Pauling, le « pape » de la vitamine C contre le cancer. Une cigarette consomme 25 mg de vitamine C.

La découverte de la vitamine C, qui en plus de m’avoir guéri de Lyme, et à mis fin à 25ans de souffrances d’un client atteints de migraines, a été un tournant majeur de ma vie. J’ajoute que j’ai découvert cette vitamine C, à Lourdes. La vitamine C qui m’a guéri et que je propose est celle du Dr Crussol, élève du Pr Linus Pauling. Sa qualité est inconstestable.

Linus Pauling tomba en disgrâce bien qu’étant un illustre scientifique, titulaire de deux Prix Nobel dès qu’il prétendit démontrer que, si elle était judicieusement employée, la vitamine C était capable de tenir en échec toutes les maladies dégénératives, y compris le cancer.

Il naquit le 29 février 1901, à Portland dans l’Oregon.

Il y vivait avec son père, qui était- ô ironie !- représentant en produits pharmaceutiques.

Mais son père décéda alors que Linus n’était âgé que de neuf ans.

Aussi le jeune garçon dut-il très tôt prendre sa destinée en mains, ce qui eut l’avantage de lui conférer une maturité précoce.

Ses bagages :

Il fit ses études primaires et secondaires à Portland, puis il entra en 1917 au collège d’Etat de l’Oregon.

C’est à Corvalis, toujours dans l’Oregon, au Stade Agricultural College, qu’il étudia la chimie de 1919 à 1922, année, où il obtint son doctorat ès sciences en chimie industrielle.

C’est alors qu’il partit s’inscrire au California Institute of Technology (C.I.T.) de Pasadena, où il décrocha en 1925 un doctorat en chimie.

Marié et père d’un petit garçon, Pauling passera les deux années suivantes dans des laboratoires européens, à Munich, Copenhague, Zurich et Londres, ce qui lui permettra de rencontrer de nombreux scientifiques éminents, dont notamment les physiciens Niels Bohr et Erwin Schrödinger.

Il revient aux Etats-Unis en 1927 et réintègre le C.I.T comme professeur de chimie théorique.

Par la suite et durant vingt-deux années, de 1936 à 1958, il y sera titulaire de la division chimie et ingénieur en chimie, tout en occupant parallèlement le poste de directeur du laboratoire de Gates & Crellin.

Il restera attaché à l’Institut jusqu’en 1963.

Linus Pauling et son épouse Eva Helen Miller eurent quatre enfants : trois garçons et une fille.

Prix Nobel de chimie

Linus Pauling obtint son premier prix Nobel en 1954, pour ses travaux sur les liaisons chimiques, l’électronégativité et la structure moléculaire.

Mais sa curiosité était sans limites et il se passionna pour une foule de disciplines, telle que, entre autres, l’anesthésie, la biologie, la cristallographie, l’immunologie, la médecine, la mécanique, la minéralogie et, naturellement, l’évolution des espèces.

C’est sa théorie sur la loi de résonance qui le rendit célèbre dans le monde entier.

Fondateur de la biologie moléculaire, il fut le premier grâce, à ses travaux sur le sang, à identifier (en 1949) une anomalie de la structure moléculaire de l’hémoglobine responsable d’une maladie héréditaire, la drépanocytose (ou anémie falciforme).

On doit à Linus Pauling plusieurs découvertes.

La plus importante porta sur les liaisons chimiques.

Il fit de 350 observations qui firent progresser considérablement la science : la structure des cristaux par rayon X, l’électronégativité, le ferromagnétisme, la structure des protéines, etc.

Dans les années 1940, Pauling va appliquer son savoir à la compréhension des systèmes biologiques et son travail sera couronné en 1954 par le prix Nobel de chimie.

C’est en étudiant les protéines et les aminoacides qui les composent qu’il va élaborer les deux modèles de structures secondaire pour des chaînes polypeptidiques.

Vitamine C :

C’est au cours des années 1970 qu’il va entreprendre son ultime combat pour la santé des hommes, un combat qui semble au départ tout à fait anodin, puisqu’il s’agit seulement de promouvoir l’utilisation des vitamines, et plus particulièrement la vitamine C.

Et c’est pourtant ce combat qui va lui valoir les plus grandes adversités, plus féroces encore que celles qui s’étaient manifestées au cours de son action pour l’arrêt des essais nucléaires.

Aussi est-on obligé d’en conclure que Pauling s’est attaqué à des intérêts colossaux car la force même de l’opposition qu’il va rencontrer prouve qu’il a touché juste et que ses travaux risquent d’ébranler la toute-puissance de l’industrie médicalo-pharmaceutique qui a confisqué la santé humaine sur toute la surface du globe.

