Moscou va interdire et punir les politiques et propos antinatalistes: 51.000 dollars d’amende. Bravo!
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Sous Poutine, le nombre des avortements est passé en Russie de 2 millions à 800 mille. C’est une excellente chose, même si nous attendons une interdiction radicale de ce crime abject, comme ce fut le cas sous Staline, qui lui aussi y voyait une raison économique. Mais, qu’importe la raison : il faut sauver les petites âmes (« douchka »). Et, même si le mondialisme de Poutine est à la hauteur de celui imposé par la dictature du G7, que ses mensonges sur le réchauffement climatique (financés par la banque du Kremlin SBERBANK) et son soutien à l’IA, ne trompent pas, ne boudons pas notre satisfaction quand il s’agit de promouvoir la Vie.
Art. du Moscow Times (Russia Takes Aim at « Childfree » Ideology in Controversial Bid to Boost Birth Rates.)
« La propagande en faveur de l’absence d’enfants est un phénomène socialement dangereux. Ce sont les Américains qui en font la promotion. Notre pays est vaste et leur idéologie [américaine] est dangereuse. Il ne faut en aucun cas la laisser se répandre ».
C’est en ces termes que Vyacheslav Volodin (photographie), président de la chambre basse du parlement russe, a justifié la proposition de loi imposant de lourdes amendes à ce que les autorités considèrent comme la promotion destructrice de l’« idéologie sans enfants ».
Les experts estiment toutefois que cette législation, qui est actuellement examinée par les législateurs et a été adoptée en première lecture jeudi, est « répressive » et ne s’attaque pas aux causes profondes de la baisse du taux de natalité dans le pays.
Depuis l’invasion massive de l’Ukraine, les autorités russes ont intensifié leurs efforts pour promouvoir les valeurs dites traditionnelles et les idéaux axés sur la famille, opposant la Russie à l’Occident plus libéral et satanique.
Cette année, le président Vladimir Poutine a fait de l’augmentation du taux de natalité une priorité, en encourageant notamment les familles à avoir au moins trois enfants et en soulignant l’importance d’un taux de natalité élevé pour l’avenir de la Russie.
La guerre du Kremlin en Ukraine ne montrant aucun signe de fin [et pour cause : Poutine a promis une guerre de 5 ans à Xi Jiping pour engraisser BlackRock, Morgan etc.] , la question semble être devenue encore plus urgente après la publication de données officielles révélant que le taux de natalité a chuté à son niveau le plus bas depuis 25 ans, tandis que les taux de mortalité continuent d’augmenter.
M. Volodine a déclaré que la législation visait à freiner « tout contenu destructeur susceptible d’influencer la décision d’un individu d’avoir des enfants » afin de stimuler le taux de natalité.
Le mois dernier, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, s’est fait l’écho de ce sentiment. « L’augmentation du taux de natalité est l’une des principales priorités du gouvernement et du pays […]. Tout ce qui y fait obstacle doit disparaître de notre vie », a-t-il déclaré.
En réalité, la situation est bien plus complexe.
Les critiques doutent que la législation conduise à une augmentation des taux de natalité, estimant que les autorités devraient plutôt se concentrer sur la création de meilleures conditions pour donner naissance et élever une famille.
Olga, une Moscovite de 37 ans qui a un emploi stable et un partenaire, a déclaré au Moscow Times que l’incertitude financière était la principale raison pour laquelle elle avait choisi de ne pas avoir d’enfants.
« Que puis-je donner à cet enfant potentiel ? Je comprends que je ne peux rien lui donner d’autre qu’un toit. Qui s’occuperait d’eux alors que je travaille 15 heures par jour ? », a déclaré Olga, qui a demandé à ce que son nom soit modifié pour des raisons de sécurité.
La population russe pourrait tomber à 130 millions d’habitants d’ici 2046 – Rosstat
« Si la seule chose que fait un parent est de se battre pour survivre et de se soucier de nourrir son enfant – ce qui est exactement la situation actuelle – alors, bien sûr, il sera très difficile [d’avoir des enfants] », a-t-elle ajouté.
L’institut de sondage contrôlé par l’État, VTsIOM, a indiqué cette année que 6 % des Russes pensent que les familles ne devraient pas avoir d’enfants ou qu’il n’est pas obligatoire d’avoir des enfants, alors que ce chiffre est actuellement de 20 % chez les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans.
Une étude réalisée fin 2022 par l’institut de sondage indépendant Levada Center a révélé que seulement 1 % des personnes interrogées estimaient qu’une famille sans enfant était l’idéal.
Si quelques groupes de personnes sans enfants sont apparus sur VKontakte, l’une des plateformes de médias sociaux les plus populaires de Russie, ils sont relativement petits, les plus importants comptant respectivement 19.000 et 13.000 membres.
Les experts ont déclaré que le problème de la baisse des taux de natalité n’est pas dû à l’idéologie de l’absence d’enfants, mais plutôt à des facteurs économiques, notant que l’augmentation de l’aide financière aux familles avec enfants est un moyen rapide de stimuler les taux de natalité.
« L’hystérie de l’État au sujet des taux de natalité s’est transformée, comme on pouvait s’y attendre, en un énième projet de loi répressif qui ne s’attaque plus directement aux problèmes démographiques. De nos jours, le gouvernement est doué pour réprimer… mais il n’est plus capable de résoudre les problèmes de manière constructive et productive », a déclaré le démographe indépendant Alexei Raksha sur sa chaîne Telegram.
« Il y a un manque évident de compréhension du sujet réglementé à tous les niveaux et dans toutes les branches du pouvoir. Les autorités cherchent à tout mettre sur la voie de l’idéologie, indépendamment de toute autre chose, mais cela n’augmente pas les taux de natalité », a-t-il ajouté.
