Elisabeth II : la mort d’un druide

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Ce livre dévoile une réalité qui n’est guère abordée dans les colonnes de la grande presse et encore moins sous la plume des sinologues.
Loin des clichés consensuels évoquant le miracle de l’économie chinoise, le lecteur découvrira, à son plus grand étonnement, d’autres facettes de la Chine.
Plus puissant que jamais, cet Etat totalitaire défie le monde entier.
Mais ce qui est révélé au fil de ces pages est malheureusement bien pire.
L’auteur ne mâche pas ses mots. Il nous conduit au centre d’un empire Illuminati, où le suicide, ’immolation par le feu, la pédérastie et le cannibalisme font partie intégrante de l’histoire et de l’actualité.

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RESUME :

Le présent ouvrage révèle que le conflit ukrainien, programmé depuis plusieurs années par l’élite sataniste, intervenant après la fausse pandémie du Coronavirus, devait faire entrer le monde dans une Troisième Guerre mondiale, c’est-à-dire l’« âge d’or » et l’avènement de l’Antéchrist.
Il n’en sera rien, car ces plans macabres se trouvent contrecarrés par Poutine. Ainsi, la Russie revêt le rôle d’un combattant pour la sauvegarde de l’humanité, contre l’« Empire de Baal ». Peu connaissent cette réalité tant les médias de cette même élite supra-maçonnique ou Illuminati ont pris soin de distiller leurs mensonges.
Qui sait par exemple que le Président ukrainien Zelensky est un disciple de Zuckerberg, de Schwab et du forum de Davos, qui ont fait de ce pays un laboratoire de la future dictature fondée sur une nouvelle technologie, comme le démontre l’application d’identification numérique DiiA, et la production de crypto-monnaies ?
Concernant l’Ukraine, des médias indépendants comme Mediapart, ont attesté l’existence de charniers, où sont enfouis des cadavres ayant servi au trafic d’organes. Nous comprenons alors d’autant mieux pourquoi les « grands politiciens » des plus grandes nations, des États-Unis et de leur filiale, l’OTAN, comme les Biden, Obama, Clinton avaient de sombres intérêts à défendre dans ce pays.
Ceux qui ont décrypté tout l’enjeu du conflit ukrainien et ses raisons occultes, ce à quoi contribue par ces éclaircissements et ses analyses pertinentes ce livre de Laurent Glauzy, comprendront la marche de ce monde qui y est dénoncée : celui d’un cercle occulte et puissant contre lequel lutte le Président Poutine.

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LES SUPER LOGES n° 7

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15 Commentaires

  • Peut-on faire une commande depuis l’étranger (Canada)? Merci.

  • Remarquable travail de montage et d’intégration de Jane dans cette vidéo.
    Tout en sachant que je la soupçonne d’être enchaînée dans le château Glauzy en Ariège.

  • Concernant Elisabeth II , son statut de cheffe d’une église chrétienne (eglise anglicane) est -il compatible avec sa participation à une cérémonie druidiste ?

  • Vous avez aussi “jack l’éventreur la solution finale”éditeur omnia véritas de Stephen Knight, anti franc-maçon d’ailleurs ses recherches l’ont sans doute conduit à sa mort très jeune.

  • Sans doute pas, mais l’anglicanisme est de toute façon une “église” fondée sur un adultère…

  • Staline a été gardé au pouvoir par les Khazars illuminatis parce que finalement , il leur a Bien obéit. Trotsky qui En réalité n’était pas mort mais cache dans l’un de leur 100 bunkers sous terrains( Comme sadam Hussein de la CIA et Hitler avant d’être exfiltre en Argentine ) Donc Trotsky, ils n’en avaient plus besoin , juste un idiot utile de goy qui n’appartenait pas a l’une des 13 familles de ” noblesse” noire sanguinaire et portées sur le cannibalisme. Il fut exécuté. (Cf beforeitsnews .. Kim Goguen)

  • Il y a aussi le livre de Stephen Knight “Jack l’éventreur, la solution finale de chez omnia veritas.
    C’était un anti-maçon ses recherches et ses livres lui ont peut être coûter la vie (mort très jeune)

  • Il y à aussi le livre de Stephen Knight “Jack l’éventreur, la solution finale” de chez omnia veritas.
    C’était un anti-maçon, ses recherches et ses livres lui ont peut être coûter la vie (mort très jeune)

  • Aussi le livre de Stephen Knight “Jack l’éventreur, la solution finale” auteur anti-maçon qui a peut-être subi les conséquences de ses travaux puisqu’il est mort très jeune.

