L’Utah autorise le choix du « sang non vacciné » – un signal d’alarme pour le lobby pharmaceutique
Un projet de loi dans l’État américain de l’Utah fait sensation dans le monde entier : Les patients devraient à l’avenir avoir le droit d’exiger du sang de donneurs non vaccinés lors de transfusions. Ce que les critiques qualifient d’« absurdité médicale » est pour beaucoup l’expression d’un scepticisme croissant à l’égard de la technologie ARNm – soutenu par un nombre croissant d’études qui indiquent des dommages potentiels sur le système sanguin et immunitaire.
La technologie ARNm – plus risquée qu’on ne le dit ?
Alors que les médias mainstream et les « fact checkers » soulignent inlassablement que les vaccins ARNm sont « sûrs et efficaces », de plus en plus d’éléments indiquent depuis 2021 des effets secondaires parfois graves – notamment dans le domaine de la circulation vasculaire et sanguine.
Études & preuves :
Myocardite & caillots sanguins : une étude évaluée par des pairs publiée dans le Journal of the American Heart Association (JAHA) (2021) a constaté que les vaccins à ARNm provoquent une augmentation de l’incidence de la myocardite chez les jeunes hommes.
→ Source : JAHA
La protéine spike circule dans le sang – et peut endommager les tissus : Dans un travail publié dans le Circulation Research Journal (2021), il est dit que la protéine spike produite par le vaccin est elle-même toxique et endommage les cellules vasculaires.
→ Source : Circulation Research
Modifications sanguines chez les personnes vaccinées : Des chercheurs du MIND Institute ont analysé des échantillons de sang et ont trouvé des modifications microscopiques de la structure des érythrocytes, qu’ils associent à des « risques vasculaires à long terme ».
→ Source :
Pourquoi le droit de vote est important pour le « sang non vacciné » ?
L’inquiétude de nombreux patients n’est pas irrationnelle. Alors que les instances officielles répètent comme un moulin à prières que le sang vacciné est « sûr », les études à long terme sur les effets du sang modifié par ARNm dans l’organisme d’autres personnes font défaut. L’idée d’introduire une « origine transparente » pour les poches de sang n’est pas seulement légitime du point de vue de l’éthique médicale – elle pourrait également aider à regagner la confiance perdue dans le système de santé.
Conclusion
Le projet de loi de l’Utah est un jalon – non seulement pour les droits des patients, mais aussi comme acte symbolique contre l’uniformisation forcée du discours médical. Quiconque reçoit du sang dans son corps a le droit de savoir d’où il provient – et s’il a été modifié par des produits génétiques expérimentaux.
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