Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Très graves enjeux de souveraineté /Emprise sur tous les Vivants

4 décembre 2023 – 16:13par La rédaction Infodujour

Grégory Houillon est Maître de conférences, enseignant-chercheur à l’université de Poitiers en droit public et science politiques. Il a enseigné en France et à l’étranger. Spécialisé sur la pénalisation de l’action publique, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le lobbying dont Lobbying. Du déni au défi (Presses Littéraires, 2017). Dans cette entrevue, il nous fait part de son analyse juridique sur ce projet de traité en cours de discussion et nous transmet son analyse plus approfondie à télécharger ci-dessous.

Télécharger l’expertise juridique approfondie relative au projet de traité pandémie

Pandémie de Covid-19 (UnLimphotos)
Combien de morts dus au Covid-19 ? L’OMS avoue des erreurs de calcul. (UnlimPhotos)

Que prévoit de faire ce traité sur les pandémies et quels sont ses délais ?

L’objectif du traité consiste en une révision du Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS. Le RSI est considéré comme un instrument de droit international, un accord juridiquement contraignant conclu par pratiquement tous les pays du monde (à l’exception du Liechtenstein), qui invite les membres à détecter, évaluer, signaler et répondre aux urgences de santé publique de manière coordonnée. En vertu de son actuel article 2, le RSI a pour objet et pour portée de « prévenir la propagation internationale des maladies, à s’en protéger, à la maîtriser et à y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elle présente pour la santé publique, en évitant de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux ».
L’Organe international de négociation (OIN) s’est ainsi attelée à la rédaction d’un projet de traité, dont la dernière version accessible est celle transmise aux Etats membres qui date du 1er février 2023. Ce projet sera examiné à la 76ème Assemblée mondiale de la Santé, qui se tient en mai 2023. L’OIN espère conclure l’accord en mai 2024, ce qui permettrait à l’OMS de déclarer les pandémies et soumettre les États membres à son autorité « de direction et de coordination du travail sanitaire international ».

Quels sont ses objectifs et en quoi posent-ils problème ?

De l’exposé des motifs introductif du projet de traité, on peut retenir une volonté des Etats membres de se donner les moyens juridiques d’agir en cas de pandémie – dans un cadre permanent et non uniquement d’exception – et de contenir l’appréhension différenciée par les Etats de la gestion d’une pandémie comme cela a pu être le cas lors de la survenance la pandémie de Covid-19. On peut aussi y relever le rôle central que les Etats-parties envisagent de donner à l’OMS en tant qu’autorité directrice et coordonnatrice, ainsi que la nécessité d’une intervention « pansociétale » (whole-of-society), en s’appuyant sur plusieurs concepts comme les « systèmes de santé résilients » ; le programme « One Health », ou encore la « couverture sanitaire universelle ». Son champ d’application sera, en vertu de son article 5, à la fois national, régional et international.

A l’analyse, ce projet de traité semble poser un problème de fond ainsi qu’un problème de forme. Sur le fond, il constitue, au prétexte de la prophylaxie et d’une vision globale de la gestion d’une future pandémie, une immixtion importante dans les prérogatives inhérentes à la souveraineté interne des Etats membres. Ce qui amène une nécessité de forme : la nécessité d’en respecter le cadre constitutionnel
contraignant pour procéder à sa ratification.

En quoi s’agit-il d’une immixtion dans la souveraineté des Etats ?

Outre qu’il limite fortement les réserves des Etats et ne permet pas de retrait du traité avant un période de deux ans après la date d’entrée en vigueur du traité, le projet de traité sur les pandémies vient s’immiscer de façon importante dans la souveraineté des Etats de plusieurs façons, que nous pouvons synthétiser en trois points :

