L’Anablast, ce médicament qui guérissait le cancer.

C’est en 1950 que le biologiste Gaston Naessens (né à Roubaix en 1921 et décédé le 16 février 2018) mis au point un médicament anti-cancéreux avec lequel il obtint des guérisons spectaculaires.
Encore un non-médecin qui, sous prétexte qu’il connaissait la biologie, croyait pouvoir faire mieux que les médecins qui, eux, connaissent la médecine.
Dès la fin des années quarante, Naessens émet l’hypothèse que le cancer est, non pas, comme on le croit généralement, un désordre général qui se localise, mais tout au contraire un désordre local qui se généralise.

C’est déjà, une contestation capitale du dogme en vigueur, au grand dam de tous ceux qui pantouflent dans le système. Donc, à la fin des années quarante, un jeune biologiste français, passionné de recherche, applique son esprit inventif à trouver le moyen d’agir directement sur les cellules cancéreuses. En juin 1945, il est diplômé de l’Union Scientifique.
C’est une structure créée pendant la guerre par des professeurs de Lille réfugiés à Nice.
En 1949, Gaston Naessens parvient à mettre au point un médicament dont l’objectif est d’enrayer l’aspect “fermentation” des tumeurs cancéreuses. Ce produit transformait la lécithine des tissus en lysocithine.
Fabriqué par un laboratoire suisse, ce médicament fut vendu par les pharmaciens, en France et en Suisse, de 1950 à 1960.
Mais Naessens, dont rien n’arrête la créativité, a mis au point un nouveau microscope grâce auquel il établit lui-même des diagnostics de cancer. Après quoi il prescrit son produit, alors appelé le GN-24, lequel se revèle extrêmement efficace sur les sarcomes, des cancers qui se déclarent dans les tissus conjonctifs.
L’épopée judiciaire qui se déroule alors vaut son pesant d’autoclaves ! En effet, menacé des foudres de la justice, Naessens suspend ses traitements aux malades, qui l’attaquent à leur tour.
Entre l’exercice illégal de la médecine et la non-assistance à personne en danger, Naessens est pris entre le marteau et l’enclume.
En juin 1956, perquisition chez Naessens et saisie des ampoules de son remède.
Mais l’Inspecteur de la Santé publique, qui, par chance, est un être humain véritable, lui en laisse une quantité suffisante pour ses patients en cours de traitement.
Le 15 mars 1957, seconde perquisition et, le 28 mars, on pose les scellés sur son matériel et sur la porte de son laboratoire.
Il ne peut plus soigner ses malades.
Tout cela parce qu’une de ses patientes, qu’il avait soignée en 1953, a eu la malencontreuse idée d’aller voir un médecin de l’orthodoxie et de lui parler de Naessens.
Ce dernier racontera à Jean Palazise: “Entre-temps, le médecin qui m’avait dénoncé avait continué à bourrer de morphine la malade qui avait eu le tort de ne pas s’en tenir au verdict fatal qu’il avait émis et d’essayer de guérir hors des règles officielles.
La malheureuse a eu ainsi 4308 ampoules de morphine. (…) Elle a tenu un an et douze jours avant de succomber à cette intoxication massive.
Pourtant ce n’est pas son médecin qui a été poursuivi et que l’on a empêché d’exercer ; c’est moi…”
Gaston Naessens sera condamné une première fois pour “exercice illégal de la médecine”.
Il se lance lui-même dans la mise au point d’un microscope très spécial, avec le concours d’artisans opticiens de Leitz, en Allemagne.
Par la suite, il perfectionnera encore l’appareil grâce à des procédés électro-magnétiques.
Le microscope de Naessens (qu’il nomme somatoscope) offre des grossissements de 30 000 fois avec une résolution de 150 angströms.
Mais surtout, il permet d’observer directement la matière vivante et de suivre l’évolution des micro-organismes, dans le sang par exemple.
Selon Naessens, les somatides seraient la plus petite entité vivante connue, et l’élément organisationnel fondamental des êtres vivants. (C’est à dire l’équivalent de ce qu’Antoine Béchamp avait nommé microzyma.)
Et il constate que ces particules, dont le noyau est chargé positivement et la membrane négativement, sont présentes dans le sang des animaux et des humains.
Il multiplie les expériences et il s’aperçoit, en 1959, qu’en injectant à des chevaux des cultures de somatides de cancéreux, il suscite chez des souris un effet anti-cancéreux en leur injectant une gamma-globuline qu’il extrait du sang des chevaux traités.
Il vient de découvrir l’Anablast, qui va le rendre célèbre dans le monde entier.
Naessens obtient en 1961 un brevet pour l’Anablast et il dépose à l’Académie des sciences de Paris, le 3 juillet 1963, une publication scientifique portant le numéro 14 405.
Gaston Naessens est à l’époque installé en Corse, et l’île voit débarquer quelque dix mille personnes impatientes de recevoir le médicament-miracle.
Affolé, le gouvernement français expédie en Corse 350 gendarmes pour “rétablir l’ordre”.
De là, il va s’expatrier au Canada sur les conseils d’un haut-gradé de la police française.
Il rencontre David Stewart (Un Mac Donald) homme d’affaires et “philanthrope”. Les hommes d’affaires sont souvent des philanthropes remarquez, qui va lui proposer de le financer et de lui payer un laboratoire.
Dans un premier temps il s’installe à l’Hôtel-Dieu de Montréal, puis il s’installe à Rock Forest à son nouveau laboratoire, plus discret “moins voyant” comme voulu par son mécène.
Il aura une allocation mensuelle de la Fondation Macdonald Stewart.
Il va mettre au point son dernier médicament le 714-X en 1977.
Le 714-X est un produit à base de camphre que l’on a chargé d’une molécule d’azote.
Un brevet fédéral canadien sera accordé à Naessens le 13 mars 1980, présenté sous le nom de chlorure de camphorimine. Il a obtenu de bon résultat avec le 714-X. C’est en France que Gaston Naessens sera condamné à 300 000 francs d’amende et à 600 000 francs de dommages et intérêts à l’Ordre des médecins (il s’agit de francs des années cinquante) par un tribunal prétendant rendre des sentences “au nom du peuple français.
Source : Extrait du livre savants maudits chercheurs exclus volume 2

