Le Pen est mort : rien à voir. Tournons la page.
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RELIGION CATHOLIQUE TRADITIONNELLE : SEULE RELIGION DES MIRACLES
Hier, 6 janvier, c’était « Je suis Charlie ». Aujourd’hui, 7 janvier, c’est « Je suis Le Pen ». Le président fondateur du Front National, Jean-Marie Le Pen a cassé sa pipe à 96 ans.
Pro fide Catholica ne s’associe en rien à ce décès. Car, le nom de Le Pen a été particulièrement néfaste à la France, roulant dans la farine les Français qui ont eu la naïveté et l’immaturité de juger à partir des discours. Mais, comme le disait Robespierre, « on tient le peuple par des discours », autrement exprimé « on tient les idiots par des mensonges ».
En ce sens, Le Pen était un chef de cirque, le « national-cirkus ».
Qui peut encore croire que cet homme voulait gagner des élections ? Il était une création de la gauche Mitterrandienne, qui en Europe entretenait des amitiés plus que douteuses dans le clan des pseudo-nationalistes. En Roumanie, il visitait Vadim Tudor, un colonel de « Securitate » (excusez du peu » que l’on appelait le poète de Ceausescu en raison des odes qu’il écrivait au Conducator des Carpates. Et, en Russie, il visitait Jirinovski, que personne ne prenait au sérieux. Sa grossièreté le poussait à déterrer des plantes au consulat de Russie de Strasbourg pour les jeter par-dessus les grilles sur les journalistes. Telles étaient les amitiés de JMLP.
Cela en faisait rire certains. Car, le peuple est ainsi. Il aime le cirque, et nous le voyons encore aujourd’hui avec le cirque de l’annonce de la mort de Le Pen.
Pourtant, le Pen a été absent tous les grands combats :
– absent pour défendre les Français contre le soi-disant vaxxin du Coronavirus. A plus de 90 ans, il n’aura pas le courage de dénoncer cette supercherie.
– absent contre l’avortement, dont il faisait semblant de parler d’un déficit de naissances. Il n’alla jamais au-delà d’une invitation au BBR du Dr Dor, contraint à rester derrière son petit stand.
– absent du combat religieux. Il ne fera rien de plus qu’exploiter l’image de Jeanne d’Arc, celle d’une sainte.
Ce qui résume le plus Le Pen est sa convocation au CFR (dont il ne parlait jamais), ce groupe para-maçonnique, fondé en 1921 par Rockefeller. Il s’y rendra en 1987 avec le député de droite De Chambrun (Cf. Laurent Glauzy – « Pédosatanisme et Franc-maçonnerie »).
Le Pen ne valait pas la peine, sauf pour les idiots qui aiment les apparences et les mensonges pour bercer leurs oreilles. Mais, la France, première nation des Saints a besoin bien plus que cela, elle a besoin de saints, de prières, de confessions et de pénitences. Mais, les hommes de Dieu savent cela, ils savent plus que quiconque que la république est la chasse gardée des loges, sans aucune exception.
L’histoire lui donnera raison sur bien des points. Déjà, qui peut dire qu’il a eu tord sur l’immigration ? Il fut un pionnier, mais un chef d’état, et, vous avez raison, il n’a sans doute pas voulu l’être.
Le Pen était insaisissable, paix à son âme. Sorti du moule maçonnique, il ne proposait rien de concret et se faisait détester pour ses idées négationnistes. C’était un agitateur dont le rôle était prévu par les loges pour entretenir un courant d’extrême droite stérile, grossier et repoussant. Il se mettait hors-jeu volontairement.
Il n’y a pas à tortiller, on fait fausse route. Cela ne va pas du tout. Les extravagances et les inversions kabbalistiques mènent la société vers le néant, le nihilisme et l’abîme.
La Franc-maçonnerie produit l’inverse de ce qu’on lui demande ou de ce que l’on attend d’elle. Il y a trahison, il y a parjure envers le peuple. La République est une tromperie au service des banques, de la finance et du commerce qui prennent le pouvoir à l’insu des gens, en catimini. La Franc-maçonnerie est l’exécutrice du transfert des nations aux ploutocrates.
Derrière les ploutocrates se trouvent les initiés judéo-égyptiens, les illuminati. Ils se sont investis du rôle de messagers divins pour la gloire d’eux-mêmes. Ils ont créé un dieu à leur service, ils ont écrit des prophéties et se donnés une mission appelée messianisme. Ce messianisme est un condensé de mythes qui servent de scénario.
Les initiés ont effectué des initiations à des connaissances ésotériques de différentes traditions (chinoises, hindoues ou égyptiennes (Isis, Osiris). Les initiés sont les disciples des prêtres, des chamans, des sorciers en contact avec les esprits. Ces esprits émanent de leur subconscient et du cerveau primitif. Pour être inspirés, ils ont besoin d’extases illuminatives lors de transes ou de rituels. On baigne dans l’Antiquité qui avait le souci du tribalisme, de la toute puissance et de la domination. On constate que ces thèmes n’ont toujours pas changé, malgré la venue du Christ, de la Raison et du Christianisme.
Les initiés ont développé un système de castes, des groupes d’influence dans une tour d’ivoire qui agissent par cooptation, corruption et favoritisme souvent dans une totale illégalité non sanctionnée. L’enrichissement et les complots sont leurs passe-temps favoris. L’Humanité est méprisée. Le but est l’esclavagisation des Goyim. L’initié Platon disait que le peuple devait appartenir à l’Etat.
Les initiés sont les êtres incontournables du monisme cosmique antique. Le refus du Dieu Créateur leur sert de légitimation. Ils sont les dieux. Il s’agit de charlatanisme et de mystification. Ingénierie sociale est le terme moderne. Mais cela reste un attrape-nigaud, le but final étant la victoire de Satan grâce aux idéologies gauchistes, sataniques et nihilistes.
La superstition, la magie et la sorcellerie avec des symboles sataniques servent à troubler la raison et la logique et à inquiéter la population. Les initiés ont besoin d’illusionner, de berner et d’être craints pour s’imposer. Ils ont besoin d’amoralisme et de transgressions pour s’enrichir, vaincre et éliminer l’opposition.
On fait fausse route en Absurdie. Dans le totalitarisme, le transhumanisme et l’hyper-technologie qui sont des pièges pour éliminer l’être humain. C’est un génocide déguisé. Les initiés sont des kabbalistes. Ils sont criminels et fous.
On ne peut pas continuer avec les mêmes, leur cosmisme, leur holisme, leur Kabbale, leurs sociétés ésotériques, leurs rituels et tout leur tralala antique.
La Renaissance du Christianisme est souhaitable pour changer de cap et de système.