  • France Celtique, Royale et Catholique

    Monsieur Glauzy vous avez raison sur le néo-druidisme qui est un dévoiement du Druidisme par les satanistes maçons. Cependant vous faites fausse route sur le Druidisme de nos ancêtres qui n’est pas issu de Cham mais de Japhet et qui fut une Préfiguration de la Révélation de l’Évangile voici des extraits d’ouvrages Catholiques qui démontre cette antique vérité :

    Un brillant eclessiastique, l’Abbé Audierne dans son ouvrage ‘’Du druidisme ou de l’état
    religieux du Périgord avant l’établissement du christianisme dans la Gaule aquitaine’’
    démontre la filiation Druidique de la religion des Patriarche de la Bible et du Christianisme :

    ‘’Sans nous arrêter à cette tradition (….) qui veut que Vésone ou la Cité de Périgueux tire
    son origine des enfants de Noé (Pont Japhet à Périgueux)( 1 ), nous sommes néanmoins
    autorisé à penser que le culte des druides était infiniment rapproché de celui des patriarches
    par son ancienneté et par la ressemblance des croyances. Tous les savants conviennent
    que les druides sont aussi anciens que les mages , les Chaldéens et les autres philosophes
    de l’antiquité , et qu’ils n’avaient rien changé à leurs dogmes jusqu’à la domination romaine.
    Rapprochés des premiers âges du monde , les druides durent conserver des vérités que le
    temps n’avait pas encore altérer. Pour atteindre ce but , ils avaient adopté un moyen qu’ils
    croyaient le plus sûr : ils ne confiait rien au papier ; ils donnaient tout à la mémoire. Leurs
    dogmes, leur morale et leur discipline étaient renfermés dans des vers qu’ils faisaient
    apprendre par cœur à leurs adeptes. Ce code non écrit devait être fort étendu , et leur
    religion , par conséquent, fort longue à apprendre ; aussi quelques-uns d’entre eux restaient
    des vingt années sous la conduite de leurs maîtres ( 2). Ils ne permettaient point qu’on
    écrivît sur la religion ; ils n’écrivaient point eux mêmes – ; ils évitaient toute espèce de
    controverses religieuses , et ils jouissent. saient d’un précieux avantage de conserver leur
    croyance pure et intacte. On sait qu’il était aussi défendu aux juifs de communiquer leurs
    livres saints aux autres nations , dans la crainte que ce dépôt sacré , qu’un Dieu leur avait
    confié , ne s’altérât, et qu’eux-mêmes ne devinssent semblables aux idolâtres.’’
    ‘’Leurs (Les Druides) dogmes fondamentaux étaient l’existence d’un seul Dieu , la
    spiritualité de l’âme, son immortalité , et la certitude d’un avenir heureux ou malheureux.
    Généralement on a cru qu’ils partageaient le polythéisme universel qui couvrait la terre. Peu
    d’écrivains leur ont rendu la justice qu’ils méritaient; et ceux qui, après une profonde étude ,
    les ont traités plus favorablement, n’ont pa détruire entièrement les préjugés de certains
    auteurs qui, voulant que le monde entier fût idolâtre , se sont obstinés à les confondre avec
    le reste des nations. Mais y avait-il une nécessité absolue que tous les bom mes fassent
    païens , et le peuple juif devait- il être le seul croyant en l’unité de Dieu ? Rejetons des
    préjugés si désolants , et convenons qu’au milieu des nations infidèles il s’y trouvait encore
    des coeurs pour le Dieu véritable. Qui ne sait qu’à Athènes on lisait sur le frontispice d’un
    temple ces étonnantes paroles : Deo ignoto ? et en lisant le traité De naturâ deorum , qui
    oserait dire que Cicéron , parmi les Romains , fût idolâtre ? La connaissance d’un seul Dieu
    ne fut donc pas particulière et personnelle au peuple juif ; d’autres nations la possédèrent :
    pourquoi les druides ne l’auraient- ils pas partagée ?’’

