Les géants ont existé. Les preuves archéologiques
Le plus grand spécialiste des géants était le jésuite P. Atnanasius Kircher (1600-1681), plus grand linguiste de l’Eglise catholique, parlant 29 langues, et archéologue. Le livre de Laurent Glauzy, présenté en fin d’article, propose les travaux de l’Eglise mais aussi de scientifique, voire de prix Nobel à ce sujet. C’était quand l’Eglise était active, bien avant que les prêtres ne deviennent des fainéants en soutane, des distributeurs de sacrements pour des consommateurs de sacrement.
Illustration : Croquis numérique d’un ancien géant de Floride. Avec l’aimable autorisation de Marcia K. Moore, Ciamar Studio.
L’une des plus grandes controverses liées aux anciennes cultures dites « préhistoriques » (car la préhistoire est un mensonge des darwiniste) d’Amérique du Nord tourne autour de ce que nous appelons les Types Physiques Uniques (TFU). Pour le sujet ci-dessous, ces TFU sont des squelettes d’hommes gigantesques, souvent dotés de crânes hyper-allongés, faisant état de doubles ou triples rangées de dents, et sont généralement découverts dans des tombes funéraires et des cimetières liés aux cultures Adena-Hopewell, aux civilisations archaïques et au complexe cérémoniel du sud-est.

Aujourd’hui, il est courant d’observer comment les chercheurs en histoire alternative nous racontent l’histoire de la découverte massive de ces êtres au cours des 19e et 20e siècles. Les historiens, les archéologues et les archéologues ont documenté la découverte de types physiques uniques dans tous les États-Unis, avec une concentration massive dans les collines et les excavations de la vallée de la rivière Ohio et le long de la rivière Mississippi.
Ces données peuvent être consultées dans l’histoire de n’importe quel comté, municipalité ou État, ainsi que dans la littérature anthropologique appartenant ou non à la Smithsonian Institution. En voici quelques exemples : Kentucky : « D’une tombe de la ferme d’Edin Burrowes, près de Franklin, ont été exhumés, en mai 1841, à une profondeur de plus de 12 pieds (environ 3,5 mètres), plusieurs squelettes humains ». L’un d’eux, de dimensions extraordinaires, a été trouvé parmi ce qui semble avoir été deux rondins, recouverts d’une planche de bois. De nombreux os étaient intacts. Le menton était trop grand pour entrer dans la mâchoire, la chair ou toute autre partie d’un homme moderne. Les fémurs mesuraient 15 cm de plus que ceux de n’importe quel homme du comté de Simpson. « Les dents, les bras, les côtes et tout en général pourraient probablement être un géant d’une ancienne race. (Histoire du Kentucky, Lewis Collins)
Comté de Jo Daviess, Illinois : « Les tombes à haut risque ont été presque entièrement creusées au cours des deux ou trois dernières années. Dans toutes les tombes qui ont été ouvertes, les ouvriers ont trouvé une fosse au centre, à environ 75 cm sous le niveau du sol, qui avait manifestement été creusée par la main de l’homme… « Les ossements découverts à l’intérieur révèlent une race de stature gigantesque, avec des squelettes enterrés en cercle autour de la tombe, les jambes tendues vers le centre ». (La Historia de Jo Daviess County) « Près de la surface d’origine, à 3 ou 3,5 mètres du centre (de la tombe), au-dessus de sa partie inférieure, soigneusement couché sur le dos, se trouvait l’un des plus grands squelettes découverts, dont la stature réelle, après avoir pris des mesures, s’est avérée être entre 7 et 8 pieds (2 – 2,5 mètres). Tout cela était facilement reconnaissable… » (12ème rapport annuel du bureau d’ethnologie)
Vallée de Kanawha, Virginie occidentale : « Le n° 11 mesure entre 10,5 et 12 mètres à la base et environ 1,25 mètre de haut. Au centre, à 90 cm sous la surface, se trouve une voûte de 2,5 mètres de long sur 90 cm de large. Sur le sol de cette voûte, parmi les fragments décomposés d’écorce d’arbre qui les entourent, a été découvert un squelette complet, soigneusement dressé sur le dos, la tête tournée vers l’ouest… À 19 pieds (5,75 mètres) de la partie la plus élevée… parmi les restes d’un cercueil d’écorce, un autre squelette, dont la taille était de 7,5 pieds (2,30 mètres) et mesurait 19 pouces (50 cm) d’une épaule à l’autre ». (12e rapport annuel du Bureau d’ethnologie) « À l’intérieur du village de Brownstown, à dix miles au-dessus de Charleston et juste en dessous de la naissance de Lens Creek, il y a un autre site funéraire ancien similaire… À Brownstown, il n’y a pas longtemps, deux squelettes ont été trouvés ensemble, l’un mesurant approximativement sept pieds (2,15 mètres) de haut et l’autre appartenant à un nain d’environ quatre pieds (1,20 mètre) ». (Histoire de la vallée du Grand Kanawha).

