Liberté 1789 totale pour les assassins et bourreaux d’enfants et Génocide Obligatoire pour les enfants Innocents à Naître. Vidéos.

Et c’est au Nom de Gisèle Halimi, féministe défunte, qu’Emmanuel Macron veut inscrire l’Avortement dans la constitution.

Ce cuistre descend toujours plus bas tous les jours.

Emmanuel Macron dit vouloir inscrire l’IVG dans la Constitution

Lors de l’hommage national à Gisèle Halimi, le chef de l’État a annoncé un projet de loi « dans les prochains mois ».

Derrière l’hommage, le symbole. Emmanuel Macron a annoncé ce mercredi vouloir inscrire «dans les prochains mois» l’IVG dans la Constitution. Une décision confirmée en marge de la cérémonie nationale consacrée à la défunte avocate féministe, Gisèle Halimi, dont l’avortement était l’un des «farouches» combats. «Je veux aujourd’hui (…) graver la liberté des femmes de recourir à l’interruption volontaire de grossesse (dans la loi fondamentale). (…) Pour assurer solennellement que rien ne pourra entraver ou défaire ce qui sera ainsi irréversible», a déclaré le président de la République, depuis la salle d’audience de la première chambre de la Cour d’appel du Palais de justice de Paris.

Devant un parterre d’invités – parmi lesquels l’ancien chef de l’État François Hollande, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti, ou encore le président de la Cour des comptes Pierre Moscovici -, le locataire de l’Élysée a tenu à saluer la mémoire de cette « femme révoltée », dont l’avortement fut l’un des « farouches » combats. Dotée d’« une fièvre indocile et une colère brûlante », Gisèle Halimi plaidait une « cause universelle ».

En 1972, lors du procès de Bobigny, celle qui était « née avocate » avait obtenu la relaxe d’une mineure poursuivie pour « avortement » après avoir été victime d’un viol. « Gisèle Halimi marqua une brisure (…) avec cette défense de rupture, refusant la légitimité de la loi et la logique des juges », a-t-il estimé, sous le regard ému de son seul fils présent, Jean-Yves Halimi, son frère Serge ayant choisi de boycotter la cérémonie pour motif politique.

Une loi voulue par Aurore Bergé

Élue députée apparentée PS en 1981, Gisèle Halimi, figure d’un « féminisme contemporain », avait poursuivi son combat à l’Assemblée, bataillant pour le remboursement de l’IVG, voté un an plus tard. À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Emmanuel Macron a adressé en ce sens un message à toutes celles dont « la liberté (d’avorter) est bafouée »« Parce que le droit des femmes est toujours une conquête fragile », a-t-il rappelé, faisant siens les mots de Gisèle Halimi.

Par son geste, vivement réclamé par son camp, Emmanuel Macron a repris à son compte la philosophie de la proposition de loi initialement portée par la patronne des députés Renaissance, Aurore Bergé. En début de législature, la présidente du groupe majoritaire de l’Assemblée était montée au créneau en réaction à une actualité venue des États-Unis : une décision inédite de la Cour suprême, remettant en question ce droit pourtant jugé fondamental jusqu’alors outre-Atlantique. « Ma conviction de femme, de citoyenne et de parlementaire, c’est qu’avant la fin du mandat, la Constitution aura été modifiée et intégrera le droit à l’IVG », avait alors assuré l’élue des Yvelines, avec le soutien affiché de Matignon. D’où, quelques semaines plus tard, le vote unanime de ses troupes en faveur du texte similaire porté par l’Insoumise Mathilde Panot, permettant sa très large adoption par l’Assemblée .

Fort du feu vert obtenu au Palais Bourbon, le sujet a ensuite atterri au Sénat où, contre toute attente, la majorité de droite s’est prononcée à son tour en faveur de la constitutionnalisation de l’avortement. À un détail près, toutefois : les parlementaires de la Chambre haute ont tenu à ce que seule la « liberté de la femme » de recourir à l’IVG – et non le « droit » – soit gravée dans le marbre de la loi fondamentale. Une formulation que le chef de l’État a dit vouloir reprendre à son compte « dans le cadre du projet de loi portant révision de notre Constitution qui sera préparé » prochainement. Autrement dit, dans le cadre d’une procédure législative, ce qui exclut de fait le recours au référendum.

Ce nouveau chantier constitutionnel ouvert par Macron vient s’ajouter à deux dossiers déjà sur sa table : la modification des statuts de la Nouvelle-Calédonie et de la Corse, et la réforme des institutions. Reste désormais à savoir si chacun de ces sujets fera l’objet d’une convocation spécifique du Parlement réuni en Congrès à Versailles. Ou si le président préférera faire d’une pierre trois coups.