    ‘’ Origène, qui vivait à une époque où les druides devaient être encore connus , assure que
    la Grande-Bretagne était préparée à l’Evangile par le druidisme; et nous savons , en effet ,
    avec quel zèle et quelle ardeur l’Angleterre accueillit la foi chrétienne : sa piété lui valut le
    surnom d’île des saints. L’assertion d’Origène se trouve donc confirmée par l’événement.
    Eh! quel intérêt eût eu ce docteur de mettre au jour une opinion dénuée de fondement ? Il
    combattait les erreurs de Célse ; cet hérésiarque . que adroit et rusé n’eût-il pas réclamé
    contre une telle assertion , si elle eût été fausse ? Eh ! quel triomphe pour la mauvaise
    cause qu’il défendait, s’il eût pu prouver qu’Origène , pour soutenir les interets de la religion
    chrétienne , était obligé de s’appuyer sur des suppositions bizarres et ridicules : cependant il
    garde le silence , il se tait , sans doute par l’impossibilité où il était de répondre. Serions
    -nous autorisés à combattre aujour d’hui le sentiment d’Origène , et aurions-nous jamais le
    courage ou la témérité d’assurer que ce célèbre écrivain , l’un des plus grands génies et des
    plus savans hommes qui aient fleuri dans l’Eglise primitive, se soit trompé, ou bien que celui
    qu’on se plaisait à regarder comme le sanctuaire de l’Esprit saint ait voulu nous tromper ?
    Disons – le donc , l’assertion de ce Père de l’Eglise prouve ce que nous avons avancé , que
    les druides croyaient en un seul Dieu. Rien de moins propre , en effet , à disposer les
    nations à la réception de l’Evangile.’’

    ‘’Si les druides ne bâtissaient point de temples , ils ignoraient aussi la construction des
    autels. Une pierre brute portée sur deux autres , tel était leur autel. Admirons encore ici la
    ressemblance de leur culte avec celui des patriarches. Jacob , allant en Mésopotamie,
    dresse un autel : c’est la pierre qui lui avait servi de lit de repos; et Moïse ordonne que les
    autels qu’on érigera à l’Eternel ne soient faits que de pierres brutes. Dans l’enfance du
    monde, les hommes durent se servir des moyens que la nature leur offrait. Leurs premières
    armes furent des pierres , des morceaux de bois durcis au feu: l’usage s’en conserva
    longtemps. Les Romains se servaient de frondes. Moïse ordonna aux Hébreux de se servir
    d’une pierre pour la circoncision . Il paraît que les druides employaient dans leurs sacrifices
    des pierres faites en forme de haches. On en trouve presque toujours dans les lieux où l’on
    remarque des vestiges de leurs autels, on sar les hauteurs que nous avons appelées leurs
    bois sacrés. Instruits des dogmes druidiques et de certains usages relatifs au culte sacré
    que leurs prêtres rendaient à la divinité , abordons avec franchise le point le plus
    controversé , et sans passions ni préjugés, discutons les faits. La pureté des croyances des
    druides , la simplicité de leurs pratiques extérieures et leur attention religieuse à conserver
    intactes les traditions primordiales , font présumer d’avance le triomphe de leur cause. Nous
    voulons parler des sacrifices en usage dans les Gaules, On sait que les druides offraient en
    sacrifice les prémices des fruits de la terre , surtout une plante qu’on nomme le gui (..) et le
    Taureau.’’

    Le Docteur Maurice Adam érudit sur le sujet du Celtisme comme origine du Christianisme
    confirme cette vérité mystico-religieuse cachée dans son livre la Tradition Celtique et ses
    adversaire :

    « En étudiant l’Ame Celtique, nous avons vu qu’elle était prête pour le christianisme, et qu’elle était
    vraiment le seul terrain où l’esprit chrétien pouvait s’implanter. Que firent les apôtres chrétiens en
    Celtique ? Détruisirent-ils la religion celtique, et le sacerdoce druidique fut-il son ennemi? On
    répond généralement oui. Il y avait deux cultes en Gaule et dans toute la Celtique, le culte
    populaire, avec ses exagérations, ses superstitions, qui avait ses prêtres, plus ou moins officiels,
    sortes de schamans dont les sorciers du moyen-âge, les présidents de ventes sabbatiques, et enfin
    nos sorciers actuels, ont continué sans interruption la tradition et les pratiques. Le christianisme
    épura ce culte sans le détruire, et, après de longs siècles, nous en conservons encore des traces. Que
    de dolmens et de menhirs vénérés par le peuple celte sont encore aujourd’hui surmontés de croix ! «
    Bonne est la pierre avec l’Evangile », disaient les bardes, et, nous dit La Villemarqué, « St-Patrice
    portait avec lui dans ses voyages, une pierre sacrée pour dire la messe ». Et le menhir, ou le dolmen,
    surmonté d’une croix, ou portant une croix gravée dans ses flancs, c’est le symbole de la race
    celtique, destinée à répandre la doctrine de la croix par le monde, et à porter elle même sa croix de
    race crucifiée. La religion Celtique, toute d’idéal, de foi en l’immortalité, semble avoir été, à une
    époque où le druide n’était pas tout puissant, souillée d’un contact étranger qui lui fit adopter le
    sacrifice humain. Les druides, les philosophes de la pure doctrine des triades, ceux que les
    philosophes de l’antiquité considéraient comme les plus grands parmi eux, ne purent être que les
    modérateurs de pratiques dont ils n’étaient pas les instigateurs. »