Louisiane : « Dans la même ligne d’anormalité gravitait la découverte d’un crâne dont la dentition atteignait un nombre inhabituel de quarante dents, en raison de l’existence de huit incisives supplémentaires… La nature du crâne découvert dans la tombe de Larto, si on la compare à celle des crânes découverts dans d’autres lieux, est très anormale… Les anomalies dans ce cas ne peuvent pas être attribuées à une défiguration artificielle, car si c’était le cas, leur développement symétrique par rapport aux autres parties du crâne aurait été impossible…. « Son apparence impressionnante ne pouvait pas être le résultat de l’utilisation d’un distributeur automatique ou d’autres applications externes, mais elle devait être indubitablement congénitale. »
Le livre de Laurent Glauzy :
LES GEANTS ET L’ATLANTIDE – REVELATIONS DE L’ARCHEOLOGIE INTERDITE
300 pages + 70 pages en couleur
Existe en versions allemande et anglaise
INFO : laurentglauzy1@gmail.com
Commander en ligne : https://profidecatholica.com/librairie-2/librairie-de-profidecatholica/

4e de couverture : La mythologie grecque et les légendes des Indiens de la Cordillère des Andes retracent les prouesses de géants détenant un savoir supérieur à notre technologie. La tradition orale des habitants de l’île de Pâques mentionne des hommes, à la taille peu commune, comme étant les constructeurs des statues moaï. Laurent Glauzy apporte ici la preuve incontestable de l’existence d’êtres exceptionnels ayant mesuré jusqu’à plus de quatre mètres. Cités à dix-sept reprises dans la Bible et décrits par saint Augustin au Ve siècle, par le père jésuite Athanase Kircher au XVIIe siècle, archéologue et linguiste de l’Église, ces ancêtres de l’humanité proviendraient de l’Atlantide, royaume mystérieux englouti en 1226 av. J.-C. Par ailleurs, dans le Critias, Platon affirme que cette île, grande comme un continent, « n’est pas une fable, mais une histoire vraie ». Bien que d’innombrables documents lui soient consacrés par Fernand Crombette, égyptologue et spécialiste de copte ancien, par l’éminent géographe Étienne Félix Berlioux ou encore par le pasteur Jürgen Spanuth, un tel sujet n’occupe qu’une place mineure dans le champ scientifique. À l’aide d’une bibliographie particulièrement dense, l’auteur expose pourquoi ces réalités, pourtant connues d’une élite occulte et maçonnique, ne sont pas divulguées au grand public, condamné à se rabattre sur des interprétations ésotériques ou fallacieuses, comme celle du darwinisme. Ces pages, riches en découvertes archéologiques, confirment l’inerrance des Saintes Écritures et s’attaquent aux mensonges de la préhistoire et au mythe de « l’homme des cavernes ». Elles réhabilitent le haut degré de civilisation atteint par les géants et les Atlantes de l’Antiquité. Pour son plus grand émerveillement, le lecteur sera immergé dans l’univers secret des tunnels de l’époque maya, des énigmatiques pyramides de Bosnie-Herzégovine et des plaines chinoises du Qin Chuan. Le présent ouvrage dévoile aussi le trésor incroyable du père missionnaire Carlos Crespi, qui recèle des plaques en or datant de plus de 2 000 ans, représentant des modèles réduits d’avions et encore bien d’autres mystères de l’archéologie interdite.

LES APPARITIONS DE LA SAINTE VIERGE EN FRANCE FORMENT UN M PARFAIT
MARIE – REINE DE FRANCE – Un livre à lire absolument. Dans ce livre écrit au début du XXe s, on y a apprend que la Sainte-Vierge a fait les miracles les plus extraodinaires comme la résurrection des morts pour permettre la construction de la Cathédrale de Chartres.
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