  • D’abord, le projet de traité organise un transfert de pouvoirs des Etats membres à l’OMS en matière de santé. L’article 3 § 3 du projet de traité pose la limite du principe de souveraineté des Etats, tout en le conditionnant à l’évidence même qu’il ne soit préjudiciable aux populations. Qui appréciera cette condition d’une grande complexité à apprécier du préjudice à la population en matière de santé ? Et à partir de quel seuil considère-t-on un dommage à la population ? Le projet n’en dit rien.
  • Ensuite, ces concessions se révèlent à la lecture du projet de traité, encore plus graves et importantes. En effet, le traité organise dans son article 15, l’exercice d’un pouvoir solitaire pour le Directeur Général de l’OMS qui décide seul, en l’état du projet, sans contrepouvoirs ni conditions claires, de la possibilité de déclencher une pandémie.
  • Enfin, le projet de traité excède largement le domaine de la seule santé publique dans son champ d’application, ce qui accroit la gravité du transfert de compétence indirectement organisé. Trois éléments permettent de le constater : d’abord, avec la mise en œuvre du concept « One Health » (synergies multisectorielles et transdisciplinaires), qui s’étend au climat et à l’environnement mais aussi à l’agriculture, l’école, l’information, les médias et le numérique (programmes éducatifs de sensibilisation, gestion des infodémies, lutte contre les fake news et la désinformation etc.).
  • https://www.who.int/health-topics/one-health#tab=tab_1 ( note lien par Theara )
  • Plus encore, il s’immisce dans les compétences législatives et l’exercice du pouvoir réglementaire des autorités nationales et les conséquences juridiques des mesures de santé publique (confinements, couvre-feux, isolements, fermetures) peuvent toucher à l’ordre public interne des Etats avec des mesures relevant du noyau dur des compétences régaliennes de l’Etat (ministère de l’intérieur, justice). Le traité permet une intervention de l’OMS non seulement au plan régional et international, mais aussi national. Et il faut ajouter que ce traité, malgré un titre trompeur, dépasse le seul cadre pandémique, puisque qu’il engage les Etats dans ce qu’il appelle les « périodes inter-pandémiques » (formule récurrente retrouvée dans les principaux articles).

Or, de telles compétences ainsi concédées sont au cœur de la souveraineté de l’Etat et ont des effets sur les libertés fondamentales. Elles relèvent d’un noyau dur de « compétences régaliennes », ont trait aux libertés publiques et ne peuvent en aucun cas être concédés par l’Etat. Or, ce serait incontestablement le cas si l’Etat liait toute décision à l’appréciation et à la direction d’une organisation internationale comme l’OMS. Car la santé publique est intimement liée à l’ordre public interne et à aux libertés. Si l’on se réfère à l’alinéa 15 du préambule de la Constitution de 1946 qui dispose que « sous réserve de réciprocité, la France consent aux limitations de souveraineté nécessaires à  l’organisation et à la défense de la paix », force serait de constater que le projet de traité sur les pandémies va bien au-delà de la simple « organisation et défense de la paix » tel que prévu par cette disposition. Il pourrait bien de ce point de vue, se retrouver en contrariété avec la
Constitution sur plusieurs points.

Ce traité sera-t-il vraiment contraignant ? Et si oui, dans quelle mesure ?

En pratique, cela va dépendre. Certes, dès son préambule, le projet de traité précise que « Dans le cadre du mandat susvisé, l’INB a établi un processus et une approche systématique pour son travail et en a convenu, lors de sa deuxième réunion, que l’instrument devrait être juridiquement contraignant et contenir à la fois des stipulations juridiquement contraignantes aussi bien que des éléments juridiquement non contraignants.» Mais, l’on voit bien qu’à l’analyse du projet, les choses ne sont pas aussi claires et qu’il risque d’y avoir une interprétation au cas par cas, article par article, par le juges saisis au contentieux, tant du traité que des lois qui seront initiées pour le mettre en œuvre. En effet, ce genre de document préparatoire permet au juge d’analyser chaque stipulation dans le cadre du contentieux dont il est saisi afin d’en déterminer le caractère impératif ou non pour l’Etat. Il faudra donc s’en remettre à la jurisprudence.

Ce futur traité vise donc incontestablement à produire des effets juridiques si l’on suit les volontés de son auteur. De plus, il faut se référer à la précision d’un certain nombre de stipulations qui prévoient les engagements des Etats, comme par exemple, l’article 13 qui prévoit que les Etats devront mener des exercices réguliers biannuels avec des simulations multi-pays pour identifier les lacunes et vulnérabilités de leurs systèmes afin de les rendre résilients. On peut aussi citer, entre autres stipulations, l’article 19 § 1, d) qui prévoit un financement de chaque Etat sur la base d’une « ressource PIB », ou chaque Etat contribuera au financement des institutions créées par le traité à hauteur d’un pourcentage à définir de son PIB.

 S’il est contraignant pour les Etats, il faudra bien que ce traité soit ratifié par eux, dont la France ?

