ADN seul à même d’expliquer la biologie républicaine et le visage monstrueux et déformé de malformations congénitales que montre la République. Cloots « révèle » que le colonialisme et la guerre (« l’envahissement universel ») ; la société ouverte et multiraciale (la « république des hommes ») ; le mondialisme (« l’Etat des individus-Unis ») ; le cosmopolitisme ; le rejet des identités et des appartenances (la « régénération sainte ») ; la conception utilitariste du peuple français, simple outil au service d’une idéologie universaliste ; la « haine civique » des patries et des nations ; le « nivellement » des hommes et des peuples ; le devoir d’ingérence (« au nom du genre humain ») ; la destruction des frontières ; la volonté de construire un espace sans barrière tel un jour l’Union européenne ; l’agrégation des hommes de toutes origines à la république universelle… sont inscrits dans les gènes de la République « française » et ne sont absolument pas « accidentels ». La France républicanisée qui se montre à nos yeux aujourd’hui, cette « France de métissages » ouverte à l’afflux de « nouveau citoyens », cette France mondialisée et sans patrie ayant aboli ses frontières, renié son identité, abandonné son nom, cette France qui cherche à intégrer et à niveler sa population, cette France portant la guerre dans la monde au nom des droits de l’homme et de la démocratie, cette France qui se dilue dans l’Union européenne et la soumission à une gouvernance globale… a été décrite par Cloots comme l’aboutissement sublime du projet républicain.
Cloots est un républicain pressé, il veut tout, tout de suite. C’est un révolutionnaire en décalage avec une République qui adoptera une stratégie réformiste. De 1789 à aujourd’hui, par étape successives et de déstructurations en déconstructions, les idéaux républicains, véritable entreprise d’ingénierie sociale, vont progressivement effacer le nom « français » et tous les noms comme le voulait Cloots. «L’orateur du genre humain », comme il aimait à s’appeler, incarne ainsi à la fois le cosmopolitisme, le mondialisme et la République « française ». Il est l’un des fondateurs du régime politique qui opprime aujourd’hui notre peuple.
[1] A. Cloots, Etrennes de l’orateur du genre humain aux cosmopolites, 1793
[2] A. Cloots, op.cit.
[3] A. Cloots, Bases constitutionnelles de la République du genre humain, 1793
[4] A. Cloots, Etrennes…
[5] A. Cloots, Harangue à la Convention Nationale, 1792
[6] A. Cloots, Discours, séance aux Jacobins 1er janvier 1792
[7] A. Cloots, Etrennes… op.cit.
[8] A. Cloots, Etrennes… op.cit.
[9] A. Cloots, Etrennes… Op.cit
[10] A. Cloots, Discours à l’Assemblée Nationale, 9 sept. 1792
[11] A. Cloots, Discours à l’Assemblée Nationale, 9 sept. 1792
[12] A. Cloots, Discours à l’Assemblée Nationale, 9 sept. 1792
[13] A. Cloots, Discours à l’Assemblée Nationale, 9 sept. 1792
[14] A. Cloots, Discours à l’Assemblée Nationale, 9 sept. 1792
[15] A. Cloots, La République Universelle, 1792
[16] A. Cloots, La République Universelle, 1792
[17] A. Cloots, La République Universelle, 1792
[18] A. Cloots, La République Universelle, 1792
[19] A. Cloots, La République Universelle, 1792
Antonin Campana : http://www.autochtonisme.com/2016/11/anacharsis-cloots-1755-1794-prophete-de-la-republique-universelle.html
Pour Cloots, Seuls les juifs pouvaient diriger “la république universelle”.

Après la révolution dite “française” les communistes/socialistes n’ont eu de cesse de s’accaparer l’oeuvre sociale de l’Eglise catholique pour la dénaturer, la rendre 100% matérialiste en l’expurgeant de toute idée divine/christique. Ils sont (presque) parvenus à leurs fins.
La preuve par ce qu’a écrit Etienne Cabet.


