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LE NOUVEAU LIVRE DE LAURENT GLAUZY VIENT DE PARAÎTRE

Franc-maçonnerie : la fabrique des fausses pandémies

Oui, malheureusement, ils sont toujours en liberté alors qu’ils devraient déjà être en train de pourrir dans un goulag gelé ou de fertiliser un champ non marqué quelque part. Je comprends cela. Mais si vous avez observé la cabale élitiste aussi longtemps que moi, vous avez peut-être remarqué un changement soudain et abrupt dans les activités publiques des institutions mondialistes les plus en vue.

A partir de 2019 au plus tard, le masque est définitivement tombé. Les élites ont inondé les médias occidentaux de leur propagande sur les ONG. On ne pouvait plus faire un pas sans être bombardé de multiculturalisme, de programmes DEI et d’idéologie LGBT. Il s’agissait d’une tentative évidente d’imposer un changement culturel massif en Occident – un renversement progressiste accéléré.

Les conservateurs ont été impitoyablement ciblés en tant que « séditieux » et « menace pour la démocratie ». L’hystérie de la pandémie a ouvert la porte à une multitude de réglementations et de lois visant à éroder les droits constitutionnels au nom de la « sécurité sanitaire ». Le plan a été ouvertement admis : Un cycle sans fin d’obligations et de carnets de vaccination. Une boucle de tyrannie médicale. Les mondialistes étaient aux anges, baignant dans la peur et exigeant des vaccinations obligatoires, des applications de suivi Covid et même des camps pour les personnes qui s’y opposaient.

Parallèlement, le WEF et d’autres organisations faisaient avancer leur agenda économique. L’argent liquide devait disparaître, les contrôles du CO₂ et les « barrages climatiques » devaient devenir monnaie courante. On appelait ouvertement à une « grande réinitialisation » du système financier mondial. Tout était admis – ils ne cachaient guère leurs intentions. C’était le Nouvel Ordre Mondial, contre lequel les soi-disant « théoriciens du complot » mettaient en garde depuis des décennies.

Auparavant, ils ne mentionnaient leurs plans que dans d’obscurs livres blancs ou derrière des portes closes. Mais au cours des cinq dernières années, les mondialistes ont essentiellement dansé en pleine rue et ont fait publiquement la promotion du NWO – parce qu’ils pensaient avoir déjà gagné.

2025 : qu’est-ce qui a changé ?

Les mandats de naturalisation et les lockdowns sont tombés. L’invasion multiculturelle est inversée, car la majorité des Américains exige des frontières sûres et des expulsions. Aux États-Unis, les interdictions de transition s’appliquent aux enfants, la propagande LGBT est retirée des écoles. DOGE et Trump ont pris des mesures qui détruisent la porte tournante entre l’Etat et les ONG – les programmes DEI disparaissent.

BLM est mort. Le Mois de la Fierté est un échec (jusqu’à présent). Covid a été démasqué comme le néant qu’il a toujours été. L’agenda climatique s’estompe. L’opinion publique fait preuve d’une méfiance générale à l’égard du WEF. Personne ne veut d’un système CBDC sans argent liquide. L’idéal mondialiste est dans les poubelles de l’histoire – et nous n’avons même pas eu besoin de tirer un coup de feu pour cela.

Cela ressemble à une victoire ? Pas tout à fait.

Nous avons (en grande partie) gagné la guerre de l’information aux États-Unis. En Europe, cela prend plus de temps, mais les mouvements conservateurs gagnent du terrain – à tel point que les élites arrêtent désormais des personnes pour leurs paroles et emprisonnent les opposants politiques. Ce n’est pas un signe de force – c’est la panique.

Les mondialistes se courbent – pourquoi ?

Ils se sont trop approchés du soleil et se sont brûlés. Presque toutes les grandes institutions élitistes ont cessé de promouvoir ouvertement le « Great Reset ». Les apparitions dans les médias sont évitées, les think tanks ne publient plus de documents révélateurs. Certains mondialistes parlent même publiquement de la « mort du mondialisme ». Larry Fink de BlackRock a écrit dans le Financial Times que la mondialisation était terminée.

Je ne les ai jamais vus se retirer aussi radicalement de leur programme – et c’est précisément ce qui me rend méfiant.

Comme je l’ai écrit dans mon article « La troisième guerre mondiale est désormais inévitable – c’est pourquoi elle ne peut plus être arrêtée », le coup d’État bolchevique des mondialistes a échoué. Mais cela signifie seulement qu’ils reviennent à des tactiques classiques : Effondrement économique et guerre mondiale.

