Pro Fide Catholica

Le refus de l’Afrique du Sud d’administrer le prochin vaxxin n’a rien à voir avec le bon sens. En revanche, l’Afrique toute entière sera soumise au vaxxin. Dans la perspective du monde de l’âge d’or, qui doit passer par une forte dépopulation, comme l’affirme entre autres Bzrzinski en 1971 dans son livre « Between two Ages », l’Afrique du Sud n’est pas concernée : l’Afrique du Sud doit bénéficier d’une population forte pour que ce pays tienne rang de nation dans les BRICS. La prétention des BRICS d’être parmi les nations les plus riches s’accompagne d’une population forte en nombre. C’est ce que montre notamment la Russie en voulant peupler son territoire en Sibérie, mais aussi entre Moscou et saint Pétersbourg, avec des paysans « importés » d’Afrique du Sud. Dans cette logique, il n’est pas impossible de voir aussi la Chine refuser sa politique de l’enfant unique.

NOUVEAU : SELON LE GRAND FM ITALIEN MAGALDI, MACRON APPARTIENT A DEUX SUPER-LOGES. LES SUPER LOGES EST UN SECRET INCONNU MEME DES PLUS HAUTS GRADES DE LA MACONNERIE REGULIERE QUI A DURE PLUS D’UN SIECLE ET DEMI. CELIVRE EST UN LIVRE DE REVELATIONS. TRUMP EST ENTOURE PAR DEUX MACONS DES SUPER LOGES : FLYNN ET BOLTON. MACRON APPARTIENDRAIT AUSSI A DEUX SUPER-LOGES ILLUMINATI . SARKOZY, BUSH, BEN LADEN, ERDOGAN ADHERENT A LA SUPER-LOGES “HATHOR PENTALPHA” ; GISARD ETAIT LE CONSEILLER SECRET DE MITTERRAND. (laurent glauzy, “Les Super-loges”, 8 tomes, 140 € fco de port. INFO : laurentglauzy1@gmail.com)

Laurent Glauzy – Les super-loges – 8 tomes : 140 € fco de port – laurentglauzy1@gmail.com)

Le South Africa « Vaccine » Injury Medico-Legal Study-Group NE soutient PAS la déclaration d’une urgence sanitaire mondiale pour la variole du singe par le CDC et l’OMS.

PUBLICATION IMMÉDIATE : Déclaration sur l’introduction proposée d’un programme de vaccination d’urgence contre la variole du singe en Afrique.

Nous sommes extrêmement préoccupés par les récentes annonces faites par le directeur des CDC pour l’Afrique, Jean Kaseya, le 13 août 2024, et par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 14 août 2024. Il est crucial d’aborder ces annonces ouvertement avec le public.

Dans ses déclarations, le directeur général Jean Kaseya a déclaré à propos des vaccins contre la variole du singe : « Nous avons un plan clair pour assurer plus de 10 millions de doses en Afrique, en commençant par 3 millions de doses en 2024 ».

Chez SAVIMS, nous souhaitons attirer l’attention des institutions et autres organisations concernées sur quelques faits importants :

Il n’existe pas de vaccin prescrit avec des preuves scientifiques documentées de niveau 1 pour la variole du singe. Les vaccins à virus vivant Jynneos et ACAM2000 actuellement recommandés par l’OMS a) sont destinés à la variole et sont donc expérimentaux pour la variole du singe ; b) ont des effets secondaires graves ; et c) contiennent des souches de virus vivant qui peuvent provoquer une résurgence du virus de la variole qui a été éradiqué.
Utilisation possible de vaccins à ARNm : Il n’existe aucune preuve scientifique de l’utilisation de vaccins à ARNm pour prévenir ou atténuer les maladies infectieuses. Les réactions indésirables observées avec les vaccins ARNm expérimentaux dépassent de loin les bénéfices potentiels.
Le consentement éclairé est un concept éthique inscrit dans la loi et pratiqué quotidiennement dans tous les établissements de soins de santé. Trois critères fondamentaux sont nécessaires pour obtenir un consentement clinique éclairé : le patient doit être majeur, il doit être correctement informé et il ne doit pas être forcé. En l’état actuel de la recherche, il n’est pas possible qu’un bénéficiaire de ces vaccins obtienne un consentement éclairé légitime.

L’article d’Allan-Blitz et al., « A position statement on Mpox as a Sexually Transmitted Disease », conclut que la variole du singe est une maladie sexuellement transmissible. Les mesures de prévention pour ce scénario devraient nécessiter et déclencher des initiatives de soins cliniques et primaires et d’éducation appropriées pour le groupe à haut risque. La recommandation de vaccins expérimentaux pour la population générale n’est pas justifiée.
Les statistiques et les analyses des données sur la variole du singe recueillies par l’OMS en République démocratique du Congo et dans d’autres pays africains doivent faire l’objet de recherches supplémentaires et d’un examen indépendant. Dans les zones où les statistiques les plus élevées ont été recueillies, il convient de décrire en détail les critères des tests, les méthodes de test, la sensibilité et la spécificité des appareils, les qualifications du personnel, les scénarios cliniques et la provocation pour les tests dans ces communautés spécifiques. Quels tests ont été effectués pour rechercher et exclure d’autres maladies, y compris des maladies transmissibles ?
Aucun rapport d’autopsie n’a été publié concernant des décès liés à la variole du singe. L’absence d’autopsies formellement documentées, l’absence d’informations sur la sensibilité et la spécificité des tests instrumentaux et l’absence d’informations sur les procédures de validation de la compilation aléatoire des données réduisent encore l’authenticité des statistiques.

AVIS DE SAVIMS SUR L’INTRODUCTION DU VACCIN D’URGENCE CONTRE LA VARIOLE DU SINGE EN AFRIQUE

Nous avons passé en revue la littérature et analysé les données sur la variole du singe et son étiopathogénie. Sur la base de notre compréhension de cette maladie :

Nous rejetons la déclaration d’urgence sanitaire mondiale pour la variole du singe en Afrique par les CDC et l’OMS.
Il est prouvé que la variole du singe est avant tout une maladie auto-limitée. Cela ne justifie pas une vaccination.
Sur la base des preuves scientifiques, nous nous opposons fermement à la distribution « d’urgence » de vaccins réutilisés contre la variole ou d’autres vaccins proposés contre la variole du singe aux populations d’Afrique.
Nous doutons de l’authenticité du nombre de décès dus à la variole du singe en Afrique rapporté par le CDC tant qu’il n’a pas été vérifié par une autopsie.
Nous mettons en garde le public contre les risques liés à l’ingestion de vaccins, y compris ceux proposés pour le Mpox, dont l’efficacité et l’innocuité n’ont pas été démontrées de manière fiable lors d’essais cliniques de phase I. Il n’y a aucune justification pour un vaccin aux effets secondaires inconnus.
Nous demandons aux citoyens d’exercer leur droit humain inné et de refuser de donner leur consentement à des interventions médicales s’ils ne se sentent pas à l’aise.

Nous sommes ouverts au dialogue et à la discussion avec le CDC Africa sur les sujets susmentionnés et sur toutes les questions relatives à la santé et au bien-être des populations africaines.

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