Le socialisme et surtout le communisme ont été prêchés L’Evangile à la main par Karl Marx et Trotsky, il faut absolument rappeler cette vérité historique.
Etienne Cabet n’invente Rien. Ses écrits respirent, que dis- je, transpirent les idéaux Francs-Maçons du XIX siècle et ce, jusqu’à nos jours. Les premiers penseurs communistes et/ou socialistes du XIX étaient TOUS dans les loges.
Les 3 tomes du Père Nicolas Deschamps vont l’expliquer admirablement. Le Tome 2 particulièrement.
Editions Saint-Rémi : https://saint-remi.fr/fr/judaisme-franc-maconnerie/879-les-societes-secretes-et-la-societe-9782845198128.html


« Réaction violente de la liberté et de la charité opprimées moralement par les doctrines destructives de la foi, et physiquement par l’égoïsme, ravisseurs ou détenteurs injustes du bien public, le communisme et le socialisme prennent leur point de départ dans cette double iniquité, comme ils trouvent dans la prétention de la réparer avec éclat le redoutable principe de leur force. »
Monseigneur Gaume, l’Europe en 1848.

« […] un monde dominé par la Force est un monde abominable, mais le monde dominé par le Nombre est ignoble. […] Le Nombre crée une société à son image, une société d’êtres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales. »
Georges Bernanos.

« La cause de toutes vos erreurs, messieurs, c’est que vous ignorez la direction de la civilisation et du monde. Vous croyez que la civilisation [moderne] et le monde avancent quand ils rétrogradent. Le monde marche à grands pas à la constitution d’un despotisme, le plus gigantesque et le plus destructeur que les hommes aient jamais vu. Pour annoncer ces choses, je n’ai pas besoin d’être prophète ; il me suffit de considérer l’ensemble effrayant des événements humains, de leur seul vrai point de vue, des hauteurs catholiques. »
Donoso Cortès -1819-

Voilà LE SEUL REMEDE à nos maux pour relever la France :
« La France se relèvera chrétienne, ou elle ne se relèvera pas. » Cardinal Pie

