Un autre exemple des complots Mortels Francs-Maçons : l’équipe pédo-Criminelle du maire franc-maçon de Saint-Etienne Gaël Perdriau piégée et exposée par Médiapart. Vidéos.

Lorsque l’on supprime Dieu et son Eglise ainsi que le Père Protecteur de la Famille au sein d’une société, ce sont les instincts primitifs de l’homme qui ressurgissent rendant ainsi tous les vices pervers et les moeurs les plus bestiales à devoir mettre en action pour “glorifier sa superbe par tous les moyens”.
Pour atteindre ses objectifs, la Franc-Maçonnerie exalte la violence, la corruption, la dissimulation et la séduction.
Violence qui peut aller et qui va jusqu’au meurtre et qui reste évidemment impuni par la corruption des autorités ; la dissimulation afin de ne pas paraître ce qu’ils sont réellement et la séduction exercée sur les élites afin de masquer les véritables intentions de la perfide secte.
FRANCE CATHOLIQUE CONTRE LA FRANC-MACONNERIE
ACTUALITÉS, ANTI-MAÇONNIQUE | | 1 | BY A.S.
France catholique est un hebdomadaire catholique français créé en 1924.
La journaliste et Chroniqueuse, Véronique Jacquier, présente en vidéo le dernie numéro de FRANCE CATHOLIQUE sur le thème :
« France-maçonnerie : pourquoi l’Église dit non. »
Dans un article publié sur le site la journaliste explique que « Dans les années 30, l’hebdomadaire a été à l’avant-poste dans la lutte contre la maçonnerie. »
Dans les années 30, la franc-maçonnerie est éclaboussée par une série de scandales financiers. Le plus célèbre est lié à l’affaire Stavisky en 1934. À l’époque, la vindicte envers les loges est telle que des demandèrent à l’Assemblée nationale leur dissolution, en décembre 1935. La Grande Loge (GLF) exclut six cents de ses membres. Le Grand Orient de France (GODF) vacille sur ses fondations.
Les faits révélés par l’affaire Stavisky, quelques mois auparavant,
sont terriblement gênants. Serge Alexandre Stavisky est un escroc de haut vol, d’origine russe, au charme incontestable. Son arnaque la plus connue est
celle du Crédit municipal de Bayonne, avec l’émission de faux bons au porteur pour un montant de 261 millions de francs. L’homme a déjà été poursuivi pour fraude à de nombreuses reprises et relaxé 19 fois ! La police le retrouve agonisant dans un chalet de Chamonix en janvier 1934. Suicide ou crime ? La presse de l’époque se demande à qui sa mort profite le plus. L’enquête menée tambour battant après l’escroquerie du Crédit municipal de
Bayonne révèle les nombreuses relations entretenues par l’homme dans le milieu de la police, de la justice, de la presse et de la politique. Presque tous ceux qui voient leur nom révélé dans le scandale sont… francs-maçons !

Le combat d’un journal
C’est dans ce contexte que La France Catholique publie en Une, dans le numéro 393 du 3 mars 1934, un article intitulé « La Vérité ». Commençant par « Français ! », le texte se termine par la consigne maçonnique : « On doit sentir la Maçonnerie partout. On ne doit la découvrir nulle part. » Sont nommées quinze personnes, dont Alfred Dominique, un avocat mêlé à l’affaire Stavisky, membre du Grand Orient.

Dans un entretien révélé par Mediapart, l’ancien directeur de cabinet de Gaël Perdriau, Pierre Gauttieri, et le communicant Gilles Rossary-Lenglet évoquent l’élaboration, durant l’été 2015, d’un piège pour filmer l’ancien maire de Saint-Étienne entre 1994 et 2008 en compagnie d’une prostituée mineure.
« Le risque, c’est qu’il se suicide »
La vidéo diffusée ce dimanche par le media en ligne révèle un entretien entre les deux hommes en train d’élaborer ce piège : faire tomber Michel Thiollière en le filmant en compagnie d’une prostituée mineure.
Les propos sont violents : « Il se peut qu’il se suicide » affirme Gilles Rossary-Lenglet. « On est d’accord que… Comment dirais-je ? On s’en branle » renchérit l’ancien directeur de cabinet. Une fois encore, l’ancien bras droit de Gaël Perdriau assume « faire le job avec les armes que je peux avoir ».