    « Ni les bardes ni les druides ne résistèrent réellement au Christianisme.Il dut y avoir un
    mouvement de défiance, mais il dura peu. Néanmoins, les historiens parlent de druides rebelles au
    Christianisme,et contre lesquels dut lutter St-Patrice. Il put y avoir des druides hostiles au
    Christianisme, ne serait-ce que pour des raisons telles que la crainte de la perte du pouvoir. Mais il
    se peut très bien aussi qu’il ne s’agisse pas ici de Druides. Là encore, les druides ont pu être
    confondus avec les prêtres d’une religion en décadence, d’origine autre que la vraie religion
    Celtique, avec laquelle elle s’était mêlée : les Celtes d’Irlande, surtout avaient certainement subi un
    contact sémitique. D’ailleurs, dans tous les pays celtiques où il y a des druides, il y a dualité de
    pratiques entre le schamanisme des prêtres sorciers et la religion des druides. C’est contre ces
    magiciens, très probablement, que Patrice eut à lutter et non contre les bardes et les druides. Il y
    avait des chrétiens en Gaule à la fin du IVe siècle, bien avant St-Patrice, et ce fut vers le milieu du
    ve siècle que furent créés les principaux monastères d’Irlande, qui envoyèrent à leur tour tant de
    missionnaires en Gaules. Nous insisterons surtout sur ce qui se passa en Irlande. A l’abri des
    invasions, elle nous laissa plus de documents historiques que la Gaule. Le Christianisme n’y
    détruisit rien. Il moralisa et accomplit. Dans son cours de Littérature celtique, M.d’A.de Jubainville
    nous montre la hiérarchie druidique d’Irlande transformée en hiérarchie ecclésiastique chrétienne, et
    M. Bertrand dans « La Religion des Gaulois », considère que les monastères qui couvrirent la Gaule
    en si peu de temps ne sont que des congrégations druidiques converties en masse.

    En Irlande, c’est l’élément lettré et poète qui se convertit le premier et le plus facilement au
    Christianisme ; le druide, qui est relégué dans les derniers rangs de la hiérarchie, parait avoir été en
    décadence avant l’introduction du christianisme, à moins qu’en Irlande le titre de druide ne se soit
    jamais appliqué qu’à un membre des degrés inférieurs de la hiérarchie. Ce sont les file que nous
    trouvons au premier rang, avec leurs chefs, les Ollamh. Le Christianisme conquit l’Irlande en une
    trentaine d’années. Evêques et Ollamh s’entendent à merveille, bientôt se confondent ; des file
    deviennent évêques, des évêques comme St-Colomban composent des poêmes en langue nationale.
    Ici, et dans le pays de Galles, les centres druidiques se transformèrent en monastères chrétiens. Les
    file devenus moines ne changent guère leurs travaux. « Ce n’est pas la religion, dit A. Bertrand, ce
    sont les sciences, les arts, les lettres, ce qu’enseignaient les druides, qui sont surtout florissants : On
    y sait non seulement le latin, mais le grec, on y calligraphie avec un art qui n’a jamais été dépassé.
    La poésie y est en grand honneur. Comment expliquer cette supériorité littéraire et scientifique des
    monastères d’Irlande et du pays de Galles— ce ne sont point là des vertus évangéliques—si ce n’est
    par une survivance des confréries druidiques ?

    En Gaule, les saints de Bretagne, dans les premiers temps du Christianisme, sont presque tous des
    druides convertis ; ils sortaient pour la plupart des abbayes d’Irlande, qui essaimèrent en Gaule. Les
    Celtes étaient des préchrétiens : ils trouvèrent leur personnification dans Saint-Jean-Baptiste, dont le
    culte est si répandu en France, et dont la fête a succédé à la fête du Solstice d’Eté, la plus importante
    des fêtes Celtiques. Et c’est ce saint, que par une manoeuvre habile, les Templiers, qui auparavant
    purent être comptés au nombre des héritiers de la Tradition de la Chevalerie Celtique des chefs au
    Collier d’or, les Templiers.