Oui, car ce projet relève incontestablement d’un véritable traité international. Au regard du droit des traités, le texte est écrit et régi par le droit international (Charte des Nations-Unies et Constitution de l’OMS) et qui plus est multilatéral (il concerne les 194 Etats membres de l’OMS, ce qui lui donne aussi une importance certaine), et d’autre part, il appert que, dès lors que dans ses travaux préparatoires et en préambule du document, les auteurs ont explicitement voulu rendre le texte juridiquement contraignant en tout ou partie et que celui-ci comporte des engagements précis, nous n’avons plus à faire à un simple accord mais à un véritable traité au sens de l’article 55 de la Constitution. Et c’est là que le cadre constitutionnel intervient pour lui imposer des formes obligatoires rigoureuses pour sa ratification.

Dans un précédent article avec le Professeur de droit international Francis Boyle, nous avions vu qu’une clause permettait une application provisoire. Le traité n’essaierait-il pas de prévoir des exceptions possibles pour faire appliquer ce traité avant sa ratification en bonne et due forme ?

Le projet de traité semble en effet prévoir une application provisoire des futures stipulations. Son article 35 évoque la possibilité pour un État signataire d’appliquer, « à titre provisoire, en tout ou partie », les stipulations du texte. Il faut toutefois rappeler que le propre du provisoire est de ne jamais être définitif. Et le paragraphe 2 de l’article 35 vient le confirmer en prévoyant immédiatement que cette application provisoire prend nécessairement fin à la date d’entrée en vigueur du traité. Ne produisant plus ses effets juridiques, il sera alors nécessaire de ratifier le traiter par les voies « normales », prévues par le droit constitutionnel français, conformément à l’article 19 de la Constitution de l’OMS. Aussi, une telle application revient à « reculer pour mieux sauter » puisque, quand bien même ces stipulations s’appliqueraient provisoirement depuis quelques mois, les parties n’échapperont pas à la ratification en la forme prévue par leur modèle constitutionnel.

Justement, que prévoit alors le droit constitutionnel français pour la ratification de ce traité ?

La ratification relève de l’article 53, alinéa 1 er de la Constitution : « Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi ». Les traités doivent donc, lorsqu’ils relèvent de ces catégories de conventions régies par le droit international, faire l’objet d’une ratification solennelle en la forme législative et donc passer par la voie parlementaire. Dans ce cas, sur le plan administratif, en application de l’article 39 de la Constitution, le Conseil d’Etat devra être consulté comme pour tous les projets de loi autorisant la ratification ou l’approbation des traités ou accords énumérés à l’article 53. Il faut aussi rappeler que, si la ratification d’un tel traité est de nature législative, cette nature législative peut être parlementaire (article 53 de la Constitution) mais aussi référendaire (article 11 de la Constitution), en dépit de la démophobie ambiante (plus aucun référendum de ce genre n’a été organisé depuis quasiment 20 ans).

En l’état du droit, vous pensez donc que sa ratification ne pourra faire l’économie d’une loi ou d’un référendum. L’enjeu est-il important ?

Evidemment. Il ressort donc à l’évidence que ce traité multilatéral rédigé dans le cadre de l’OMS, va produire des effets de droit, créer de nouvelles institutions internationales, comporte des stipulations budgétaires pour les Etats et va imposer en droit français des modifications de nature législative au droit préexistant, comme par exemple des modifications des dispositions du Code de la santé publique (de valeur législative), mais pas seulement, car des confinements, une politique d’isolement et de quarantaines, une obligation du port du masque en population générale ou une campagne éventuelle de vaccination obligatoire ou supplétive de volonté produiront inévitablement d’évidentes conséquences sur l’exercice des libertés fondamentales. La mise en œuvre de mesures sanitaires de prophylaxie ou de lutte contre les épidémies implique la mise en œuvre d’instrument relevant de la police administrative, qui revient, dans l’intérêt de l’ordre public sanitaire, à entraver l’exercice de plusieurs libertés. Par exemple, l’instauration d’un « pass » sanitaire ou vaccinal comme cela a été le cas pendant la crise du Covid-19 nécessite un encadrement législatif avec des garanties accordés aux citoyens en contrepartie de telles entraves – même temporaires – aux libertés. Catégories

Article transferé integralement par Théara Truth News

6 décembre 2023 FRANCE

2 EME PARTIE PAR THEARA :

Les reactions SAINES et non pas ‘sanitaires’ de pays engagés, se multiplient

PAYS BAS :

De saines réactions , enfin ! face à ces globalistes sans foi ni loi :

Et en FRANCE? …..ZERO !!! … au contraire on s’insinue au plus haut grade , contre toute forme de critiques de ‘traitements ‘médicaux ” surs et efficaces”

