SOLOMIDES ET SON REMEDE CONTRE LE CANCER

Si l’Affaire Priore et sans conteste le plus scandale du siècle, c’est surtout parce que les preuves incontestables de l’efficacité de sa “machine anticancers” furent à la fois nombreuses et vaillamment soutenues par des scientifiques de haut niveau, sans pourtant réussir à vaincre les grands féodaux de la médecine qui entendent bien maintenir leur domination sur les malades réduits en sevrage.
On peut dire que le cas Priore, d’une certaine manière, a eu de la chance.
Car il n’a été ni poursuivi, ni emprisonné, ni acculé au désespoir ou à l’exil.
Antoine Priore a bénéficié, de l’aide et de la protection des Bordelais, médecins universitaires et politiques, grâce auxquels il a pu construire sa machine, expérimenter, réaliser l’œuvre de sa vie et guérir de nombreux malades.
Si les déceptions successives finirent par le rendre amer, au moins il ne fut pas traîné devant les tribunaux, mis à l’index comme un malfaiteur.
Yangos Solomidès qui a été beaucoup plus combattu qu’Antoine Priore est né le 28 février 1911 dans l’île de Chypre, qui était une colonie Britannique. La réputation de la France en médecine lui fera choisir cette destination pour ses études.
Il n’y a pas de place à Paris ? c’est donc à Montpellier qu’il étudiera en 1929 pour sa première année, puis il y a enfin de la place à la faculté de Paris. Il va même préparer une licence de sciences à la Sorbonne.
Dans le but de devenir médecin mais en fait ce qui l’intéresse c’est de parvenir à être chercheur dans l’optique de trouver de nouveaux moyens pour soigner les malades.
Elève sérieux, assidu. Il obtiendra en 1937 et 1938 les certificats de chimie biologique, de minéralogie et de physiologie générale. Il passe sa thèse de docteur en médecine à l’Université de Paris le 24 novembre 1938. Il entre à l’Institut Pasteur où il étudiera la tuberculose expérimentale.
Durant la guerre, le jeune Chypriote est assigné à Toulouse. Il en profite pour acquérir les certificats à l’Université de Toulouse de chimie physique et de botanique générale.
Ainsi, bardé de diplômes, il a acquis des connaissances pour mieux prétendre à être un médecin-chercheur capable de trouver des thérapies efficaces et “révolutionnaires”. Solomidès devient stagiaire du C.N.R.S., Il travaille en même temps pour les laboratoires Richelet.
Puis, il travaille de nouveau à l’Institut Pasteur pendant quatre ans, il y fera des découvertes, qui seront la cause de sa disgrâce.
En 1947, à l’Institut Pasteur, le Dr Yangos Solomidès découvre les “peroxydases synthétiques“, qu’il nommera plus tard les “physiatrons synthétiques“. Ces substances ont la propriété d’apporter un oxygène supplémentaire qui se fixe sélectivement sur les membranes des cellules cancéreuses et les détruit. Solomidès se fonde sur la thèse du savant allemand Warburg.
En effet Warburg a affirmé que les cellules cancéreuses étaient des microbes anaérobies, (vivant sans oxygènes et non-adaptés à lui).
Fulgurante guérisons
Ce médicament est totalement dépourvu de toxicité.
A la fin, de l’année 1949, Jean Solomidès reçoit une lettre de sa famille l’informant que son père, qui réside à Famagouste, est atteint d’une énorme tumeur qui a doublé le volume de son foie. Son cas est désespéré et Solomidès est atterré. Sur ces entrefaites, illico-presto, il envoie ces molécules qui en sont encore au stade de l’expérimentation (cependant, il est sûr de leur innocuité) à son père.
Et la grâce se produit. En trois semaines son père est guéri et les médecins en charge sont stupéfaits!
Un autre sujet dont le cas est désespéré qui a un cancer de l’estomac sera sauvé, en peu de temps, aussi. Solomidès exulte de joie. C’est l’enthousiasme!
Quelqu’un qui gagne a toujours des problèmes
Tout le monde le sait à l’Institut Pasteur et au-delà. Les félicitations s’imposent et la reconnaissance de ses travaux.
Rien de tout cela ne sera fait, au contraire on prend ombrage de lui.
Autrement dit, Jean Solomidès, qui ne songe qu’à guérir les malades par les moyens les moins coûteux, tant en argent qu’en souffrance, est en train de “gâcher le métier”. Il faut mettre ce dangereux original qui n’a pas encore compris que la médecine et la pharmacie sont devenues des commerces.