Merci à Tous pour aider Pro Fide Catholica par vos dons.
Exorcisme collectif
« Malheur à vous, terre et mer ! Car le diable est descendu vers vous. Il souffle de rage, car il sait qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps. » L’humanité ébranlée n’est pas livrée sans protection et sans défense au mal absolu – elle devient une puissance collective… d’Ivo Sasek, fondateur de Kla.TV [lire la suite]
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr
très important a étre unis dans ce combat ensemble pour délivrer ce monde de la tyranie !! Jésus -Christ en nous est la victoire !! Nous somme ce cheval Blanc qui va vaincre !!
unis dans son amour
« […] un monde dominé par la Force est un monde abominable, mais le monde dominé par le Nombre est ignoble. […] Le Nombre crée une société à son image, une société d’êtres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales. » Georges Bernanos.
La numérologie fait partie de l’occultisme, comme les symboles, la magie, l’alchimie, la voyance, la superstition, l’idéalisme, le monisme métaphysique et l’irrationnel. Toutes ces notions ont été rejetées par le Christ. Pourquoi? parce qu’elles sont toxiques pour la Raison et la Vérité. Donc aussi pour l’individu, la société, la philosophie et la politique. Descartes a repris ces notions antiques en s’appuyant sur l’alchimiste Roger Bacon au XIIIe siècle, sur la Kabbale et les ésotéristes adeptes des “sciences” occultes.
A quoi sert l’occultisme? Il sert les initiés pour réaliser leurs projets socio-politiques de domination, d’enrichissement et de monde à double standard. Rien d’autre. C’est en tout cas ce que l’on observe dans la réalité concrète. Il y a donc la filiation : Satan-démons-satanisme-“sciences”occultes-ésotérisme-Kabbale-communisme-gauchisme woke-cosmopolitisme-uniformisation-ségrégation entre initiés (surhommes) et l’humanité (sous-hommes).
Les initiés ou surhommes sont le peuple élu de Lucifer ou la race des Seigneurs nazie. C’est un concept kabbaliste dans les deux cas, défendu par le suicidé Nietzsche et son Übermensch.
Le Christianisme représente le monde normal, naturel, voulu par Dieu.
« Prophéties et Visions d’Anne Catherine Emmerich »
REQUIEMETERNAM
11,6 k abonnés. 20 951 vues. 9 août 2022
Prophéties sur la démolition de l’Eglise : Vatican II
Elle à écrit ça presque 150 ans avant Vatican II . C’est prophétique… C’est presque effrayant de voir décrire Vatican II + notre époque.
« Visions et Prophéties d’Anne Catherine Emmerich née le 8 septembre 1774 à Coesfeld (en principauté épiscopale de Münster) et décédée le 9 février 1824 à Dülmen (dans la province de Westphalie), est une religieuse catholique, appartenant à l’ordre des augustines et une mystique. Elle est vénérée comme bienheureuse par l’Église catholique. Elle est commémorée le 9 février selon le Martyrologe romain. »
Anne-Catherine Emmerich a des visions prophétiques concernant l’avenir de l’Eglise. Elle décrit une période où deux papes cohabitent. Voici plusieurs citations extraites des visions de la bienheureuse.
«Je vis le Pape en prières ; il était entouré de faux amis qui souvent faisaient le contraire de ce qu’il disait. Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l’Église. Je le vis très entouré de trahisons. Ils veulent enlever au pasteur le pâturage qui est à lui ! Ils veulent en imposer un qui livre tout aux ennemis ! (alors saisie de colère, elle leva le poing en disant) Coquins d’allemands ! Attendez ! Vous n’y réussirez pas ! Le pasteur est sur un rocher ! Vous prêtres, vous ne bougez pas ! Vous dormez et la bergerie brûle par tous les bouts ! Vous ne faites rien ! Oh, comme vous pleurerez cela un jour !».
«Je vis ensuite que, quand ils introduisaient l’évêque de la manière qu’ils s’étaient proposée (après l’avoir élu démocratiquement ?) il était intrus, introduit contre la volonté du Pape et qu’il ne possédait pas légitimement l’autorité spirituelle. Je vis, à ce que je crois, presque tous les évêques du monde, mais un petit nombre seulement parfaitement sain».
« J’ai vu également la relation entre les deux papes … J’ai vu combien seraient néfastes les conséquences de cette fausse église. Je l’ai vue augmenter de dimensions; des hérétiques de toutes sortes venaient dans la ville (de Rome). Le clergé local devenait tiède, et j’ai vu une grande obscurité. »
« Je vois le Saint-Père dans une grande détresse. Il habite un autre palais qu’auparavant et n’admet près de lui qu’un petit nombre d’amis. Si le mauvais parti connaissait sa force, il aurait déjà éclaté. Je crains que le Saint-Père, avant sa mort, n’ait encore bien des tribulations à souffrir. Je vois la fausse Eglise de ténèbres en progrès et la funeste influence qu’elle exerce sur l’opinion. La détresse du Saint-Père et de l’Eglise est réellement si grande que l’on doit implorer Dieu jour et nuit …Il m’a été prescrit de beaucoup prier pour l’Eglise et le Pape … »
« J’ai vu le Saint-Père entouré de traîtres dans une grande détresse de l’Eglise. Il avait des visions et des apparitions dans les heures de détresse. J’ai vu beaucoup de bons, pieux évêques, mais ils étaient faibles et indécis, leur lâcheté prenait souvent le dessus. J’ai vu des hommes aux noirs projets, les destructeurs s’en prendre à l’Église de Pierre, Marie debout avec son manteau sur elle, et les ennemis de Dieu mis en fuite… Puis j’ai vu l’obscurité se répandre partout et les hommes chercher la véritable Eglise. Ils sont allés vers une autre (Eglise) qui leur disait : « Tout est plus beau, plus naturel, ici, mieux légiféré », mais je ne vis aucun ecclésiastique parmi eux. » *https://hozana.org/saints/bienheureuse-anne-catherine-emmerich
L’histoire des 3 moines est excellente!
l’esprit famillial est une belle référence.