Ukraine : un gouffre à milliards

On peut également se demander où vont les fonds. Car l’Ukraine reste le pays le plus corrompu d’Europe. Même avant la guerre entre l’Ukraine et la Russie, le pays était un gouffre à milliards pour l’UE. Rien que les aides directes s’élevaient à au moins 17,5 milliards d’euros pour les seules années 2014 à 2021. Tous les efforts de réforme se sont toutefois heurtés à la corruption massive, comme la Cour des comptes de l’UE l’a encore constaté à l’automne 2021. Elle a même remis en question la légitimité des aides européennes, car deux des trois conditions n’étaient pas remplies.

Projets socialistes d’impôt sur la fortune

Mais comme il est bien connu que l’argent ne coûte rien et que la BCE assure un approvisionnement suffisant avec ses imprimeries, les “souhaits” de Kiev seront probablement exaucés. Et la présidente du SPD allemand, Saskia Esken, s’enflamme elle aussi immédiatement. Elle voit même une occasion unique de faire d’une pierre deux coups. Elle peut ainsi débloquer des fonds pour Selenski Offshore et ses oligarques, tout en réalisant un rêve socialiste, à savoir l’introduction d’un impôt sur la fortune pour les riches en Allemagne. Car c’est ainsi qu’elle compte financer les paiements mensuels.

Vive la solidarité internationale

“Pour financer un État solidaire capable d’agir, qui maintient la cohésion de la société dans notre pays, qui soutient la reconstruction en Ukraine et qui, en même temps, ne ferme pas les yeux sur la crise alimentaire mondiale, nous devons enfin mettre en œuvre une taxe solidaire sur la fortune des super-riches”, a expliqué Esken ses projets au “propre” réseau de rédaction du SPD en Allemagne. La chef du SPD n’a toutefois pas précisé qui elle entendait par super-riches, mais probablement les prestataires habituels, qui sont déjà mis à contribution par le biais d’impôts et de taxes. Elle n’a pas non plus précisé si ses exigences en matière de solidarité internationale allaient jusqu’à introduire en même temps une taxe similaire pour les oligarques et les milliardaires ukrainiens.

L’économie ruinée, les Allemands doivent avoir froid

Au vu des problèmes économiques actuels, la mise en œuvre de ces exigences devrait toutefois conduire à ce que davantage d’entreprises et de personnes fortunées quittent l’Allemagne, pays à la fiscalité élevée. De plus, ce n’est pas comme si l’Allemagne avait des paysages florissants. L’infrastructure est en mauvais état et aurait besoin d’une rénovation urgente. De même, le système social et le système de santé gémissent et craquent de toutes parts. Les cotisations d’assurance maladie atteignent à elles seules un nouveau record – tout comme tout le reste augmente massivement en raison de l’inflation et de la politique, et de moins en moins de contribuables nets doivent contribuer à nourrir de plus en plus de bénéficiaires. Et maintenant, 500 millions de dollars par mois doivent être engloutis dans un marais de corruption étranger, tandis que pour la propre population, il faut baisser le chauffage et sortir la couverture ou se geler, serrer les dents, renoncer et se tenir la langue…

MON PRETRE PREFERE : ABBE BOUBEE – SDAINT NICOLAS DU CHARDONNET

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Un commentaire

  • —Merci à Pro Fide Catholica de poster et faire partager ces articles sur la réalité néo-nazie en Ukraine.—Si ce n’est déjà fait.

    ARTICLES DE PRESSE :

    INTERNATIONAL
    10.02.2023

    1–« QUAND TRIBUNE JUIVE NOUS FAIT VOYAGER DANS L’UKRAINE NÉO-NAZIE »