    En résumé, plutôt homme de foi et d’idéal qu’homme de raison, de synthèse que d’analyse,
    d’intuition que d’instinct, et plaçant toujours plus haut son idéal, tel est essentiellement le CeltoGaulois. Nul terrain n’était plus propre que son âme à l’éclosion du Christianisme. En étudiant les
    croyances de l’Ame Celtique, on se convainc que la Révélation du Galiléen était bien la religion
    qu’attendait la Gaule.

    La Vierge Marie dans l’histoire de France :

    Le culte de «la Vierge qui doit enfanter» prépare les âmes de nos pères à la vérité religieuse «Ecce
    Virgo concipiet, et pariet Filium» (Isaïe – VII, 14 ). Une Vierge concevra et enfantera un Fils,
    l’Emmanuel… Cette prophétie d’Isaïe était connue un peu partout dans le monde païen ( 1 ). C ela s ‘
    e x pliq ue facilement par le fait que tous les peuples ont conservé, et se sont transmis verbalement,
    des échos de la tradition primitive, reçue de Dieu par nos Premiers Parents et par les Patriarches, et
    jamais complètement effacée par l’idolâtrie, et aussi parce qu’après la dispersion des hébreux, leurs
    livres saints furent connus peu à peu, partout où ils allèrent. Mais, alors que la plupart du temps, les
    peuples méprisaient ces prophéties ou les traitaient de fictions poétiques, le Peuple Gaulois, lui,
    conservait cette antique tradition avec une foi et une piété profondes. La Providence permit en effet
    que les druides lui inculquassent ce culte ainsi que quelques autres croyances et rites qui devaient
    favoriser l’établissement du Christianisme en Gaule, tels que : l’immortalité de l’Âme ; son
    châtiment ou sa récompense dans l’autre vie suivant ses fautes ou ses mérites. Ils croyaient que le
    sacrifice humain était nécessaire pour racheter les crimes des hommes et apaiser la juste colère
    divine, et il y avait bien une part de vérité puisque l’humanité n’a été rachetée que par le Sang du
    Juste. La polygamie était interdite et la fidélité conjugale était de règle. Enfin, leur rite obligeait les
    druides à cueillir le «selago», la plante sacrée, pieds nus, les mains lavées et après avoir sacrifié
    avec du pain et du vin – espèce de préfiguration du Sacrifice Eucharistique. Alors que, chez les
    Romains, le polythéisme dégradait les individus et que les divinités elles-mêmes protégeaient tous
    les vices et y incitaient parfois, le culte druidique – à côté d’erreurs grossières et cruelles – inspirait
    aux Gaulois de nobles passions et forgeait en eux un caractère ardent, généreux, et fidèle. Le grand
    centre religieux de la Gaule était la forêt de Chartres.

    «Or, précisément, la colline où a été depuis bâtie la cathédrale était alors un bois sacré : et au milieu
    de ce bois se trouvait une vaste grotte qu’éclairait à peine un jour sombre … Là, dit la tradition, en
    présence de toutes les notabilités de la nation convoquées, la centième année avant la naissance de
    Jésus-Christ, les druides élevèrent un autel à la Vierge qui devait lui donner le jour, gravèrent sur cet
    autel l’inscription devenue depuis si célèbre: VIRGINI PARITURAE, (à la Vierge qui doit
    enfanter) ; et Priscus, roi de Chartres, touché du discours prononcé en cette occasion par leur grand
    pontife, «plein de confiance en ses promesses, consacra solennellement, devant toute l’assemblée,
    son royaume à cette Reine future qui devait enfanter le Désiré des Nations. Les assistants, émus de
    telles paroles, se consacrèrent eux-mêmes à cette Vierge privilégiée ; dès lors, ils conçurent les
    sentiments de la plus tendre vénération . .. (1 )».

    On a trouvé également des vestiges de ce culte de la Vierge qui devait enfanter le Sauveur du monde à Nogent-sous-Coucy (2), à Longpont et jusqu’à Lyon (3 ). Il est en notre France une terre sacrée, «béiüe par une prédestination qui se perd dans les
    secrets de l’éternité», où, bien avant Longpont, bien avant Chartres, la Vierge qui devait enfanter
    aurait fait éclater sa puissance : Paray-le-Monial, la terre d’élection du Sacré-Cœur.
    «Six cents ans après le déluge -si l’on en croit la Tradition – un formidable incendie, relaté d’ailleun>
    par Diodore de Sicile, ravagea l’Ibérie et la Celtique.