Le gouvernement français s’en prend aux « théoriciens du complot » du Covid et aux médecines complémentaires et alternatives dans un projet de loi visant à lutter contre les sectes

Article connexe : article de fond:https://profidecatholica.com/2023/12/04/la-guerretotale-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/A

Autres articles liés en cliquant Théara sur le site Pro Fide : voir : vaccinations de tous les animaux d’élevage et sauvages.

https://www.woah.org/en/what-we-do/standards/codes-and-manuals/terrestrial-code-online-access/

ET:

https://www.simv.org/actualites/vaccins-veterinaires-le-one-health-en-pratique

ou il est dit : “D’abord, les vaccins destinés aux animaux n’ont rien à envier aux vaccins humains quant à l’innovation et aux nouvelles technologies (vaccins recombinants, vecteurs, à ADN et ARN )”

Ah? vraiment?

Tous les pauvres animaux d’élevage vont aussi subir des ‘ vaccins’ à ARNm “avec les conséquences que l’ on sait après 3 ans sur les humains qui les ont pris,à cause des bio technologies désastreuses qui les composent.

Mais de toute façon  dans le PHYLOCODE  l’Etre humain a  été  re -catégorisé dans la categorie” Animal” aussi.

Les chimères génétiques ont aussi droit de cité dans le PHYLOCODE

Yuvel Noah Harrari dit bien que l’Homme est un animal piratable comme les autres, que le libre arbitre , L ‘Ame, le secret des pensées c’est fini et que le Christ crucifié et ressuscité “ce sont des fake News”

Nous sommes au bord de la dictature planétaire soi disant ‘ sanitaire’ totale, GLOBALE, contre tous les vivants. Dans des buts non de “santé”, mais de CONTROLE du VIVANT de TRAÇAGE sur tout le vivant et de MODIFICATION du Vivant.

Avec des manipulations bio technologiques et génétiques qui sont absolument certaines et vérifiées , sur tous les Vivants, comme au temps de Noé.


Nous sommes deja dans la grande Tribulation

Vous êtes distraits nuit et jour par des sujets sans importance

Matthieu 24


15 Quand donc vous verrez dans le lieu saint l’abomination de la désolation, dont le prophète Daniel a parlé (que celui qui le lit y fasse attention),
16 Alors que ceux qui seront dans la Judée s’enfuient aux montagnes ;
17 Que celui qui sera au haut de la maison ne descende point pour emporter quoi que ce soit de sa maison ;
18 Et que celui qui est aux champs ne retourne point en arrière pour emporter ses habits.
19 Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là !
20 Priez que votre fuite n’arrive pas en hiver, ni en un jour de sabbat ;
21 Car alors il y aura une grande affliction ; telle qu’il n’y en a point eu depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et telle qu’il n’y en aura jamais.
22 Que si ces jours-là n’avaient pas été abrégés, aucune CHAIR n’eût échappé ; mais à cause des élus ils seront abrégés.
23 Alors si quelqu’un vous dit : Le Christ est ici, ou : Il est là ; ne le croyez point.
24 Car de faux christs et de faux prophètes s’élèveront et feront de grands signes et des prodiges, pour séduire les élus mêmes, s’il était possible.
25 Voilà, je vous l’ai prédit.
26 Si donc on vous dit : Le voici dans le désert ; n’y allez point : Le voici dans des lieux retirés ; ne le croyez point.
27 Car, comme l’éclair sort de l’orient et se fait voir jusqu’à l’occident, il en sera aussi de même de l’avènement du Fils de l’homme.

36 Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, non pas même les anges du ciel, mais mon Père seul.
37 Mais comme il en était aux jours de Noé, il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme ;
38 Car de même qu’aux jours d’avant le déluge les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et donnaient en mariage, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ;
39 Et qu’ils ne connurent rien jusqu’à ce que le déluge vint et les emporta tous ; il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme.
40 Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera pris et l’autre laissé ;
41 De deux femmes qui moudront au moulin, l’une sera prise et l’autre laissée.
42 Veillez donc, car vous ne savez pas à quelle heure votre Seigneur viendra.

Amen !

Article Compose par Theara Truth News . France

6 Commentaires

  • Article très complet!! Chapeau et mille mercis! Je pense que des kinjal vont tomber aux bons endroits, j’attends cela depuis le mois de mai. Edgar Cayce, mort en 45, avait annoncé: la Russie sauvera le monde. On aura possiblement des armées de Russie ou même de Chine, en France, mais ce sera pour nous sauver, faire écrouler l’Ue, et par suite, la triple alliance de talmud Fed: Usa-Ukr-Isr. VP sauvera le monde du sordide talmud transhuma. Vu la saison, je souhaite bonne fêtes à tous!!

