Le maire de Bélâbre préfère le Centre d’asile pour les Montaigne d’Huster au projet d’emplois Gaulois dans le numérique. Vidéos.

Beaucoup de villages Français ont été investis par des Gaulois qui ont déménagé des villes dans lesquelles les Montaigne d’Huster se livrent aux drogues, aux vols, viols et assassinats ce tout avec la bénédiction de la république maçonnique par son institution fétiche : LA JUSTICE, dont les Grâces ne pleuvent que sur les allogènes.

Lorsque l’on fui le tiers monde des villes où sévissent les droits de l’homme républicains, ce n’est pas pour se le reprendre de plein fouet dans le village que l’on a choisit pour ne plus risquer sa vie et vivre enfin avec des gens qui nous ressemble.

Rappelons qu’Huster est lui même un allogène qui n’a pas son mot à dire quant à notre Nation mais qui ouvre sa bouche à chaque fois qu’il est question de Détruire ce qui est Gaulois et Français, comme Tous ses congénères talmudo-mondialistes qui oeuvrent CONTRE tout ce qui a fait la Grandeur de la France et de l’Europe.

Reportage.

Tout commença en Février.

Après la Bretagne et la Corrèze, c’est dans le Berry que Viltaïs, association à la tête d’un réseau d’hébergements pour migrants, prévoit d’ouvrir très prochainement un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). Une nouvelle fois, les riverains ne semblent pas avoir été consultés…

Une population tenue à l’écart

« Nous avons le sentiment d’avoir été trahis par notre maire. » À Bélâbre (Indre), dix jours après le dernier conseil municipal, la colère ne retombe pas. Sans les avertir, le maire a décidé de vendre l’ancienne chemiserie à l’association bourbonnaise pour en faire un centre pour demandeurs d’asile. Adopté lors du dernier conseil municipal (13 voix pour, 2 contre), la vente doit être ratifiée par le maire d’ici le 28 février prochain, pour la modique somme de 40.000 euros. Une fois réhabilitée, cette ancienne friche industrielle pourra accueillir au maximum 38 migrants.

Comme Corlay (Côtes d’Armor), les habitants du village ont été tenus à l’écart. « Jusqu’au vote, nous avons eu aucune information de la part de la mairie » s’insurge une Bélâbraise auprès de BV. « Tout se fait en catimini » dénonce un de ses voisins. Aucune communication ne semble avoir été faite par la municipalité en amont. Seule une publication sur les réseaux sociaux de Viltaïs annonçait des offres d’emploi pour s’occuper du prochain CADA Solïs dans l’Indre. Une annonce passée inaperçue à Bélâbre… Ce n’est donc qu’avec la publication des délibérations du conseil municipal que la population locale a pu prendre connaissance du projet. « Quand nous avons découvert le vote, il y a eu une levée de boucliers dans le village » nous explique une riveraine. Pour beaucoup, l’incompréhension domine. « Bélâbre est une commune rurale, où il n’y absolument aucun boulot… » réagit Jean-Michel Perroux, candidat Reconquête aux élections législatives, qui s’interroge encore sur la volonté de répartir les migrants à la campagne. Contactée à plusieurs reprises, la mairie n’a pas donné suite à nos sollicitations.

www.bvoltaire.fr

Pierre Gentillet et l’élue RN Mylène Wunsch se sont rendus à Bélâbre en soutien à la population qui ne veut pas des Montaigne d’Huster.

Le samedi 11 mars, deux cents manifestants opposés au projet de Cada sur la commune de Belâbre ont fait face à trois cents personnes venues soutenir le maire Laurent Laroche et dire leur volonté d’accueillir des demandeurs d’asile.

Ludivine s’avance. Elle traverse l’espace séparant les deux camps. Fondatrice de l’association l’Union Belâbraise, elle s’oppose farouchement au projet et vient le dire aux pro-Cada : “Ce n’est pas adapté à notre territoire ! Nous n’avons déjà pas d’emplois, pas de transport ! Je crains le choc culturel ! Et tout ce qu’on ne maitrise pas… Regardez à Argenton… Les commerçants demandent la vidéosurveillance suite à l’explosion des violences !“. Faux, lui répond Jean Luc Labbé, élu à Argenton-sur-Creuse, où il y a en effet un centre de demandeurs d’asile. “De quel Argenton parle t-on ? J’y vis et tout va bien ! Au début il y a eu des inquiétudes, mais tout se passe bien!

Ludivine s’inquiète du coût du projet et estime que la vente du site de l’ancienne chemiserie à une association qui souhaiterait y installer un centre d’accueil de demandeurs d’asile s’est faite “en catimini“. Sentiment partagé par Yolande, habitante de Belâbre opposée au projet : “On va le mettre dans un ghetto. C’était un village sympathique, il est en train de se dégrader. Ces gens ne pourront pas s’adapter“.