Pauling n’a jamais prétendu être le premier à s’être intéressé à la vitamine C.

Parmi les pionniers dans le domaine de la recherche, il faut citer Albert Szent-Györgyi, prix Nobel en 1937 pour ses travaux sur la vitamine C, qui est une combinaison de carbone, d’hydrogène et d’oxygène.

Quelques chiffres :

Le scorbut peut d’ailleurs être considéré comme la première maladie dégénérative par avitaminose.

(On sait depuis longtemps que les agrumes-citrons, oranges, pamplemousses, mandarines- sont relativement riches en Vitamines C.

Une orange de 100g (peau enlevée) contient 55 mg d’acide ascorbique.

Mais la petite cerise mexicaine acérola en contient 1745mg pour 100g de fruit, ce qui en fait la source championne de vitamine C naturelle.

La goyave 275mg pour 100g, le persil 170mg, cassis 160mget baie d’églantier 1250mg pour 100g.

Soins de la schizophrénie :

Linus Pauling avait eu connaissance des travaux de deux psychiatres canadiens, Hoffer et Osmond, qui soutenaient que des doses massives de vitamine C étaient bénéfiques aux malades souffrant de schizophrénie.

Pauling expliquera plus tard : « Cela m’a intrigué. J’étais fasciné par l’idée que ces substances, que l’on prend généralement à doses infimes, pouvaient avoir des effets favorables sur la santé lorsqu’on en ingérait des quantités 100 à 1000 fois plus élevées. »

La nutrition était encore pour lui une discipline presque inconnue.

Une étude a été faite avec un groupe de 279 garçons.

Les suppléments de vitamine C ont amené une réduction de 45 % de la fréquence des rhumes et de 60 % du nombre de jours de maladie.

Il sortira notamment Cancer and Vitamin C.

Des guérisons multiples par vitamine C 

Linus Pauling tira profit des conseils d’Irving Stone, lui-même chimiste.

Il faut dire que celui-ci, ainsi que les docteurs Junbeblut, Boissevain, Spilane, Klenner, parvinrent à guérir, avec des doses adéquates de vitamines C, la plupart des maladies bactériennes : hépatites, herpès, diphtérie, dysenterie, poliomyélite, tétanos, tuberculose, typhoïde, etc.

La vitamine C mis à la lumière :

Le rôle de Linus Pauling fut donc déterminant dans l’intérêt porté à la vitamine C de par le monde.

Et malgré toutes les obstructions que tenta le “tyrannosaure” médico-pharmaceutique pour minimiser les effets bénéfiques de l’acide ascorbique, les livres de Linus Pauling, en touchant directement le grand public, assurèrent la popularité de cette vitamine.

Linus Pauling a bien combattu jusqu’à son dernier souffle, mais les adversaires de la vitamine C n’ont pas désarmé pour autant.

La nutritionniste Laure Pouliquen, s’inspirant d’une étude du Dr Pierre Corson, précise :

« Nous savons maintenant que toute maladie et en particulier toute infection se traduit aussi par une augmentation des besoins en vitamine C, de sorte qu’une banale grippe peut facilement entraîner, selon l’état des réserves du sujet, une subcarence ou une carence vraie.

Ces deux facteurs, maladie et stress, peuvent donc être ajoutés à la longue liste des ennemis de la vitamine C.

Concernant les fumeurs, il faut savoir que chaque cigarette consomme 25 mg de vitamine C, soit environ 200 mg par paquet, ces derniers doivent absolument augmenter leur prise de vitamine C. (…)

Lorsque l’eau et l’air que nous consommons sont pollués, notre organisme a besoin de quantités plus importantes de vitamine C afin de lutter contre les toxiques qui empoissonnent notre organisme.”

Les réserves de vitamines C sont vite épuisées en cas de stress, de maladies, infections, ou choc traumatique.

Les travaux de Pauling sur les vitamines sont désormais présentés comme des “erreurs scientifiques” dans les livres destinés à la jeunesse. (Voir Robert Pince, Copain des sciences, ed. Milan, 1999, p.277) (…)

Linus Carl Pauling est mort à l’âge de 93 ans, le 19 août 1994.

Officiellement, d’un cancer et l’on imagine l’argument que le destin fournissait ainsi à ses détracteurs et à tous ceux qui contestaient que la vitamine C puisse permettre la prévention du cancer.

On peut fortement douter que Pauling soit mort du cancer, à 93 ans, où l’on meurt de vieillesse et d’usure plus de cancer…

Source : savants maudits chercheurs exclus de Lance Pierre volume 2

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Renseignements : laurentglauzy1@gmail.com

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