  • Encore une menace, une prise de pouvoir sur les humains , dans le but de nous éliminer avec leur poisons . Les poisons, les mensonges, les viols ´les génocides nous savons QUI est QUI . Mais la roue tourne et la vérité triomphera toujours sur vos plans maléfiques mensonger.

  • Le vrai signal de la toute fin serait la construction du temple de Jérusalem pour la troisième fois, ce qui serait totalement blasphématoire vis à vis de Jésus Christ et de Dieu ! Ce serait la marque proche d’un anti-Christ à venir qui s’installerait dans ce nouveau temple pour se proclamer lui même dieu à la place de Dieu ! Comme de par hasard, ce nouveau Temple serait rebâti à la place de la mosquée Al-Aqsa ! Ceci explique le conflit actuel entre Israël et les Palestiniens !

  • Merci à Theara pour le développement de ce sujet oh combien dangereux pour nos libertés. J’ai retenu avec attention le paragraphe : « One Health » (synergies multisectorielles et transdisciplinaires), qui s’étend au climat et à l’environnement mais aussi à l’agriculture, l’école, l’information, les médias et le numérique (programmes éducatifs de sensibilisation, gestion des pandémies, lutte contre les fake news et la désinformation etc.).

    Ils fourrent tout dans la santé pour mieux faire passer la pilule.

    Leurs objectifs actuels sont connus sous l’appellation d’Agenda 2030 ou de développement durable. Les 17 sujets de l’Agenda, qui paraissent bienveillants, cachent une dictature technocratique et le wokisme.

    La méthode est connue : politique de l’illusion machiavélienne et kabbaliste, protocoles des sages de Sion pour aboutir à la réalisation des prophéties antiques devenues des injonctions messianiques à travers le transhumanisme, la dépopulation massive et l’esclavagisation des Goyim restant.

    Laurent Guyénot a écrit un intéressant article sur l’origine psychopatique du projet :

    Israël est aujourd’hui sur la scène internationale l’équivalent de ce qu’est un psychopathe dans la communauté des hommes. Après soixante-dix ans d’existence, les effets dévastateurs de son narcissisme pathologique et de sa mégalomanie paranoïaque, encore récemment illustrées par l’inversion accusatoire histrionique de Netanyahou contre le programme nucléaire iranien, se font sentir dans la planète toute entière. Son talent de manipulation est stupéfiant, en particulier sa capacité de diriger la politique étrangère et militaire de la plus grande puissance mondiale, en lui faisant croire qu’elle agit dans son intérêt quand elle n’agit en réalité que pour le bien d’Israël et creuse sa propre tombe. Car tout l’art de la manipulation est de faire croire au manipulé qu’il pense et qu’il décide, quand c’est vous qui pensez et décidez à travers lui : c’est bien ce que fait Israël avec les États-Unis en les entraînant à détruire tous les ennemis d’Israël au Proche et Moyen-Orient.
    Le psychopathe ne change pas. Rien n’arrêtera Israël. Son destin est écrit dans la Torah : c’est la soumission de toutes les nations à un nouvel ordre mondial centré à Jérusalem, prophétisée par Isaïe, et à nouveau par Ben Gourion en 1962 [1]. Les nations insoumises seront détruites ; ce sont les « sept nations » de la Bible (Deutéronome 7,1-2 et Josué 24,11), dont a parlé sans en avoir l’air le général Wesley Clark, fils du rabbin Benjamin Jacob Kanne [2]. C’est aujourd’hui le tour de la Syrie : « Oracle sur Damas. Voici Damas qui cesse d’être une ville, elle va devenir un tas de décombres » (Isaïe 17,1-2).
    Ce qui finit par perdre le psychopathe, c’est qu’il en fait trop. Parce que rien n’étanche sa soif de pouvoir, parce que la naïveté de ses victimes lui paraît sans limite, et parce que l’expérience lui démontre que les mensonges les plus gros sont ceux qui passent le mieux [3], il va toujours trop loin. Son impulsivité, son incapacité à gérer la frustration et l’humiliation, le poussent parfois à des actions dont les conséquences échappent à son contrôle. Un jour ou l’autre, le masque se fissure. Même ses larmes deviennent suspectes. Mais il est généralement trop tard : il ne laisse derrière lui que ruine et désolation.

