«Le mal est Religieux, la révolution est Religieuse, le Remède est Religieux. Nous ne guérirons que Religieusement.» – Antoine Blanc de Saint Bonnet.

Cette phrase d’Antoine Blanc de Saint Bonnet est inscrite dans son Mémoire intitulé “De la Restauration française” paru en 1851, Mémoire qu’il a adressé au Clergé ainsi qu’à l’aristocratie Française.

L’Oeuvre d’Antoine de Saint-Bonnet pour éveiller les consciences est considérable.

De l’unité spirituelle ou De la société et de son but au delà du temps. Volume 2 et 3

La Loi électorale et les deux Chambres, suivant la théorie du Livre de la Légitimité

Le XVIIIe siècle. Préliminaires du livre de la Chute. Hommage aux Universités Catholiques

La douleur. 3e édition

WIKIPEDIA : https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Blanc_de_Saint-Bonnet

Antoine-Joseph-Elisée-Adolphe Blanc de Saint-Bonnet, né le 28 janvier 1815 à Lyon (France), où il est mort le 8 juin 1880, est un philosophe et sociologue français, appartenant au courant contre-révolutionnaireanti-libéral, précurseur du catholicisme social.

Il est FONDAMENTAL que les gens qui ont été VOLONTAIREMENT DECHRISTIANISES comprennent maintenant que la Guerre qui nous faite est RELIGIEUSE.

Et nous ne pouvons Combattre leur religion Voltairiène, Rousseauiste et Talmudiène qu’avec la RELIGION CATHOLIQUE dont le Fondement a été donné à Saint-Pierre par Notre Seigneur Jésus-Christ.


4 Commentaires

  • Merci!! Je ne connaissais pas du tout cet auteur. Je relève que ses publications et les honneurs qu’il a reçus sont du temps de Louis-Philippe Ier né en 1773, qui a été roi de France du 9 août 1830 au 24 février 1848. Il serait bon aussi que nos concitoyens comprennent la nécessité intellectuelle et morale de mettre à bas la répourrie. La séparation des pouvoirs de dire le droit et la justice et d’avoir les moyens de les faire respecter est dans le principe une saloperie, et en plus, le principe énoncé de séparation des pouvoirs est totalement falsifié, car tout est tenu par les adeptes de mammon, elle ne sert qu’à déresponsabiliser les édicteurs de lois et les détenteurs de la force dite publique. La répourrie est en soi, une ignominie! Et c’est cela que l’on vit et constate depuis le 1er confinement par dictat télévisé de mac rond, comparse de bris d’bite. Valérie Bugault explique très bien l’ignominie intellectuelle et juridique, et elle propose une refondation du droit, qui soit respectueux du droit naturel qui découle des lois divines, celles dites par Platon, le juste, le vrai, l’intelligible, le bon, le beau, celles que JC n’a jamais ni démenties ni contestées. La civilisation par le droit n’est pas advenue au monde par des judaïques, ni par des rabbiniques, ni par des talmudiques, elle est d’origine grecque et romaine. JC n’a jamais contesté le droit romain, mais il a contesté le sanhédrin et ses soi-disant règles et coutumes. Ces faits sont de très haute signification!! Le droit romain devenu droit chrétien, avec notamment l’égale dignité des garçons et des filles et la monogamie pour pouvoir bien élever les enfants, droit qui a été mis en pratique durant plus de Mille Ans, est le fleuron de civilisation, qui est enviée de toutes les personnes du monde qui sont saines d’esprit et de coeur vaillant, quelque soit leurs races ou leurs localisations sur Terre. L’exemplarité même d’une telle civilisation est un couple royal avec des enfants qui a le souci du droit chrétien, de responsabilité personnelle et collective. Répourrie finie!! Merci pro fide! Vive Valérie Bugault! Salutations à tous!!

  • Bonjour et merci de nous faire connaître ces livres de grande valeur. Pouvez vous me préciser si on peut régler par chèque leur achat.

  • Merci à Bernard Goepp pour son commentaire auquel je souscris. Pour ajouter encore plus de vérité et permettre l’exacte compréhension de la conquête de l’Occident par les païens judéo-égyptiens, je précise ce qui suit :

    L’épopée des polythéistes remonte à plus de 2000 ans à travers des prophéties du Deutéronome. Le Sanhédrin, la Synagogue de Satan, les Esséniens et les Pharisiens, puis les Talmudistes, les Kabbalistes, les Sabbato-Frankistes et enfin les Sionistes ont participé à cette longue conquête de la planète.

    En Occident, la Renaissance a été déterminante au XVIe siècle, sous François Ier. Ce fut l’intrusion dramatique de la Kabbale (machine de guerre) et de la Gnose orientalistes en Europe chrétienne sous l’impulsion de sociétés secrètes, telles que les Rose-croix, auxquelles presque tous les intellectuels ont adhérés. Erasme a retranscrit la Kabbale dans son Eloge de la folie et fonda l’Humanisme, mouvement qui souhaite se débarrasser du Christ et de Dieu : l’homme peut s’autogérer sans foi, ni morale, avec un minimum de règles, de limites et d’interdits. Car la Kabbale promeut l’absence de limites, de garde-fous et l’amoralisme, tout en inoculant l’irrationnel dans les esprits et en inversant les valeurs.

    Que voit-on depuis lors? Une dérive progressive de la société par l’abandon de la sagesse, de l’humilité, de la modération et des équilibres naturels de la part des politiciens qui sont plus soucieux d’intérêts sectaires, de lobbies, des castes et de la suprématie de l’élite des initiés. Les Kabbalistes, de plus en plus nombreux dans les gouvernements occidentaux, suppriment un maximum de contraintes et de limites jusqu’à l’ultralibéralisme, l’amoralisme et un capitalisme sauvage. Cet ensauvagement général a aboutit aux Révolutions et guerres des trois derniers siècles qui ont été extrêmement meurtrières ainsi qu’à la catastrophe écologique. C’est le bilan de l’Humanisme sans Dieu agrémenté de la pensée kabbaliste amorale et sans limites.

    Dieu avec sa morale est donc essentiel au bon fonctionnement des sociétés car il donne une ossature, une ligne saine aux comportements et aux décisions politiques. Le Christianisme est une religion exemplaire à ce titre. Cela ne suffit pas cependant, car il faut évincer une bonne partie des Kabbalistes de leurs positions dominantes, en tout cas aux niveaux politiques et sociologiques. La preuve est faite qu’ils sont destructeurs et malsains.

    On sait que la religion commande la philosophie et que la philosophie commande la politique. Cela connecte donc la politique à Dieu si l’on remonte la chaîne des commandements. En écrivant que le mal est religieux, c’est à la fois juste et faux. C’est juste si on considère que c’était la Kabbale depuis la Renaissance qui inspirait les politiques (Etat profond et Francs-maçons). Mais si le Christianisme devient à nouveau la référence dans les esprits et les peuples, ce ne sera pas un mal, au contraire.

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