    Epouvantés, les populations du Val d’Or
    implorèrent, dit-on, la Vierge qui devait enfanter et promirent de lui élever <<Une pierre de
    témoignage». Le Val d'Or fut épargné et ce serait dans cette pierre de témoignage que, bien des
    siècles plus tard, l'image de Notre-Dame de Romay aurait été taillée» (1 ). «Toujours est-il que le
    culte de la Vierge Marie est né à Paray depuis des siècles et qu'autour de l'antique Madone les
    miracles se sont multipliés : guérisons, résurrections des corps et des âmes. Les générations
    chrétiennes devaient… être conduites au Fils par la Mère :ad Jesum per Mariam» (2). Ainsi, bien
    avant la naissance de Marie, notre terre de France était le centre d'un culte en son honneur et, par
    avance, lui était consacrée, comme si Dieu avait voulu choisir et préparer un Royaume privilégié
    ici-bas pour la Reine du Ciel. Après la conquête romaine, l'Empereur Claude voulut supprimer le
    druidisme et imposer aux Gaulois les dieux romains. Ce fut une autre permission de la Providence
    afin de «favoriser sur leur territoire l'établissement d'une religion nouvelle qui, tout en
    s'harmonisant mieux sous certains rapports avec la leur, proscrivait ahsolument le polythéisme
    hybride de leurs maîtres (3).

    Aussi, quand les premiers disciples du Christ arrivèrent en Gaule pour
    y porter la «bonne nouvelle», trouvèrent-ils les âmes toutes préparées pour recevoir la bonne
    semence. Il s'appuyèrent sur le culte de la VIRGINIS PARITURAE et annoncèrent qu'Elle vivait et
    avait mis au monde le Sauveur Christ qu'ils venaient prêcher. «C'est Marie qui a présidé à l'éclosion
    de notre nationalité, disait le Cardinal Donnet. De même que par Elle le Christ avait fait son entrée
    dans le monde, de même la religion du Christ pénétra par Elle dans notre pays».
    Marquis de la Franquerie, La Vierge Marie dans l’histoire de France.

    (1) Voir :Suétone – Vita Vespasiani c.ll. Tacite – Hist. Lib. V. Virgile – Eglogue IV, prédiction
    attribuée à la Sibylle de Cumes. Consulter sur ce point : Aug. Nicolas – «La Vierge Marie vivant
    dans l'Eglise». Hamon – «Notre-Dame de France», tome 1, p. 185.
    (1) Hamon: op. cit. Tome 1, pp. 190-191. (2) Guibert, Abbé de Nogent – Vita sua -lib. II, c.l. (3) 1.
    Hirchenbach : Die heiligen catholischen gnaden und Wallfahrtsorte – 1883. 14 ll semble que ce culte
    était en honneur à Longpont avant qu'il ne le fût à Chartres.
    (1) Bulletin de l'Archiconfrérie de N.-D. de Pellevoisin: «Terre Mariale», par A.·M.- N°Mai-Juin
    1938. (2) Vie de la «Mère Marie de Jésus, fondatrice et Prieure du Carmel de Paray-le-Monial» –
    par une Carmélite, Monastère de Paray, 1921, pages 234 et 235. (3) Hénault -«Recherches
    historiques sur la fondation de l'Eglise de Chartres» – p. 26.

  • France Celtique, Royale et Catholique

    DRUIDISME ET CHRISTIANISME
    D’ailleurs, à cette époque, justement à cause de cette similitude de race, se développa, sinon apparut, sur le continent le Druidisme philosophique et religieux qui nous émerveille encore aujourd’hui par sa beauté morale, son idéalisme, son spiritualisme. Il s’était conservé chez les Goidels de l’île de Bretagne, avec sa pureté primitive et il supporte sans peine la comparaison avec la religion des anciens patriarches dont parle la Bible ; peut-être même est-il plus parfait que la religion judaïque qui admettait la polygamie, la loi du talion, le prêt à usure aux étrangers et le massacre des ennemis blessés.