L’Ukraine, l’OTAN et un jeu dangereux

Les politiques européens bloquent délibérément toute solution de paix en Ukraine en laissant entendre à Kiev que les troupes de l’OTAN interviendront. Même si les Etats-Unis cessent leur aide, de nombreux Ukrainiens pensent que l’Europe comblera le vide. Mais c’est illusoire – l’UE ne peut pas mener une guerre d’usure avec la Russie. Un événement nucléaire, déclenché par une escalade, est plus probable.

Ce qui m’inquiète particulièrement, c’est le ciblage de l’infrastructure nucléaire russe par l’OTAN et Kiev. Depuis le début de la guerre, c’est un risque qui semble être pris sciemment.

L’Ukraine a attaqué à plusieurs reprises des centrales nucléaires russes avec des drones, y compris les siennes, comme Zaporizhia et Tchernobyl. L’offensive (avortée) de Koursk a également été dirigée contre une centrale nucléaire. Début 2024, des drones ukrainiens ont touché deux radars d’alerte précoce russes, à Orsk et Armavir. Les deux se trouvaient loin derrière les lignes de front. J’avais déjà mis en garde contre cette évolution en 2023 dans « False Flag On The Horizon ?

La semaine dernière, une attaque discrète a été menée contre une base de bombardiers russes – ciblant des avions de préparation nucléaire. De telles attaques ne seraient pas possibles sans l’aide de l’OTAN. C’est un modèle : des attaques ciblées contre des capacités nucléaires.

Deux options catastrophiques

La Russie réagit par des bombardements massifs sur des villes – pour montrer qu’elle peut encore frapper malgré l’attaque.
La Russie soupçonne l’OTAN de vouloir affaiblir sa dissuasion nucléaire – afin de se préparer à une intervention directe ou à une attaque nucléaire.

Les deux scénarios mènent à la Troisième Guerre mondiale. Les médias célèbrent le bombardement comme une « victoire », mais ignorent l’objectif réel des avions concernés. Dans le meilleur des cas, la Russie détruit quelques villes ukrainiennes. Dans le pire des cas, il s’ensuit un échange de coups nucléaires.

Les mondialistes veulent-ils vraiment une guerre nucléaire ?

Je ne pense pas qu’ils veuillent risquer une guerre nucléaire généralisée – pourquoi détruiraient-ils le réseau de contrôle qu’ils ont mis des décennies à mettre en place ? Mais je m’attends à un événement nucléaire limité – peut-être en Ukraine.

Les attaques constantes contre les infrastructures nucléaires indiquent une tentative de créer un scénario si chaotique qu’il justifie une intervention de l’OTAN – avant que quelqu’un ne comprenne ce qui se passe réellement.

Sans guerre, ils n’ont rien

Les mondialistes pourraient peut-être aussi déclencher une crise économique – les conditions sont là. Mais sans guerre, ils pourraient en être tenus pour responsables. La guerre leur fournit le bouc émissaire parfait. La famine ? La guerre. L’inflation ? La guerre. Restrictions de la liberté ? La sécurité dans la guerre.

Il y a une raison pour laquelle les guerres mondiales commencent presque toujours peu après les crises économiques. Les crises se renforcent mutuellement – et la guerre fournit une couverture aux plans de centralisation. Chaque guerre mondiale nous a rapprochés d’un gouvernement mondial.

Dernière étape de l’escalade

Les mondialistes en Europe font tout pour prolonger l’incendie en Ukraine. Ils savent que Kiev ne récupérera jamais les territoires qu’elle a perdus. Ils savent que la Russie fait des percées à l’est. Ils n’ont pas de plan de paix – seulement l’objectif de provoquer une guerre ouverte entre l’OTAN et la Russie.

Le silence inquiétant des think tanks et des maisons de presse laisse supposer qu’un mémo interne circule : « Arrêtez tous les programmes. Focus sur l’Ukraine ». Nous assistons peut-être à la transition vers le plan B – cette fois-ci dans le silence, jusqu’à ce que la guerre totale soit déchaînée.

Comme le dit le vieux proverbe : « Les lèvres lâches coulent les navires ».

Bien sûr, l’escalade pourrait aussi se produire en Iran ou la Chine pourrait attaquer Taïwan. Les poudrières dangereuses ne manquent pas. Mais la concentration disproportionnée de ressources sur l’Ukraine est frappante.

Les voies diplomatiques se raccourcissent.

Conclusion : le dernier recours est la guerre.

Le scénario le plus probable : des tapis de bombes russes détruisent des villes ukrainiennes, l’Europe intervient. Même si Trump met fin au soutien américain, la catastrophe ne pourra pas être arrêtée.

Une guerre mondiale n’est pas le premier choix des mondialistes – mais leur dernier. Une crise suffisamment importante pour permettre une centralisation totale. Une guerre qui explique tout – et recouvre tout.

SOURCE : Globalists Go Radio Silent As NATO Flirts With World War III

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