    Qu’est-ce qu’un psychopathe ?
    La sociopathie — ou « trouble de la personnalité antisocial » (antisocial personality disorder) — est un syndrome de traits psychologiques. La « psychopathie » décrit sensiblement le même diagnostic. Mais ne soyons pas dupes des mots : le phénomène humain dont il est question est complexe, mystérieux, et peut être analysé indépendamment de ces catégories diagnostiques récentes et relativement arbitraires (lire par exemple Les Gens du mensonge de Scott Peck). La notion de « perversion narcissique », davantage vulgarisée en France à partir des travaux de Paul-Claude Racamier [4], recouvre sensiblement la même réalité, même si certains s’efforcent de les distinguer.
    Le Canadien Robert Hare a établi une liste de critères diagnostiques de la psychopathie qui fait autorité [5]. Les traits les plus marquants sont l’absence d’empathie et de conscience morale. Le psychopathe est un dominateur ; sa jouissance est de contrôler les autres en les privant de leur libre-arbitre, et sa capacité de nuisance n’est inhibée par aucun scrupule ou remord. Étant incapable de se mettre à la place des autres, le psychopathe est aussi incapable de porter sur lui-même un regard critique. Convaincu en toute circonstance de son bon droit, il considère le ressentiment de ses victimes comme une haine irrationnelle.
    Les critères diagnostiques de la psychopathie incluent aussi le mensonge chronique, la duperie (cunning) et la manipulation. Le psychopathe n’a pas de sentiment profond, mais il développe une grande aptitude à donner le change. Il peut être charmeur et charismatique, et ment avec un aplomb déconcertant. Il est incapable de ressentir de l’empathie, mais apprend à la simuler, avec parfois une tendance à l’histrionisme. Bien qu’immunisé contre la culpabilité, il se rend maître dans l’art de culpabiliser pour dominer. Le mensonge est tellement dans sa nature que la question de sa sincérité est presque sans objet. La vérité se confond pour lui avec la version des choses qui l’arrange. Il ne lui importe pas que ses paroles soient vraies, mais qu’elles soient crédibles.
    Selon Hervey Cleckley, pionnier dans ce domaine clinique (The Mask of Sanity, 1941), le psychopathe « présente une apparence technique de bonne santé, avec souvent même une haute performance intellectuelle, et il n’est pas rare qu’il réussisse en affaire ou dans ses activités professionnelles [6] ». Certains psychiatres jugent donc que le psychopathe n’est pas techniquement « malade ». Il n’a pas intériorisé la loi morale, mais il maîtrise les règles du jeu social.
    Du point de vue psychanalytique, cependant, le pervers narcissique refoule une blessure archaïque et vit sous la perpétuelle menace de la « dépression narcissique ». On peut en effet supposer qu’il refoule une honte de sa propre inhumanité ; qu’il projette sa « haine de soi » sur les autres ; qu’il veut se faire craindre parce qu’il se sait indigne d’amour. Ce sont là des suppositions sur son « inconscient ». Sur le plan cognitif conscient, en tout cas, il sait que son pouvoir réside dans le mensonge, et que, si les autres voyaient à travers son masque, il serait renvoyé à son néant. Comme il suppose les autres aussi cruels que lui (c’est le principe de l’inversion accusatoire, largement documenté par Hervé Ryssen [7]), il craint d’être littéralement détruit. Il doit donc mentir toujours plus, toujours mieux. Sa compulsion à la domination est le pendant de sa peur de l’anéantissement.