Ainsi il est préférable pour ce système de préférer des médicaments toxiques, d’asséner aux malades des radiations mortelles, des traitements chimiques qui peuvent traumatisés ou rendre invalides ou dans bien des cas causant la mort, causant des souffrances intenables que d’administrer des médicaments non coûteux, non toxiques, non douloureux, et qui guérissent.
Le Dr Aublant, secrétaire général de l’Institut Pasteur, informe Solomidés qu’il doit quitter la maison. Jean Solomidès ne doute pas de trouver, très vite, compte tenu de ses excellents diplômes un autre laboratoire, où il pourra pense-t-il poursuivre ses recherches.
Il est naïf et idéaliste car la Mafia Médicale est solide et persévérante quand il s’agit de ses propres gains. D’ailleurs l’Institut Pasteur va partout lui barrer la route. Des coups de téléphone, des courriers est le tour est joué. Non seulement “l’indésirable” ne trouve aucune autre situation, mais toutes ses attaches avec le monde scientifique sont rompues une à une.
André Conord nous précise à propos de son licenciement : “… Le Centre National de La Recherche Scientifique lui signifie son licenciement, en juin 1950, avec un préavis de 6 mois. Solomidès tente bien de connaître le motif, mais ne parvient pas à être reçu. Dans une lettre, le président du C.N.R.S. lui explique qu’il ne peut dire pourquoi la Commission de la médecine a décidé son renvoi.
Trois renvois en six mois: Les Instituts Pasteur, Gustave Roussy, et le C.N.R.S. Combattif et plein d’espoir malgré tout.
Van Deinse, (l’ancien mentor de Solomidès) déclara plus tard à son collègue, le Dr Boisseau:
“Je me demande comment il a fait pour ne pas se suicider.”
Mais Solomidès est un combattif et rien ne peut le décourager.
Persuadé qu’il est, de l’innocuité de son médicament et sûr de son efficacité.
Solomidès comprend peu à peu qu’il a été « black-listés » et qu’il ne trouvera plus rien. Alors, il décide de s’installer dans sa cave, dans sa villa de Sceaux. Là, il aura un laboratoire de fortune où il se débrouillera pour concevoir des médicaments. On envoie, bientôt des malades à Solomidès. Il ne doute pas d’être, enfin reconnu.
Sans savoir qu’il vient d’entrer dans l’illégalité. Il a reçu son diplôme étant Chypriote, en tant que sujet britannique en 1938. Et non de la Faculté mais de l’Université, (les études étant les mêmes, on ne voit pas trop l’affaire). Mais c’est ainsi, et il n’est pas inscrit à l’Ordre des médecins. (Aujourd’hui avec la normalisation européenne, Solomidès n’aurait pas ces problèmes) On va pouvoir le poursuivre pour exercice illégal de la médecine. (Tout est inversée)
L’Ordre des médecins va l’attaquer sans relâche. Il a beau leur expliquer, qu’il sauve des malades, on ne conteste ce fait mais il n’est pas autorisé à faire cela. La loi c’est la loi, en point c’est tout ! Il est traîné devant les tribunaux. Persécuté jusqu’à ses derniers jours, il restera naïf et ne comprenant pas, étant persuadé que l’on finira bien par approuver son médicament merveilleux. En vain. André Conord nous informe : “En 1951 et 1952, deux médicaments inventés par Jean Solomidès obtiennent des visas. Il s’agit du Citral-Uréthane et du Géranyle, deux huiles d’origine végétales complexée avec l’éther-oxyde de polyéthylène-glycol.
Jean Solomidès a offert ses formules à un petit laboratoire, Biostabilex, qui les exploitera discrètement jusqu’en 1972. En fait, les visas ont été obtenues grâce a cette discrétion. On les a demandés pour la bronchite, l’eczéma, les allergies. On a prétexté qu’ils étaient des antalgiques (anti-douleur) dans le cancer. Alors que Solomidès entre dans la série des procès, on apprend et on voit dans Paris-Match une étonnante photo. Le tableau complet des remèdes contre le cancer dévoilait par le professeur Oberling. En bonne place figure le Citral-Uréthane.
-Produits Solomidès:
En Suisse: “Lipoligo” en pharmacie
En Italie: “T.I.P.”- Société Warstor-Cortes, 54 Via Veneto, 36061 Bassano del Grappa
Renseignements à l’association “Choisis la Vie”
BP 5, 69510 Messimy- Tél: 04.78.87.93.83.
Source: Savants maudits chercheurs exclus par Pierre Lance,
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Fabuleux ce savant.
Ils en ont tué tellement, j’espère qu‘ils rôtiront en enfer.
Pour ceux qui sont en vie, nous sommes nombreux , très très nombreux, à vouloir leur faire la peau à tout petit feu, ˋˋ parce qu‘ils le valent bien…´´ …lol !