Prostituée mineure et caméras cachées : le clan Perdriau a aussi ciblé l’ancien maire de Saint-Étienne
Après le piège à la sextape contre le premier adjoint de la ville, l’équipe de l’actuel maire de Saint-Étienne a élaboré un autre complot crapuleux. Le plan : attirer l’ancien édile de droite Michel Thiollière dans les bras d’une prostituée de « 16 ans » originaire des pays de l’Est, et le filmer à son insu. Mediapart diffuse les extraits vidéo d’une réunion préparatoire, lors de laquelle les membres du clan Perdriau envisagent un suicide de l’ex-maire. « On s’en branle », concluent-ils.
Toujours plus loin dans l’ignominie. Le clan du maire de Saint-Étienne Gaël Perdriau a voulu piéger une autre personnalité politique locale, l’ancien édile Michel Thiollière, qui a dirigé la ville de 1994 à 2008, en le filmant à son insu avec une prostituée mineure, d’après des informations de Mediapart. Ce projet crapuleux, qui n’a finalement pas abouti, a été élaboré à l’été 2015, près de six mois après le piège tendu au premier adjoint Gilles Artigues avec un escort boy dans une chambre d’hôtel, au cours de réunions de travail organisées au sein de l’hôtel de ville, comme le prouve notamment une vidéo dont nous diffusons plusieurs extraits (voir ci-dessous).










Léon XIII commence par rappeler, à la suite de saint Augustin, qu’il y a, dans le monde, deux camps qui s’affrontent : l’Église et la F.-M. Il rappelle la lutte de ses prédécesseurs contre les sociétés maçonniques.
Pape Léon XIII, Dall’ Alto ; 15 oct. 1890 : « Il est désormais inutile d’intenter un procès contre les sectes maçonniques. Elles sont déjà jugées ; leurs fins, leurs moyens, leurs doctrines, et leurs actions sont tous connus avec une incontestable certitude. Possédées par l’esprit de Satan, lesquelles sont ses instruments, elles brûlent comme lui d’une haine mortelle et implacable contre Jésus-Christ et contre Son œuvre ; et elles s’efforcent par tous les moyens de le renverser et l’entraver. »
Pape Léon XIII, In Ipso ; 3 mars 1891 : « Néanmoins, il nous afflige de penser que les ennemis de l’Église, unis dans la plus mesquine des conspirations, planifient d’affaiblir et même, si c’était possible, d’effacer totalement ce merveilleux édifice que Dieu a érigé comme refuge pour la race humaine. »
Voilà ce que Roncalli et sa lignée ANTI CATHOLIQUE de Vatican 2 ont fait rentrer au sein du Vatican Catholique : fausses religions et MOEURS QUI CRIENT VENGEANCE A DIEU.