    L’avenir d’une manipulation
    Dans L’Avenir d’une illusion, Sigmund Freud a qualifié la religion de « névrose obsessionnelle universelle de l’humanité ». Il ne désignait pas une névrose au sens strict. Au contraire, écrivait-il, en adoptant la foi religieuse,
    « le vrai croyant se trouve à un haut degré à l’abri du danger de certaines affections névrotiques ; l’acceptation de la névrose universelle le dispense de la tâche de se créer une névrose personnelle [8] ».
    Freud visait le christianisme. Nous pouvons adopter une approche similaire du judaïsme, mais en nous tournant vers une autre catégorie de pathologie mentale que les névroses. Notre hypothèse est la suivante : par certains aspects essentiels, la judéité est une forme de sociopathie ou psychopathie collective.
    Dire cela ne signifie pas, bien entendu, que les juifs sont des psychopathes. La différence entre la psychopathie collective et la psychopathie au sens clinique est la même qu’entre la névrose collective et la névrose individuelle selon Freud : la participation à une mentalité psychopathique collective permet aux membres de la communauté, non pas de s’immuniser contre le trouble de la personnalité, mais de canaliser dans une large mesure les tendances psychopathiques vers l’extérieur de la communauté, et maintenir au sein de celle-ci un haut degré de sociabilité.
    L’idée est facile à illustrer : l’individu qui se perçoit comme intrinsèquement supérieur et qui exalte sa pulsion destructrice est un dangereux mégalomane. Mais Maurice Samuel est simplement un juif communautaire très engagé lorsqu’il écrit dans son livre de 1924 You
    Gentiles (« Vous, les Gentils ») :
    « toutes les différences entre vous, les Gentils, sont triviales comparées à ce qui vous sépare tous de nous».
    « Nous les juifs, nous les destructeurs, resterons pour toujours les destructeurs. […] Nous détruirons à jamais car nous avons besoin d’un monde à nous, un monde-Dieu, qu’il n’est pas dans votre nature de construire [9]. »
    Autrement dit, c’est uniquement lorsque les juifs pensent et agissent en tant que représentants des juifs et au nom des juifs — lorsqu’ils disent « nous, les juifs… » — que leurs comportements à l’égard des non-juifs et leur conception des rapports avec les non-juifs trahissent une structure psychopathique.
    Lorsqu’un juif dit « nous, les juifs… », il ne fait que reproduire un discours communautaire. Or, ce discours communautaire est un discours élaboré par les élites communautaires, dont les premiers furent la caste héréditaire des Lévites. L’idéologie dominante au sein d’une communauté est presque toujours l’idéologie insufflée par les dominants. Lorsqu’un juif est mû par sa judéité, il est mû en réalité par ses élites passées et présentes. C’est pourquoi le poète Samuel Roth écrivait, dans une étude très critique de sa propre communauté : « the evils of Israel are the evils of leadership. » Tous les malheurs des juifs, il les met en dernière instance sur le compte de « l’hypocrisie et la cruauté incroyables qui nous sont imposées par nos dirigeants fatals ».
    « En commençant par le Dieu d’Israël lui-même, ce furent les chefs successifs d’Israël qui, l’un après l’autre, ont rassemblé les juifs pour diriger leur tragique carrière — tragique pour les juifs et non moins tragique pour les nations voisines qui les ont subis [10]. »
    Lorsque nous parlons de psychopathie collective, nous voulons donc parler d’un système par lequel un nombre relativement restreint d’élites machiavéliques s’efforce de maintenir l’ensemble des juifs sous leur emprise pour leur faire reproduire leur mode de pensée. Pour le comprendre, faisons une comparaison avec un autre type de collectivité. Dans The Corporation : The Pathological Pursuit of Profit and Power, Joel Bakan fait remarquer que le comportement des grandes entreprises « est très similaire à celui du psychopathe [11] », par leur complète indifférence à la souffrance de ceux qu’ils écrasent dans leur course au profit. Or la culture d’une entreprise, à laquelle participe chaque employé à un degré ou un autre, est impulsée par son élite dirigeante (Enron est un cas d’école) [12]. Et une étude psychologique, publiée sous le titre Snakes in Suits, a montré qu’on trouve chez les cadres dirigeants des grandes entreprises une proportion anormalement grande de traits psychopathiques [13]. L’analyse que je fais de la psychopathie tribale juive repose exactement sur le même raisonnement.