    Adamique, mosaïque, chrétienne. Il n’y a eu que ces trois révélations, affirme l’Eglise, et nous l’affirmons avec elle. Mais la deuxième révélation (celle du Sinaï) nécessitée, à l’époque de Moïse, par le matérialisme païen pratiquée par les Hébreux à l’imitation des Egyptiens, ne fut pas nécessaire chez les Gaells qui avaient conservé les principes généraux de la révélation adamique… et vraiment les Gaells étaient aussi le peuple de Dieu…

    Fils de Japhet, ils devaient participer à la Rédemption. « Tu habiteras dans la tente de Sem », dit le patriarche Noé, à Japhet qui l’avait couvert de son manteau, alors que Cham l’avait tourné en dérision le jour où le jus de la vigne l’enivra…

    Et de fait, de Sem naquit le Messie, mais au cours des siècles les ancêtres de Jésus-Christ eurent des mères japhétiques. Les Elamites, des bouches de l’Euphrate, étaient japhétiques et c’est une femme d’Elam que prit Abraham pour épouse (la ville d’Our est en Elam-Sumer).

    Il semble aussi par ailleurs que Thamar, la courtisane qu’épousa Judas, fils de Jacob, était une Philistine… et les Philistins étaient des fils de Japhet. Il semble également que Ruth, femme de Booz, grand-mère de David, l’était aussi. Enfin plusieurs rois de Juda eurent des femmes philistines ou japhétiques (les Phéniciens sémites, en effet, se mélangèrent vite aux Philistins).

    D’ailleurs la Vierge Marie elle-même qui seule secundum carnem coopéra à la naissance de Jésus-Christ, avait dans les veines du sang celte à côté de son sang sémite. Les apparentes divergences des évangélistes saint Mathieu et saint Luc qui donnent les généalogies de Joseph et de Marie nous autorisent à le dire. Tous les exégètes sont d’accord pour affirmer qu’elles ne sont pas complètes, plusieurs noms ont été omis. La généalogie de Marie proviendrait de Nathan, celle de Joseph de Salomon, fils de David… Les droits royaux du Messie lui proviendraient de sa primogéniture dans la lignée du Roi Prophète… Mais son sang, sa famille, sa race ne proviendront que des collatéraux. Jésus est donc fils de David, réellement, mais dans son ascendance maternelle, qui pour nous seule compte ici, puisque Joseph ne fut que son père adoptif, il y eut plus de mésalliances entre ses aïeux réels, non rois, que parmi ses aïeux – putatifs – rois… Or, ces aïeux habitèrent pendant plusieurs siècles la Galilée… Mais qu’était la Galilée ?… Une colonie de Galates… les Celtes d’Asie Mineure… Qui nous dit que les descendants de Nathan, fils de David, n’épousèrent pas des femmes galiléennes, celtes ?

    Marie, qui en Gaule, fut si révérée et honorée, au point que l’on dit encore en ce jour : Regnum Gallioe, Regnum, Mariae, a semblé elle-même affirmer la celticité de sa famille en désignant la terre des Celtes – nouveau peuple de Dieu – pour sa nouvelle patrie de la terre, c’est en Gaule qu’elle a les plus beaux sanctuaires de la terre, c’est en Gaule qu’elle a affirmé elle-même à Lourdes le splendide privilège de sa conception immaculée…

    Or si Marie a du sang celte Jésus en a aussi… Il est sémite par son entière lignée paternelle… mais japhétique par une grande partie de la lignée maternelle… de Marie.

    Que notre piété de Gaulois envers Elle s’augmente encore de ce chef… et adorons la Puissance de Dieu qui nous permet dé saluer au nom de demi-soeur la corédemptrice du genre humain… Sur le Golgotha donc il ne coula pas que du sang sémite… il fut versé aussi des larmes japhétiques.

    Or ici se pose devant nous un problème d’atavisme moral, dont la solution est l’exaltation de notre race… japhétique. Le sang répandu répudiait aux Sémites… , le sacrifice rédempteur comme celui de Vercingétorix n’était pas leur fort… Or Jésus-Christ en se faisant homme prit tout de notre humanité, sauf le péché ; il prit donc aussi l’esprit de sa race…

    Au jardin de l’Agonie, en son auguste personne, un duel eut lieu… Le sémite se révoltait devant le sacrifice… Mais le sang de Japhet qui bouillonnait en lui et lui montrait les splendeurs d’un sacrifice sanglant rédempteur dicta ,à son amour pour l’humanité déchue, que seul il pouvait racheter, l’acceptation entière des supplices de la Croix.

    * * *
    Et plus tard, quand les fils de Sem se détournèrent de l’Evangile, qui furent les grands missionnaires des peuples ? les peuples Gaells et Celtiques… l’Irlande et la Gaule.. où Japhet avait fait souche.