La législation, si elle est adoptée, interdirait la « propagande antinataliste » sur l’internet et dans les médias, les films et les publicités, sous peine d’amendes pouvant aller jusqu’à 400 000 roubles (4 129 dollars) pour les personnes physiques et jusqu’à 5 millions de roubles (51 611 dollars) pour les personnes morales.
En pratique, tout commentaire positif sur un mode de vie sans enfant ou toute discussion publique sur le contrôle des naissances ou l’avortement pourrait être considéré comme une violation, a déclaré Maxim Olenichev, avocat du groupe de défense des droits de l’homme Perviy Otdel.
« La formulation de la législation est vague et peu claire, ce qui pourrait conduire à de nombreux abus », a déclaré M. Olenichev au Moscow Times.
Un autre aspect important est que la « propagande sans enfants » serait interdite aux mineurs, ce qui pourrait entraîner des restrictions sur l’éducation des adolescents en matière de contraception et de contrôle des naissances, a déclaré M. Olenichev.
« Si la société cesse de discuter des méthodes modernes de contraception et de contrôle des naissances, deux problèmes sociaux majeurs risquent d’apparaître : une augmentation des grossesses chez les adolescentes et une stigmatisation accrue de l’avortement. Tout cela est bien sûr justifié par la volonté de défendre les valeurs traditionnelles », a-t-il déclaré au Moscow Times.
Pourtant, certains veulent aller encore plus loin.
Le député de la Douma d’État Biysultan Hamzaev a exhorté le ministère de la Justice à interdire le « mouvement sans enfants » en tant qu’organisation « se livrant à des activités extrémistes », de la même manière que la Russie a interdit la communauté LGBTQ+ en la qualifiant d’« extrémiste ». Cette initiative ne semble toutefois pas avoir reçu de soutien officiel.
Certains experts pro-gouvernementaux ont proposé d’ imposer une taxe mensuelle aux familles sans enfants, une pratique datant de l’ère soviétique.
Interrogé sur cette proposition cette semaine, le Kremlin a déclaré que « nous devons analyser l’expérience » de la taxe de l’Union soviétique, affirmant qu’elle « a probablement eu peu d’impact sur la situation démographique ».
La législation visant à interdire la « propagande en faveur des enfants » doit encore faire l’objet de deux lectures à la Douma d’État, après quoi elle sera soumise au Conseil de la Fédération, chambre haute, pour un vote unique. M. Poutine devra également donner son accord.
Toutefois, cette législation semble avoir déjà soulevé des questions chez certains Russes qui ne veulent pas avoir d’enfants.
« J’ai une attitude très négative à l’égard des initiatives prohibitives de notre Douma d’État », a déclaré Olga au Moscow Times.
« Je pense que notre organe législatif se concentre, pour ne pas dire plus, sur les mauvaises questions, nous détournant ainsi des sujets vraiment importants », a déclaré Olga. « À mon avis, il n’y a pas d’idéologie de l’absence d’enfants. Ils l’ont inventée eux-mêmes et essaient maintenant de l’interdire. De plus, ils ne mènent même pas la bonne bataille.
« Ils sont au pouvoir depuis de nombreuses années et pendant tout ce temps, presque rien n’a été fait pour promouvoir une vie de famille saine », a-t-elle ajouté.
NOUVEAU : SELON LE GRAND FM ITALIEN MAGALDI, MACRON APPARTIENT A DEUX SUPER-LOGES. LES SUPER LOGES EST UN SECRET INCONNU MEME DES PLUS HAUTS GRADES DE LA MACONNERIE REGULIERE QUI A DURE PLUS D’UN SIECLE ET DEMI. CELIVRE EST UN LIVRE DE REVELATIONS. TRUMP EST ENTOURE PAR DEUX MACONS DES SUPER LOGES : FLYNN ET BOLTON. MACRON APPARTIENDRAIT AUSSI A DEUX SUPER-LOGES ILLUMINATI . SARKOZY, BUSH, BEN LADEN, ERDOGAN ADHERENT A LA SUPER-LOGES “HATHOR PENTALPHA” ; GISARD ETAIT LE CONSEILLER SECRET DE MITTERRAND. (laurent glauzy, “Les Super-loges”, 8 tomes, 140 € fco de port. INFO : laurentglauzy1@gmail.com)
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DE LAURENT GLAUZY : PEDOSATANISME ET FRANC-MACONNERIE – UNE ELITE SATANISTE DIRIGE LE MONDE
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Victoire sur la « Secte du sang » (3ème partie) – 247 victimes, 135 témoins, 172 bourreaux et complices (par Loïs Sasek)
Dans ce film, la directrice de production de Kla.TV, Loïs Sasek, présente un résumé impressionnant de 65 heures de film et de matériel audio de 247 victimes et 135 témoins d’abus rituels sataniques. Comme les 138 victimes et 77 témoins de la secte du sang 1 + 2, ils témoignent tous de la même chose : « La violence rituelle satanique a lieu dans le monde entier ». Ils parlent tous d’une « élite du pouvoir » autoproclamée comme d’un réseau mondial d’agresseurs. Plus de 172 agresseurs et complices sont nommés dans ce documentaire. Jamais ce réseau de criminels n’avait été rendu visible de manière aussi impressionnante ! De même, la voie à suivre pour venir à bout de cette secte sanguinaire n’a jamais été montrée aussi clairement. [lire la suite]
http://www.kla.tv/30863
Uni dans ce combat pour la délivrance des enfants !!
Anne Marie Mareck
Le titre de l’article est un peu « racoleur », si l’on en juge par la lecture approfondie de celui-ci …
Merci à « Anne Marie Mareck », pour son commentaire. Je viens de lire la vidéo de kla.tv, et j’invite chacun à le faire.