    Étiologie de la judéité
    Selon l’ethnohistorien juif Raphael Pataï, auteur de The Jewish Mind (1977), le critère ultime de la judéité (Jewishness) est « la conscience d’appartenance [14] ». Être juif, confirme Alain Finkielkraut, « c’est me sentir impliqué, concerné, compromis parfois par ce que font les autres juifs. C’est un sentiment d’appartenance, d’affiliation [15]. » Cela revient à dire, ni plus ni moins, que la judéité est un tribalisme ; la mentalité tribale signifie que chacun des membres du groupe se voit lui-même et les autres membres prioritairement comme des parcelles du groupe, et ne se reconnaît de responsabilité qu’à l’égard du groupe.
    Ce tribalisme n’a pas la même intensité chez tous les juifs. On peut concevoir la judéité à l’image du champ gravitationnel d’une planète, qui décroît avec l’éloignement. Dans les sphères intérieures gravitent les juifs durs, totalement dévoués à la cause d’Israël et à ses ambitions les plus folles ; ceux que Racamier appellerait un « noyau pervers ». À la périphérie, comme des satellites éloignés, les juifs les moins engagés sont maintenus par une force gravitationnelle faible, et susceptibles à tout moment de quitter l’orbite. La planète elle-même, qui génère la judéité, est la Bible hébraïque.
    Le tribalisme n’est pas pathologique en soi. Mais le tribalisme juif présente la particularité unique de se combiner avec une prétention marquée à l’universalisme. Il ne s’agit pas de deux identités contradictoires, qui formeraient une complexité psychologique : c’est presque toujours en référence à leur judéité, et non en dépit d’elle, que les juifs se sentent et se proclament universalistes. Ils ne sont pas tiraillés entre tribalisme et universalisme : au contraire, c’est dans et par leur tribalisme qu’ils se sentent universalistes. L’universalisme des juifs est donc un universalisme juif, qui fait partie intégrante du tribalisme juif. C’est ce paradoxe qui trahit le mieux la nature irrationnelle, c’est-à-dire pathologique, de ce tribalisme juif. Il n’y a pas à l’intérieur de l’identité juive de dissonance cognitive entre universalisme et tribalisme, parce que l’universalisme juif est, en réalité, un tribalisme exacerbé de type narcissique et psychopathique. Il est l’expression d’une conviction inébranlable que les juifs savent mieux que le reste de l’humanité ce qui est bon pour l’humanité, parce que la judéité est l’essence de l’humanité. Cela va sans dire — et sans même réfléchir —, ce qui est bon pour l’humanité se confond avec ce qui est bon pour les juifs.
    L’universalisme juif signifie que les juifs sont au centre de l’univers. Qu’ils le sont de droit, et qu’ils doivent l’être de fait. L’universalisme juif est donc, de façon plus ou moins inconsciente, un fantasme de domination. C’est aussi, de façon plus ou moins consciente et calculée, un message aux nations pour endormir leur méfiance : « Nous, les Juifs, nous vous aimons ! Faites-nous confiance, laissez-nous vous guider. » C’est le masque du tribalisme dominateur. En tant que masque, il cache une peur profonde de la dangerosité potentielle de l’humanité du reste des hommes, si elle venait à démasquer l’imposteur. C’est le second paradoxe de la judéité : les juifs proclament haut et fort leur amour universel de l’humanité, tout en se disant à eux-mêmes être « le peuple élu par la haine universelle » (Léon Pinsker dans son Avertissement d’un juif russe à ses frères [16]).
    Comme la psychopathie, la judéité se caractérise donc comme une volonté de domination enracinée dans une terreur de l’extermination. Dominer pour ne pas disparaître ; et dominer toujours plus pour se prémunir contre l’hostilité qu’engendre cette domination. À l’arrivée, martèlent les élites juives, ce sera Jérusalem-capitale-mondiale ou Re-Shoah. Ainsi, en entretenant chez les juifs, par le culte mémoriel de la Shoah, ce que Gilad Atzmon nomme un Stress Pré-Traumatique permanent, les élites les font coopérer à l’agrandissement de leur propre pouvoir.
    Cette structure cognitive paranoïaque, inhibitrice de toute maturité psychologique, est sortie du moule de la Bible hébraïque, avec son dieu jaloux au double message : promesse de domination, menace d’extermination. Comme je l’écrivais dans un article précédent, le message de Yahvé à son peuple élu est en substance le suivant : « Ne fréquentez pas les peuples que vous côtoyez, méprisez leurs traditions et, lorsque c’est possible, exploitez-les, asservissez-les, exterminez-les. Si, après cela, ils vous font violence, c’est de votre faute : vous n’avez pas obéi assez scrupuleusement. » Telle est la désastreuse logique intériorisée depuis une centaine de générations, qui enferme les juifs dans une psychopathie collective, sans aucune chance d’en jamais sortir, sauf à rejeter l’autorité de Yahvé, à reconnaître en lui une idole monstrueuse, l’usurpateur diabolique de la divinité suprême.

    Tant que l’on aura pas compris tout cela, tant que la Franc-maçonnerie sera le passage obligé des politiciens, tant que l’oligarchie se substituera aux gouvernements, tant que les banques centrales continueront leur pillage usuraire, tant que les populations resteront ignorantes de ces réalités et de l’Histoire secrète où sont les véritables causes des événements, tant que l’idéalisme de Descartes sera la base d’une philosophie génératrice d’idéologies malsaines, on n’en sortira pas.

    Le Christ est et sera toujours l’unique Sauveur de l’Humanité.

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