La B17 défendue par des oncologues allemands, à petit prix.
La B17 interdite dans la plupart des pays, et complètement autorisée en Allemagne est défendue par des oncologues allemands, à l’instar de Ben Zayen et Hartung. A présent, il s’agit d’un site allemand de médecine qui publie ce passage du livre de Griffin, « World Without Cancer: The Story of Vitamin B17 », que le site traduit en allemand par « Eine Welt ohne Krebs. Die Geschichte des Vitamin B17 und seiner Unterdrückung » (Un monde sans cancer. L’histoire de la vitamine B17 et de sa suppression). Le texte proposé ci-dessous est une traduction d’un passage de ce livre présenté par le site de médecine allemand https://www.hausarztberlin.de/naturheilverfahren/
Mais le plus étonnant est aussi le récit suivant. L’entreprise qui proposait à la vente la vitamine B17, n’est plus fournie depuis 2024. Et il a fallu trouver une entreprise qui propose un produit de qualité. C’est chose faite. Car une autre entreprise allemande propose un produit testé en laboratoire, et qui plus est, à petit prix.
INFO : laurentglauzy1@gmail.com

Définition : Qu’est-ce que le laétrile, l’amygdaline, l’acide cyanhydrique, le cyanure ou la vitamine B17 ? Le nom « amygdaline » vient du grec et signifie « amande ». Dans les années 1950, le Dr Krebs, pharmacien d’origine allemande installé aux États-Unis, recherchait un traitement contre le cancer. Il a découvert l’effet anticancérigène des noyaux d’abricot amers et en a extrait l’amygdaline, une substance déjà connue, qu’il a nommée vitamine B17 sous le nom commercial de laétrile. Ce produit n’est pas autorisé comme médicament en Allemagne. Cependant, si un patient demande à son médecin de l’utiliser, celui-ci peut le lui prescrire s’il le juge nécessaire. Il est souvent associé à de fortes doses de vitamine C, administré par injection ou sous forme de comprimés. La vitamine B17 n’est pas officiellement reconnue comme une vitamine. L’amygdaline est-elle toxique ? Il ne faut pas confondre l’amygdaline avec le cyanure d’hydrogène ou le cyanure de potassium, car elle n’est pas présente sous forme isolée dans les noyaux d’abricot ! « Chimiquement parlant, la vitamine B17 est composée de deux molécules de sucre, d’une molécule de benzyle et d’une molécule de cyanure », explique le chimiste Gernot Homes. « Si l’on prétend que la vitamine B17 est toxique parce qu’elle contient du cyanure (cyanure d’hydrogène), je me dois, en tant que chimiste, d’affirmer catégoriquement : c’est faux ! Le cyanure de la B17 est lié par une liaison covalente stable, tout comme celui de la vitamine B12 non toxique. Il ne s’agit donc pas d’une liaison ionique faible comme celle du cyanure de potassium, par exemple. Quiconque prétend le contraire est soit mal informé, soit malhonnête.» Comment l’amygdaline/B17 agit-elle ? Les cellules tumorales contiennent l’enzyme bêta-glucosidase, une enzyme essentielle qui constitue également leur point faible. Lorsque la vitamine B17 pénètre dans le sang, circule dans l’organisme et atteint une cellule tumorale, la bêta-glucosidase décompose le composé stable de B17 et attaque directement la cellule grâce aux puissantes cytotoxines ainsi libérées : le cyanure et le benzaldéhyde. Le chimiste Gernot Homes explique : « Ces deux toxines combattent le cancer de l’intérieur et le détruisent.» Mais qu’advient-il de l’amygdaline/B17 dans les cellules saines ? Que se passe-t-il lorsque le cyanure et le benzaldéhyde libres pénètrent dans les tissus sains ? Contrairement aux cellules malades, les cellules saines contiennent une enzyme différente, la rhodanese. Cette enzyme peut convertir le cyanure d’hydrogène en thiocyanate, qui a un effet bénéfique sur notre organisme. Le thiocyanate abaisse la tension artérielle et est également la substance à partir de laquelle notre corps produit la vitamine B12, essentielle au fonctionnement du système nerveux. Le benzaldéhyde libre, toxique, est également transformé dans les cellules saines, grâce à l’oxygène, en acide benzoïque, un analgésique. C’est ce qui explique l’effet analgésique ou légèrement anesthésiant de la vitamine B17. Concernant les effets du thiocyanate et de la rhodanese : Voici les citations des docteurs K. Hohlfeld et D. Hübner, spécialistes en lactation : « On trouve des traces d’acide cyanhydrique dans le sang et divers organes d’un organisme humain sain (réservoir de cyanure). L’apport principal se fait par l’alimentation. »

Que devient un excès de vitamine B17 dans l’organisme ? « L’organisme est capable d’éliminer directement le cyanure (urine, peau) ; cependant, la principale voie de détoxification (métabolisme) du cyanure est sa conversion en thiocyanate grâce à l’enzyme rhodanese, puis en thiosulfate, ce dernier étant également excrété dans l’urine. Cela permet au foie d’un adulte de détoxifier facilement 20 à 30 mg d’acide cyanhydrique par jour.» L’organisme est capable d’éliminer directement le cyanure (urine, peau) ; cependant, la principale voie de détoxification (métabolisme) du cyanure est sa conversion en thiocyanate grâce à l’enzyme rhodanese, également excrété dans l’urine. Ce processus permet au foie d’un adulte de détoxifier facilement 20 à 30 mg d’acide cyanhydrique par jour. La capacité de détoxification métabolique du cyanure d’hydrogène chez l’humain est estimée à 0,1–1 mg/kg de poids corporel/heure (par exemple, Ludewig, 1999). Le poids corporel moyen est de 60 kg. Quelle est la différence entre la consommation de noyaux d’abricot et d’infusions de laétrile ? Et laquelle est la plus efficace en prévention du cancer ou en cas de cancer déjà déclaré ? Ce qui suit s’applique : Contrairement aux solutions de vitamine B17 hautement purifiées pour perfusion, de petites quantités de cyanure d’hydrogène peuvent être libérées par voie enzymatique lors de la consommation de noyaux d’abricot amers. Par conséquent, la consommation quotidienne est limitée et les noyaux d’abricot sont particulièrement adaptés à la prévention, notamment grâce à leur richesse en composés phytochimiques bénéfiques. Quelle est la différence entre la consommation de noyaux d’abricot et les perfusions de laétrile ? Et laquelle est la plus efficace en prévention du cancer ou en cas de cancer déclaré ? Contrairement aux solutions de vitamine B17 hautement purifiées pour perfusion, de petites quantités de cyanure d’hydrogène peuvent être libérées par voie enzymatique lors de la consommation de noyaux d’abricot amers. Les perfusions de laétrile sont particulièrement recommandées en cas de cancer aigu, car elles permettent d’administrer directement dans l’organisme, sans passer par le tube digestif, le principe actif hautement purifié à des doses élevées, ce qui permet d’obtenir un effet thérapeutique nettement supérieur sans les effets secondaires liés à la libération enzymatique de cyanure d’hydrogène. Toutefois, les perfusions de vitamine B17 ne doivent être administrées que sous la supervision d’un thérapeute expérimenté et dans le cadre d’une prise en charge globale du cancer.
Principaux effets des perfusions de vitamine B17 : – Limitation de la croissance tumorale / destruction des cellules tumorales – Prévention des métastases (propagation du cancer) – Effet préventif du cancer (prévention / suivi) – Soulagement de la douleur – Amélioration de l’état de santé général.