    Nous allons plus loin : Lazare que Jésus ressuscita partit avec Maximin, Marthe et Magdeleine, la grande témoin de la Résurrection, à quelle nation portèrent-ils l’Evangile ? A la Gaule ; et pourquoi ? Béthanie était dans la tribu de Benjamin… tous ils avaient dans leur ascendance des ancêtres philistins japhétiques…

    Et les rois mages ? Ils venaient d’Orient, du pays d’Elam? Une tradition raconte que des druides partirent des Gaules pour aller à la recherche de la Vierge qui devait enfanter… Nous croyons que les Mages étaient les druides en question ; à travers l’Europe Orientale, l’Asie Mineure et la Galatie (Gauloise) ils allèrent chez les Elamites… puis guidés par l’étoile, à travers la Galilée (peuplée de Celtes comme eux) et la Samarie ils allèrent jusqu’en Bethléem de Juda, où ils adorèrent l’Enfant né de la Vierge… Mais ils revinrent dans leur pays par un autre chemin… Quel était cet autre chemin ? Quel était leur pays ? Leur chemin, c’était la mer sillonnée par les navires phéniciens, leur pays c’était la Gaule où depuis de longues années on attendait leur retour, pour apprendre que le miracle de la maternité virginale de Marie – honorée par les Gaulois dans les états des Carnutes entre autres – s’était réalisé… et qu’en Orient un homme-Dieu était né d’une vierge.

    Une tradition raconte que plus tard ces mêmes druides mages se firent chrétiens, devinrent évêques et furent mis à mort en haine de la foi… et leurs reliques sont aujourd’hui au pays des Trévires, dans la cathédrale de Cologne!… Saints Melchior, Gaspard et Balthazar, priez pour les druides chrétiens de la Gaule d’aujourd’hui, augmentez leur foi dans le Christ et secondez leur apostolat parmi les païens de notre patrie celtique !

    * * *
    Et saint Paul ; l’apôtre des Gentils ? Il était né à Tarse, en Cilicie… Il était de religion juive, mais qui nous dit que le fougueux Saul, né au sud de la Galatie n’avait pas, par une de ses grand-mères, du sang celte dans les veines… Son esprit aventureux n’est pas juif, sa langue maternelle était le grec…. seule sa circoncision fit de lui un adepte de la loi de Moïse… c’était un judéo-celte.

    (…)

    Il alla vers les Nations… Il prêcha devant l’Aréopage, à Salonique, à Rome, en Espagne, en Gaule; et s’il ne fit que passer dans ce dernier pays, c’est que vite il comprit que les Gaulois seraient – et Dieu l’inspirait – un champ facile pour le Christianisme… car déjà il avait converti les Galates, à la race desquels appartenaient ses lointains ancêtres… et il écrivit à sa chrétienté galate une épître (son épître celtique allions-nous dire) où il exalte la spiritualité de l’âme, dogme souverain des Celtes, qui détermina beaucoup d’entre eux à embrasser un Evangile qui prêche la pérennité de la vie au-delà de la mort. Et c’était bien à des Celtes que s’adressait la belle apostrophe de l’Apôtre des Nations : « Vos qui spirituales estis !… » contenue dans cette belle épître.

    Nous ne faisons ici – car l’espace nous manque – qu’esquisser la question celtique dans les études exégétiques… Nous signalons aux historiens et aux théologiens, versés dans l’herméneutique, ce côté neuf et plein de trouvailles consolantes de l’Histoire de la Primitive Eglise.

    Jean-Marie François Jacob dit Efflam Koed Skaù, dans le livre la Gaule Continue aux Editions “Armorica” Carhaix 1935.

  • France Celtique, Royale et Catholique

    Regardez ce reportage Druidisme et Christianisme fait par un Catholique Traditionnel : https://www.youtube.com/watch?v=zJ1M3vTt384

  • • Canada: The Queen kidnapped ten children – who then disappeared. Their parents haven’t seen them since. On 10 Oct. 1964 Queen Elizabeth and Prince Phillip took a group of Aboriginal children on a picnic at the Catholic Kamloops Residential School in Alberta Canada – when ten of the children disappeared (notice the 10-10-10 connections). One of the children told what they observed.
    https://rumble.com/v1izd6j-canada-the-queen-kidnaped-10-children-where-are-they-buried.html Probe of Queen Elizabeth Child Abduction to Catholic “Killing Ground Hospital” | Celebrities | Before It’s News (beforeitsnews.com)

  • BOOM !
    Charles Windsor dit Charles III est appelé à comparaître devant un tribunal international spécial le 1er novembre 2022 pour fournir des explications sur les crimes commis par ses parents au Canada (voir ci-dessus) :

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