Empoisonnement de Napoléon, à l’arsenic

Le 27 juillet 1844, Mazzini dit : « Rothschild pourrait être roi de France s’il le voulait . » L’Encyclopédie juive notait (édition de 1909) : « En 1848, la maison parisienne de Rothschild valait 600 millions de francs contre 352 millions de francs détenus par tous les autres banquiers parisiens réunis. »

Dans son livre « Les Juifs et Le Capitalisme Moderne », le professeur Werner Sombart écrit : « Les Rothschild, les principaux prêteurs flottants du monde, furent plus tard les premiers rois des chemins de fer. A partir de 1820, la période est devenue  » l’âge des Rothschild », de sorte qu’au milieu du siècle, une expression devint très courante : « Il n’y a qu’une seule puissance en Europe, c’est Rothschild. »

Le 3 décembre 1923, Hearst commenta dans son The Chicago Evening American : « Les Rothschild peuvent déclencher ou annuler des guerres et leur parole pourrait faire ou défaire des empires. » Reeves note : « La chute de Napoléon fut l’ascension de Rothschild. » Napoléon a ensuite été lentement empoisonné à mort avec de l’arsenic par un agent Rothschild. Ils n’avaient pas besoin d’un autre « retour d’exil ».

Le New York Evening Post écrit le 22 juillet 1924 : « Le Kaiser devait consulter Rothschild pour savoir s’il pouvait déclarer la guerre. Un autre Rothschild s’est chargé de tout le fardeau du conflit qui a renversé Napoléon. » Le chancelier du Kaiser, Bethmann-Hollweg, qui avait précipité la Première Guerre mondiale, était un membre de la famille bancaire de Francfort, Bethmann, et cousin des Rothschild. Après la chute de Napoléon, Salomon persuada l’empereur d’Autriche de délivrer des titres de noblesse aux cinq frères.

Le Congrès de Vienne a été la mue du cocon en papillon. Le diktat de ce Congrès était simple: les aristocraties d’Europe doivent se soumettre à notre volonté, sinon elles sont condamnées. La condamnation à mort sur toute la noblesse européenne a été prononcée par ceux qui avaient la volonté d’exécuter leur édit. Il a fallu un siècle de plus pour perfectionner l’œuvre, non pas par faiblesse, mais par prudence, sans révéler toute leur force. Au combat, l’arme décisive est celle que votre adversaire ne connaît pas.

Eustace Mullins / L’ordre mondial / 12

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