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C’est abject.
La République n’est pas simplement un mode de gouvernement d’une nation ou d’une société, c’est une façon de penser unique et sectaire qui interdit toutes recherches et initiatives individuelles et qui broye les personnalités. Les grandes écoles qui ont été créées par la Révolution sont des centres de formatage pour empêcher l’expression de tout esprit curieux et enthousiasmé par la recherche.
Il importe le plus possible d’éclairer ceux qui peuvent encore écouter pour leur faire ouvrir les yeux sur l’application de la pire des impostures.
Parfaitement exact et bien exprimé.
La question qui suit est alors :
– Pourquoi ce piège – car c’en est un – des “Grandes Écoles” se perpétue-t-il avec autant de facilité au sein de l’élite scolaire, même catholique, “tradis” compris ?
Pour avoir participé au système pendant des décennies, je puis affirmer sans hésitation que la réponse, du moins pour les établissements scientifiques, est :
– Parce que les parents font passer le statut social, l’élitisme social ou encore pour certains la supposée qualité scientifique de la formation que l’on y acquière et qui bien souvent se réduit à une façade, AVANT les Commandements de Notre Seigneur, spécialement celui exprimé dans la Parabole du jeune homme riche qui prétend vouloir le suivre sans perdre pour autant sa fortune.
Aucun doute à avoir, “ils” savent parfaitement utiliser nos mauvais penchants, ce qui, en outre, nous rend COMPLICES. Combien de “tradis” concernés oublient de confesser ce péché majeur et massif ?
“Ce dernier racontera à Jean Palazise”. Il s’agit probablement de jean PALAISEUL qui a écrit “tous les espoirs de guérir” en 2 tomes, parus en 1970.