    « Un an après le début de l’invasion de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky vient de boucler à Bruxelles une tournée triomphale en Europe, après les étapes de Londres et Paris. Charles Michel, président du Conseil européen, le gratifia d’un tweet sans équivoque : « Bienvenue chez vous, bienvenue dans l’UE ! » Ému, Zelensky écouta l’hymne ukrainien la main sur le cœur (comme un Américain) aux côté de la présidente du Parlement Roberta Metsola saluant « une journée historique pour l’Europe ». Son style, aussi étudié qu’inchangé, rompt avec les usages diplomatiques : pull ou t-shirt vert, treillis militaire et grosses rangers : de quoi impressionner la flopée d’hommes en costumes sombres étriqués. Zelensky fait rimer Rambo et héros, comme s’il représentait la sentinelle de l’Occident. « Nous nous défendons, nous vous défendons », s’écria-t-il sous des applaudissements nourris. Mais s’il remercia « personnellement » les chefs d’État et de gouvernement de l’UE de leur « soutien sans faille », il les mit aussi sous pression : « Nous avons besoin d’artillerie, de munitions, de chars modernes, de missiles à longue portée, d’avions de chasse modernes », lança-t-il.
    Sur ce terrain, Emmanuel Macron se montre prudent. Dans la nuit, le président français estimait que les avions de chasse réclamés par l’Ukraine ne pourraient « en aucun cas » être livrés « dans les semaines qui viennent », estimant que « ça ne correspond pas aujourd’hui aux besoins ». Il s’agissait pourtant du message-clé martelé par Zelensky au cours du sommet de Bruxelles et tout au long de sa tournée européenne. Pour Macron, il vaut mieux « intensifier » les livraisons des « éléments d’artillerie permettant de lancer des offensives terrestres ou de résister ».
    L’Union européenne et ses États membres évaluent à « au moins » 67 milliards d’euros leur soutien militaire, financier et humanitaire à Kiev depuis le début du conflit le 24 février 2022. Ce « soutien sans faille » est propre au temps de la guerre, de l’union sacrée à laquelle communient les media occidentaux. Dans ce climat, il est malséant de s’interroger sur le régime ukrainien, en particulier sur son rapport au nazisme. Ne regardons pas la dégaine paramilitaire de Zelensky, anecdotique. Voyons plutôt la mémoire que l’Ukraine forge dans des monuments depuis la révolution de Maïdan en février 2014.
    C’est Tribune Juive qui s’intéresse à ce sujet et on comprend pourquoi : un quart des Juifs assassinés pendant la Seconde Guerre mondiale venaient d’Ukraine. L’article provient du site juif américain The Forward, auteur d’une série « consacrée à travers le monde aux monuments à la mémoire de collaborateurs nazis ». Et en Ukraine, « on peut dire qu’ils ont été servis », note Tribune Juive. La recension fait 62 pages (!). Il s’agit d’un « voyage dans l’Ukraine néo-nazie » de ville en ville, de monument en monument, photos à l’appui : statues, bustes, plaques, noms de rue, bannières, bas-reliefs, complexes commémoratifs, musées, mémoriaux, tout y passe et la liste est longue.
    Ce qui frappe, ce sont les dates. Notez-les bien car tout cela est très récent : « Depuis (…) 2014, de nombreux monuments ont été érigés (…), parfois jusqu’à un nouveau chaque semaine », indique Tribune Juive. L’article de The Forward remonte au 27 janvier 2021, soit plus d’un an avant l’invasion russe, à un moment où le conflit dans le Donbass était fort peu couvert par les media. Et c’est « au cours des six dernières années, poursuit The Forward, [que] le pays a institutionnalisé le culte de l’Organisation paramilitaire des nationalistes ukrainiens (OUN) et de l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA) ». Cette fureur mémorielle subjugue par son étendue et son intensité.

    En 2016, un grand boulevard de Kiev a été rebaptisé du nom de Stepan Bandera (1909-1959), « figure majeure vénérée dans l’Ukraine d’aujourd’hui ». « Un changement obscène, relève The Forward, puisque la rue mène à Babi Yar, le ravin où les nazis, aidés de leurs collaborateurs ukrainiens, ont exterminé 33 771 juifs en deux jours ».
    Cette réalité interroge la conscience européenne à l’heure où Volodymyr Zelensky se voit « accueilli en héros », selon l’AFP, par les institutions de l’UE. . Le « soutien sans faille » à Zelensky pose juste une question existentielle à l’Europe de Bruxelles, laquelle s’est construite sur le rejet du racisme et de l’antisémitisme et le dépassement du nationalisme.

    https://www.laselectiondujour.com/index.php?143477&lsdj=339223

    2–« Lev Golinkin. Monuments aux collaborateurs nazis en Ukraine. » –27 Janvier 2021
    –30 janvier 2023 Tribune Juive histoire 9

    « Forward est un site d’obédience juive. Dans le cadre d’une série consacrée à travers le monde aux monuments à la mémoire de collaborateurs nazis, ils se sont arrêtés en Ukraine. On peut dire qu’ils ont été servis. Cet article est paru au mois de janvier 2021, soit plus d’un an avant l’Opération Militaire Spéciale russe. Un voyage dans l’Ukraine néo-nazie… Mieux vaut prévenir de suite : ça donne le tournis. (XP)
    Au cours des années écoulées depuis que le soulèvement de Maïdan a amené un nouveau gouvernement en Ukraine en 2014, de nombreux monuments aux collaborateurs nazis et aux auteurs de l’Holocauste ont été érigés, parfois jusqu’à un nouveau chaque semaine.

    À gauche : monument de Stepan Bandera, cérémonie d’ouverture, L’viv, 13 octobre 2007 (Wikimedia Commons). Droite : Monument Bandera, Ivano-Frankivsk (Wikimedia Commons). Image réalisée par Forward collage

    1,5 million de Juifs, soit un quart de tous les Juifs assassinés pendant l’Holocauste, venaient d’Ukraine. Au cours des six dernières années, le pays a institutionnalisé le culte de l’Organisation paramilitaire des nationalistes ukrainiens (OUN), qui a collaboré avec les nazis et aidé au massacre des Juifs, et de l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), qui a massacré des milliers de Juifs et 70 000 à 100 000 Polonais. Stepan Bandera (1909-1959), le collaborateur nazi qui a dirigé une faction de l’OUN (appelée OUN-B) est une figure majeure vénérée dans l’Ukraine d’aujourd’hui ; ci-dessus, ses statues à L’viv (à gauche) et Ivano-Frankivsk (à droite). Merci à Per Anders Rudling, Tarik Cyril Amar et Jared McBride pour leurs conseils sur les collaborateurs ukrainiens. »

    https://www.tribunejuive.info/2023/01/30/lev-golinkin-monuments-aux-collaborateurs-nazis-en-ukraine-27-janvier-2021/

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