Brigitte Bardot : avortement, sexe & inversion des valeurs

En 1973, Brigitte Bardot s’exprime sans détour sur l’avortement. À deux ans de la loi Veil, l’actrice affirme publiquement son soutien à sa légalisation.

Brigitte Bardot qui avorta 5 fois avait plusieurs faces sombres, dont cette maternité complexe avec Nicolas un fils longtemps rejeté, né le 11 janvier 1960. Elle eut cet enfant avec Jacques Charrier qu’elle épouse après le tournage de « Babette s’en va-t-en guerre », le 18 juin 1959.

A ce sujet, le journal « L’indépendant » écrit :

« Aucun médecin n’avait alors accepté d’interrompre sa grossesse et c’est dans son appartement, à l’abri des regards des photographes, que Brigitte Bardot avait donné naissance à Nicolas. En août 2020, Brigitte Bardot s’était confiée sur cette grossesse. Alors âgée de 85 ans, elle avait parlé d’une grossesse qui avait été « neuf mois de cauchemar ». « C’était un peu comme une tumeur qui s’était nourrie de moi, que j’avais portée dans ma chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où l’on m’en débarrasserait enfin ». L’actrice niait toutefois avoir dit qu’elle aurait « préféré accoucher d’un petit chien », propos qui lui avaient été attribués. À la sortie de son autobiographie, « Initiales BB », en 1996, son ex-mari et son fils avaient poursuivi l’actrice et gagné leurs procès. Nicolas Charrier s’était alors insurgé contre sa mère pour « atteinte à l’intimité intra-utérine ». Elle avait été condamnée à payer 100 000 francs à son fils. »

Le lundi 12 mai 2025, Brigitte Bardot déclara « Moi j’aime bien les mecs », dans un entretien accordé à BFM TV ( !), après une absence de douze ans devant les écrans, pour expliquer sa défense des acteurs Nicolas Bedos et Gérard Depardieu, mis en cause dans des affaires d’agressions sexuelles. Ne s’agit-il pas en fait d’une approbation de la culture du viol ?

Le gratin se défend en clamant que c’est de la culture Wok, alors que nous sommes dans la pédophilie.

Le « 20 minutes » écrit : « Ce n’est pas la première fois que l’ancienne star, aujourd’hui âgée de 90 ans, prend des positions antiféministes : dans le sillage de l’affaire Weinstein et du mouvement MeToo, en 2018, elle avait critiqué la vague de dénonciations de harceleurs par des actrices, la jugeant « hypocrite, ridicule, sans intérêt ». »

Weinstein : excusez du peu ! Le degré supérieur de Weinstein n’est-il pas Epstein ?

Dans les années 1960 également, Brigitte Bardot vit une liaison avec Serge Gainsbourg. De cette relation mêlant désir et création, nait la première version du titre « Je t’aime… moi non plus ».

Bardot, dans son hypocrisie habituelle attaquait la viande halal, sans dévoiler ceux qui la commercialisent. Et, il aurait été intéressant d’avoir son avis sur l’abattage de la viande kasher.

Non, Brigitte Bardot qui se disait défendre les valeurs traditionnelles, n’avait rien à voir avec tout cela. Son fond de commerce était bien l’inversion des valeurs.

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