Le Figaro : https://www.lefigaro.fr/politique/emmanuel-macron-annonce-vouloir-inscrire-l-ivg-dans-la-constitution-20230308


C’est à ça qu’a servi le fémisme : A FAIRE AVORTER LES FEMMES au nom de “leurs droits” et de leur prétendue “Liberté”.

Ces mêmes femmes promptes à avorter et à faire avorter sont TOUTES très silencieuses face à la Pédo-criminalité qui gangrène la société dans laquelle les juges relaxent quasiment toujours les bourreaux d’enfants .

Où sont les Aurore Bergé, les Sandrine Rousseau, les Marlène Schiappa, les Isabelle Rome, les Elisabeth Borne et l’entière smala féministe lorsque un enfant est torturé et violé ?

Où est le CRI d’EFFROI, où est LA LUMIERE de Madame Rome contre la Pédo-Criminalité ?

Grâce à Dieu, une constitution, comme une loi, s’abroge.

La constitution de 1958 de De Gaulle sera jetée aux Ordures lorsque nous serons au pouvoir et nous dresserons LA LOI DE DIEU en lieu et place dans laquelle LA PEINE DE MORT sera l’Alpha et l’Oméga de la Justice et de Fait les Naissances LA PROTECTION SUPRÊME.


Rumeurs transphobes : la justice annule une procédure intentée par Brigitte Macron

La première dame avait été l’objet de rumeurs qui l’accusaient d’être un homme en décembre 2021. Elle avait par la suite assigné deux femmes en justice.

Par Le Parisien avec AFP 

Le 8 mars 2023 à 20h07

Le tribunal judiciaire de Paris a annulé mercredi une procédure intentée par la Première dame Brigitte Macron, qui avait assigné en février 2022 deux femmes ayant propagé sur Internet de fausses nouvelles prétendant qu’elle était une femme transgenre.

Dans sa décision, consultée par l’AFP, le tribunal a déclaré nulle l’assignation délivrée par Brigitte Macron pour atteinte au respect de la vie privée et au droit à l’image, estimant que les faits qu’elle dénonçait auraient dû être qualifiés de diffamation publique.

Brigitte Macron, son frère, et les trois enfants de la Première dame avaient assigné le 15 février 2022 deux femmes, l’une se présentant comme une « médium », l’autre comme une « journaliste indépendante ». Ils demandaient au tribunal de condamner ces deux femmes à leur verser des dommages et intérêts pour avoir diffusé sur la chaîne YouTube de la « médium », le 10 décembre 2021, « une thèse parfaitement farfelue » selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n’aurait jamais existé, mais que son frère aurait pris cette identité après avoir changé de sexe.

Une autre plainte pour diffamation publique déposée en janvier 2022

Cette fausse information, qui avait d’abord circulé à bas bruit, avait ensuite connu un écho plus important et s’était également déclinée en accusations, plus graves, de pédocriminalité portées contre la Première dame. Les demandeurs s’estimaient victimes d’atteinte au droit au respect de la vie privée, l’entretien de quatre heures diffusé sur Internet évoquant des interventions chirurgicales qu’aurait subies Brigitte Macron, prétendant qu’elle ne serait pas la mère de ses trois enfants, et donnant des informations personnelles sur son frère.

L’assignation dénonçait également des atteintes au droit à l’image, diverses photographies des demandeurs, dont certaines « retouchées, agrandies, colorisées » ayant été diffusées lors de cet entretien. Parallèlement à cette procédure au civil, Brigitte Macron a intenté une action distincte, au pénal, avec une plainte avec constitution de partie civile pour diffamation publique, déposée le 31 janvier 2022. Cette procédure est toujours en cours.

Le Parisien : https://www.leparisien.fr/politique/rumeurs-transphobes-la-justice-annule-une-procedure-intentee-par-brigitte-macron-08-03-2023-NEWS62T5Z5E4VFSHUIST4ITNPM.php


Nous attendons de pied ferme que Brigitte Macron requalifie son “atteinte au respect de la vie privée et au droit à l’image” en DIFFAMATION PUBLIQUE, Maître Maud Marian pourra ainsi parler pleinement DU FOND et non plus du contour une deuxième fois.

Au saint nom des “Droits de la femme”, Brigitte Macron mérite que la LIBERTE lui soit rendue.

Grand Merci à Emmanuel Macron qui est le premier président de la république maçonnique et Talmudiste qui montre sans ambages au Monde Entier ce que fut et Est la révolution bourgeoise de 1789 qui a permis l’implant des républiques ANTI CATHOLIQUES dont la 5ème sera la dernière, l’Ultime.


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