La Franc-Maçonnerie, ennemie mortelle enseignée par l’Église Catholique de Vatican 1 et bénie par les suppôts de Satan de Vatican 2 :
HUMANUM GENUS
Aux Vénérables Patriarches, Primats, Archevêques, Évêques et autres ordinaires en paix et communion avec le Siège Apostolique
Depuis que, par la jalousie du démon, le genre humain s’est misérablement séparé de Dieu auquel il était redevable de son appel à l’existence et des dons surnaturels, il s’est partagé en deux camps ennemis, lesquels ne cessent pas de combattre, l’un pour la vérité et la vertu, l’autre pour tout ce qui est contraire à la vertu et à la vérité. Le premier est le royaume de Dieu sur la terre, à savoir la véritable Eglise de Jésus Christ, dont les membres, s’ils veulent lui appartenir du fond du coeur et de manière à opérer le salut, doivent nécessairement servir Dieu et son Fils unique, de toute leur âme, de toute leur volonté. Le second est le royaume de Satan. Sous son empire et en sa puissance se trouvent tous ceux qui, suivant les funestes exemples de leur chef et de nos premiers parents, refusent d’obéir à la loi divine et multiplient leurs efforts, ici, pour se passer de Dieu, là pour agir directement contre Dieu. […]
À notre époque, les fauteurs du mal paraissent s’être coalisés dans un immense effort, sous l’impulsion et avec l’aide d’une Société répandue en un grand nombre de lieux et fortement organisée, la Société des francs-maçons. […]
Il importe souverainement de faire remarquer combien les événements donnèrent raison à la sagesse de Nos prédécesseurs. Leurs prévoyantes et paternelles sollicitudes n’eurent pas partout ni toujours le succès désirable : ce qu’il faut attribuer, soit à la dissimulation et à l’astuce des hommes engagés dans cette secte pernicieuse, soit à l’imprudente légèreté de ceux qui auraient eu cependant l’intérêt le plus direct à la surveiller attentivement. Il en résulte que, dans l’espace d’un siècle et demi, la secte des francs-maçons a fait d’incroyables progrès. Employant à la fois l’audace et la ruse, elle a envahi tous les rangs de la hiérarchie sociale et commence à prendre, au sein des États modernes, une puissance qui équivaut presque à la souveraineté. De cette rapide et formidable extension sont précisément résultés pour l’Église, pour l’autorité des princes, pour le salut public, les maux que Nos prédécesseurs avaient depuis longtemps prévus. On est venu à ce point qu’il y a lieu de concevoir pour l’avenir les craintes les plus sérieuses; non certes, en ce qui concerne l’Eglise, dont les solides fondements ne sauraient être ébranlés par les efforts des hommes, mais par rapport à la sécurité des États, au sein desquels sont devenues trop puissantes, ou cette secte de la franc-maçonnerie, ou d’autres associations similaires qui se font ses coopératrices et ses satellites. […]
Il existe dans le monde un certain nombre de sectes qui, bien qu’elles diffèrent les unes des autres par le nom, les rites, la forme, l’origine, se ressemblent et sont d’accord entre elles par l’analogie du but et des principes essentiels. En fait, elles sont identiques à la franc-maçonnerie, qui est pour toutes les autres comme le point central d’où elles procèdent et où elles aboutissent. Et, bien qu’à présent elles aient l’apparence de ne pas aimer à demeurer cachées, bien qu’elles tiennent des réunions en plein jour et sous les yeux de tous, bien qu’elles publient leurs journaux, toutefois, si l’on va au fond des choses, on peut voir qu’elles appartiennent à la famille des sociétés clandestines et qu’elles en gardent les allures. Il y a, en effet, chez elles, des espèces de mystères que leur constitution interdit avec le plus grand soin de divulguer, non seulement aux personnes du dehors, mais même à bon nombre de leurs adeptes. À cette catégorie, appartiennent les conseils intimes et suprêmes, les noms des chefs principaux, certaines réunions plus occultes et intérieures ainsi que les décisions prises, avec les moyens et les agents d’exécution. À cette loi du secret concourent merveilleusement : la division faite entre les associés des droits, des offices et des charges, la distinction hiérarchique savamment organisée des ordres et des degrés et la discipline sévère à laquelle tous sont soumis. La plupart du temps, ceux qui sollicitent l’initiation doivent promettre, bien plus, ils doivent faire le serment solennel de ne jamais révéler à personne, à aucun moment, d’aucune manière, les noms des associés, les notes caractéristiques et les doctrines de la Société. C’est ainsi que, sous les apparences mensongères et en faisant de la dissimulation, une règle constante de conduite, comme autrefois les manichéens, les francs-maçons n’épargnent aucun effort pour se cacher et n’avoir d’autres témoins que leurs complices.
Leur grand intérêt étant de ne pas paraître ce qu’ils sont, ils jouent le personnage d’amis des lettres ou de philosophes réunis ensemble pour cultiver les sciences. Ils ne parlent que de leur zèle pour les progrès de la civilisation, de leur amour pour le pauvre peuple. À les en croire, leur seul but est d’améliorer le sort de la multitude et d’étendre à un plus grand nombre d’hommes les avantages de la société civile. Mais à supposer que ces intentions fussent sincères, elles seraient loin d’épuiser tous leurs desseins. En effet, ceux qui sont affiliés doivent promettre d’obéir aveuglément et sans discussion aux injonctions des chefs, de se tenir toujours prêts sur la moindre notification, sur le plus léger signe, à exécuter les ordres donnés, se vouant d’avance, en cas contraire, aux traitements les plus rigoureux et même à la mort. De fait, il n’est pas rare que la peine du dernier supplice soit infligée à ceux d’entre eux qui sont convaincus, soit d’avoir livré la discipline secrète, soit d’avoir résisté aux ordres des chefs; et cela se pratique avec une telle dextérité que, la plupart du temps, l’exécuteur de ces sentences de mort échappe à la justice établie pour veiller sur les crimes et en tirer vengeance. Or, vivre dans la dissimulation et vouloir être enveloppé de ténèbres; enchaîner à soi par les liens les plus étroits et sans leur avoir préalablement fait connaître à quoi ils s’engagent, des hommes réduits ainsi à l’état d’esclaves; employer à toutes sortes d’attentats ces instruments passifs d’une volonté étrangère; armer pour le meurtre des mains à l’aide desquelles on s’assure l’impunité du crime, ce sont là de monstrueuses pratiques condamnées par la nature elle-même. La raison et la vérité suffisent donc à prouver que la Société dont Nous parlons est en opposition formelle avec la justice et la moralité naturelles. […]
Et plût à Dieu que tous, jugeant l’arbre par ses fruits, sussent reconnaître le germe et le principe des maux qui nous accablent, des dangers qui nous menacent. Nous avons affaire à un ennemi rusé et fécond en artifices. Il excelle à chatouiller agréablement les oreilles des princes et des peuples; il a su prendre les uns et les autres par la douceur de ses maximes et l’appât de ses flatteries. […]
Léon XIII, encyclique « Humanum Genus » 20 avril 1884.
Merci à Tous pour vos dons à Pro Fide Catholica.
Il y a une quinzaine d’années le film Il Divo est passé quelques jours à La Teste de Buch puis a été très vite sorti de l’affiche !
Introuvable en location si ce n’était à Paris !
Cherchez l’erreur !
Tout y est sur les liens entre la mafia, la f;m; et l’Eglise officielle…
Là, ça va chauffer, preuves patentes!! Article vu hier soir. Bcp de bons commentaires en tweets. Mille mercis!!