Comment la Russie instrumentalise la révolte des agriculteurs et prépare la famine en Europe.
La « Jacquerie » qui commence à poindre dans toute l’Europe fait partie du programme de Davos et de l’Elite mondiale pour 2030, dans l’échéance 2023-2024. Cette révolte qui ne doit rien au hasard a pour seul but d’affamer l’Europe. En ce sens, il s’inscrit dans la continuité de l’initiative prise par le gouvernement néerlandais en juillet 2022 de réduire les émissions d’azote (qui sert à la production des engrais) de 50 % d’ici à 2030 (comme par hasard !). Les exploitants devront réduire leur production, aujourd’hui très intensive, et pourront à terme être expropriés. Derrière ce plan sordide d’affamer l’Europe se cache une autre réalité : la Russie est un des plus grands producteurs d’engrais auquel l’Europe est dépendante, comme pour le gaz et de plus en plus pour les produits dérivés du pétrole via l’Inde (grand importateur de pétrole russe). En 2021, la Russie était le premier exportateur d’engrais azotés et le deuxième fournisseur d’engrais potassiques et phosphorés ». Rappelons aussi que la Russie fait venir des agriculteurs d’Afrique du sud (menacés et persécutés dans leur pays) pour peupler ses régions en sous-population. Nous voyons ainsi ce qui se trame. Par ailleurs, dans ce jeu pervers, des youtubers « à la solde » dont l’influence n’a rien d’anodine pousse à cette « jacquerie » en faisant croire que l’Allemagne est bloquée par les tracteurs. Résident en Bavière, je peux affirmer qu’il n’en est rien. Quoi qu’il en soit, l’Europe est aujourd’hui menacée par un blocage des tracteurs qui semble surtout prendre de l’ampleur non en Allemagne, mais en France. Avant la révolution de 1917, l’agriculture russe était la 1e mondiale, dépassant l’Argentine, les Etats-Unis. À la suite de l’éclatement de l’Union soviétique en 1991, les sovkhozes et les kolkhozes qui constituaient l’épine dorsale de l’agriculture soviétique, ont dû accepter la perte soudaine des garanties de l’État, des canaux de commercialisation et d’approvisionnement. En moins de dix ans, les stocks de bétail ont diminué de moitié, entraînant à la baisse la demande de céréales fourragères, et la superficie occupée par les céréales a chuté de 25 %. L’utilisation d’engrais minéraux et d’autres intrants a chuté, entraînant des rendements bas, la plupart des fermes ne pouvant plus se permettre d’acheter de nouvelles machines faute de capitaux. Depuis le début des années 2000, après presque dix années de déclin, l’agriculture russe est en pleine explosion. La Russie est devenue exportatrice de céréales ; elle occupe en 2016 la première place mondiale pour l’exportation du blé. En 2017, l’exportation de produits alimentaires et de matières premières agricoles atteint 20,7 milliards de dollars et en 2021, 38 milliards de dollars.
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Sieta van Keimpema de Farmers Defence Force (FDF) était à Bruxelles mercredi pour communiquer avec les agriculteurs français qui s’engagent dans la campagne électorale.
Les élections européennes approchent et nous devons nous débarrasser du Green Deal et de toute la politique éveillée qui vient de ce côté », a déclaré le chef de la FDF Mark van den Oever.
Le 4 juin, des agriculteurs de toute l’Europe se rendront à Bruxelles. La FDF s’est associée à l’association allemande des agriculteurs LSV et à l’organisation polonaise des agriculteurs IGR, qui se sont mobilisées mercredi sur 177 sites.
« A partir de ces trois organisations, nous allons établir des liens avec toutes les organisations sœurs dans d’autres pays européens », explique Van den Oever. Il cite la Lituanie, la France et la Belgique. Ces organisations sœurs établiront à leur tour des contacts.
« Ensemble, nous y arriverons. « Le chemin vers Bruxelles est long, mais nous devons y arriver », souligne le chef du SVE. « Car cela ne se passera pas bien si nous continuons ainsi. La politique européenne doit changer ».
C’est au moment où ils seront le plus sensibles, deux jours avant les élections, que nous leur porterons un coup », affirme Van den Oever, qui veut porter le dernier coup à Bruxelles.




Livre de Laurent Glauzy : “La Russie contre l’empire de Baal” (Info : laurentglauzy1@gmail.com)
Ni Trump ni Poutin ne sont des sauveurs.
Tout est un échiquier pour que les Homo Carpensis puissent discrètement tuer les Homo Sapiens avec différentes excuses, guerres, supposées épidémies, technologies dévastatrices ( Tesla ) : Haarp pour se la sécheresse localisée pour la famine suivie de déluges ou de la glaciation ( Texas), ouragan ( France 1986..) ondes pour tremblements de terre ciblés ( Fukushima, Turquie ), feux lasers par avion avec épandage auparavant d accélérateurs de feu….( Californie / hawaï/ Amazonie. ..)
« Ni Trump ni Poutin ne sont des sauveurs. »
Je suis bien dac avec vous !
Pour le reste aussi dailleur
Que la Russie soit le premier producteur mondial de blé et le premier pays agricole au monde n’a rien d’extraordinaire étant donné la taille du pays… Pays qui « n’a jamais colonisé » comme on entend souvent 🙄… Ils ont eu leur pays avec des bisous.