(…) Mais ces opposants locaux ont mobilisés bien au delà du territoire : parmi les 200 manifestants anti-Cada, la plupart ne sont pas du canton. Des militants du parti Reconquête venus des départements voisins, des élus du RN, des militants d’extrême droite arrivés de Paris spécialement pour cette manifestation forment le gros des rangs. Au delà de cette problématique locale, ils dénoncent la politique d’immigration d’Emmanuel Macron. Une situation qui exaspère les contre-manifestants.

(…) France Bleu

On se demande bien pourquoi les Montaigne d’Huster ne sont pas installés directement dans les succursales Internationnalistes des Rothschild sur Paris et en Province ! Les Rothschild ayant gloussé en Avant Garde :

Etrange Non ?

Les Gaulois réfractaires ont fui à la campagne pour échapper aux Montaigne d’Huster tant aimés par les Rothschild… et Rothschild poursuit les Gaulois en leur envoyant les Montaigne d’Huster dans leurs nouvelles demeures villageoises !

Le Bouffon qui sert de Maire à Belâbre n’a pas voulu installer des Gaulois à la place des Montaigne d’Huster. Il refuse des Gaulois qui auraient oeuvrer dans le numérique en créant en plus des emplois sur Belâbre et préfère que les habitants goûtent aux réjouissances mortelles du tiers Monde qui mènent souvent au cimetière.

21/03/23

À Bélâbre (Indre), le conseil municipal a tranché. Dans ce village de 900 habitants, l’association Viltaïs prévoit d’ouvrir, prochainement, un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) de 38 places dans une ancienne chemiserie. Mais le 14 mars dernier, deux entrepreneurs se sont présentés devant le maire pour lui proposer un projet alternatif de rachat du bâtiment et de création d’emplois dans le numérique. Réunis exceptionnellement ce lundi 20 mars pour discuter des deux projets, les élus municipaux ont, selon le collectif « Non au CADA à Bélâbre », « préféré maintenir le projet de CADA et refuser le projet d’une entreprise qui aurait créé une vingtaine d’emplois ». L’antenne Reconquête de l’Indre, également investie dans la lutte contre ce CADA, a réagi sur Twitter, dénonçant la décision d’élus « idéologues ».

Une réunion est organisée par le maire de Bélâbre, ce vendredi 24 mars, « en présence des responsables de Viltaïs, des services de l’État et d’élus qui apporteront leur expérience de centre de demandeurs d’asile ». Son objectif : convaincre les associations d’opposition au projet, les commerçants et autres forces locales du bien-fondé de l’ouverture du CADA qui est, selon l’édile, « porteur d’avenir ». Des habitants, hostiles à l’accueil de migrants dans leur village, promettent de ne pas se résigner et de poursuivre leur combat.

Boulevard Voltaire

Lorsque un maire d’un petit village de 900 âmes devient “Président du Parc Régional de la Brenne”, en règle générale, les Frères ne sont pas loin, ceci expliquerait cela.

https://www.lanouvellerepublique.fr/le-blanc/indre-laurent-laroche-maire-de-belabre-nouveau-president-du-parc-regional-de-la-brenne

Dans ce genre d’affaire qui concerne les Montaigne d’Huster, le Réchauffement Climatique est souvent Salvateur.

Béni soit le Réchauffement Climatique.


2 Commentaires

  • Voilà encore et toujours des élus au services de leurs administres , En leur faisant des entourloupes par derrière.
    La mairie de Lorient et la porte de celle de Bordeaux n’auraient elles Pas brûlé ?
    Le citoyen se fâche lorsqu’on se moque de lui, cela s’appelle un boomerang.

  • La propagande des globalisées ne cesse d’asséner le message selon lequel , le Franchouillard est raciste, malgré le métissage évident jusque dans les campagnes, et le fric de dingue, que le raciste Franchouillard donne pour l’insertion ( supposée) des chances pour la France, bac plus 6 et Tous des mâles ayant courageusement fuit le pays laissant. Femmes et enfants dans des pays supposément en guerre…
    Les Bien pensants qui votent En catimini pour les accueiuillir au dépend même d’emplois pour leur commune, n’ont jamais vécu dans les cités des grandes métropoles remplies de ces chances pour la France, ils n’ont jamais pris le métro Ou Le train de banlieue tard Le Soir, n’ont jamais eu à faire attention à leur façon de se vêtir afin d’éviter d’attirer l’attention de potentiels agresseur légions. Dans ces banlieues.
    Ces. Bien pensants apportent l’insécurité dans les campagnes. Espérons qu’ils En paierons eux -mêmes Le prix., ce qui arrivera plus que certainement.

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