Les attaques au couteau des Montaigne d’Huster qui tombent toujours à Pic. Vidéos.

Pile au Poil encore une Fois, comme toujours !

Homme au couteau abattu à Ermont : deux agents de la sûreté ferroviaire mis en examen pour «meurtre»

Les deux agents ont abattu un homme qui avait menacé plusieurs passagers près de la gare d’Ermont-Eaubonne avec un couteau.

Ermont, mercredi 30 juin 2021. Des agents SNCF de la Suge ont tiré sur un homme qui aurait menacé avec un couteau des enfants d'un centre de loisirs. LP/Thibault Chaffotte
Ermont, mercredi 30 juin 2021. Des agents SNCF de la Suge ont tiré sur un homme qui aurait menacé avec un couteau des enfants d’un centre de loisirs. LP/Thibault Chaffotte

Par Le Parisien avec AFP 

Le 2 juillet 2021 à 20h18, modifié le 3 juillet 2021 à 07h28

Deux agents de la sûreté ferroviaire qui ont tué un homme menaçant armé d’un couteau mercredi près de la gare d’Ermont-Eaubonne (Val-d’Oise) ont été mis en examen pour « meurtre », a indiqué vendredi le parquet de Pontoise.

Agés de 27 et 33 ans, les deux agents appartenant à la Suge, la brigade de la Sûreté ferroviaire de la SNCF, ont été laissés en liberté sous contrôle judiciaire, a ajouté le parquet, indiquant qu’une juge d’instruction était désormais chargée de piloter l’enquête sur les conditions de cette intervention.

Les deux agents avaient fait usage de leurs armes pour abattre un homme de nationalité haïtienne qui avait menacé avec son couteau des voyageurs dans la gare, avant de s’en prendre à un groupe d’enfants dans une rue à proximité, sans toutefois faire de blessé.

Cinq agents avaient été immédiatement placés en garde en vue après les faits survenus mercredi après-midi dans les locaux de la police judiciaire de Cergy, pour les besoins de l’enquête. Le lendemain, trois d’entre eux étaient ressortis libres. Les deux autres ont été présentés vendredi soir à un juge d’instruction à la demande du parquet, qui estimait que la question de savoir si l’intervention était « légitime » se posait.

Un homme « extrêmement menaçant »

Mercredi vers 15h45, l’individu a d’abord brandi une arme blanche envers des voyageurs qui attendaient leur train sur le quai de la gare d’Ermont-Eaubonne, en région parisienne. Il a été poursuivi par les agents à l’extérieur de la gare, selon une source policière. Il a ensuite croisé un groupe de 11 enfants de primaire et deux accompagnateurs, à proximité d’un centre de loisirs. Le trentenaire s’est montré « extrêmement menaçant » envers le groupe, ce qui a poussé les agents à intervenir, selon la SNCF.

« Il a touché des enfants » mais pas avec son couteau, ne faisant aucun blessé, a indiqué une source proche de l’enquête. « Il a dit tuez-moi ou je vais en tuer un. On est passé à deux, trois secondes de la catastrophe ».

Soutien des syndicats

Âgé de 36 ans, l’homme est décrit par une source policière comme « de type marginal », connu défavorablement des services avec une quinzaine de mentions, notamment pour violences ». Dernière adresse connue: l’hôtel social. Une autopsie a été menée vendredi, mais les résultats n’avaient pas été rendus en début de soirée, selon une source proche du dossier.

Dans des communiqués distincts, les syndicats FO et UNSA Ferroviaire ont apporté le lendemain des faits leur « soutien plein et entier » aux agents impliqués, saluant leur « professionnalisme ».

La fédération CGT des cheminots a déclaré vendredi que les agents avaient agi « dans le cadre de leurs prérogatives et des dispositions prévues par la loi » et qu’ils font souvent face à des situations « difficiles ».

Le Parisien : https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/homme-au-couteau-abattu-a-ermont-deux-agents-de-la-surete-ferroviaire-presentes-a-un-juge-02-07-2021-FVQ2PBKAENBDZEQEWSU5J5CAI4.php?s=009


Voilà ce que “The Economist” publiait il y a une semaine :

Histoire constitutionnelle de la république née du Génocide Vendéen.

Histoire constitutionnelle de la France, de la Révolution à la Ve République :

https://www.vie-publique.fr/fiches/268934-histoire-constitutionnelle-de-la-france-depuis-la-revolution-intro

la France a connu 14 constitutions. La plupart ont été le fruit de bouleversements non pacifiques. Pourtant cette histoire en apparence instable fait ressortir une continuité dans la gestion administrative. En effet, les régimes qui se sont succédés se nourrissent des précédents. Les grandes administrations et des institutions comme le Conseil d’Etat, créé en 1799, ont perduré malgré des alternances entre monarchie et République. 

Depuis la Révolution de 1789, la France a multiplié les expériences constitutionnelles, par un enchaînement dans lequel les régimes nouveaux se nourrissent des précédents, sans vraiment faire table rase du passé En même temps, contrairement au Royaume-Uni ou aux États-Unis, elle a souvent préféré changer de régime – notamment à l’occasion d’une révolution, d’une guerre ou par coup d’État – plutôt que d’adapter le régime en place.

Ainsi, depuis 1789, la France a-t-elle connu 14 constitutions (trois sous la Révolution, trois sous le Consulat et l’Empire, deux chartes plus la Constitution de 1815 dite des “Cent-jours”, puis les constitutions de 1848, 1852, 1875, 1946 et 1958), auxquelles il faut ajouter d’une part les constitutions non appliquées (celle de 1793), d’autre part les simples modifications d’une Constitution initiale (1802 et 1804)… Sans omettre des périodes sans constitution, comme le gouvernement révolutionnaire de 1793-1794, ou les gouvernements provisoires (1848, 1870). Certains régimes, enfin, ont connu des évolutions non écrites (le Second Empire, “libéral” à partir de 1860, la “Constitution Grévy”, transformant la IIIe République à partir de 1879).

Au-delà des incertitudes “comptables”, il y a lieu de retracer l’histoire constitutionnelle des régimes qui se sont succédé depuis la Révolution française, jusqu’à l’actuelle Ve République, car la tradition républicaine française pousse ses racines bien avant 1958.

« Vous avez beau ne pas vous occuper de politique, la politique s’occupe de vous tout de même. »

Comte de MONTALEMBERT (1810-1870), Discours, entretiens et autres sources.

Ce qui est nait dans le Sang d’Innocents ne peut se maintenir qu’en faisant couler toujours plus du Sang d’Innocents.

Tous les régimes sous les républiques usurpatrices ont été LES ENNEMIS DECLARES DE LA FRANCE ET DU PEUPLE FRANCAIS spoliés par LES LOGES FRANC-MACONNES détentrices du Pouvoir.

Il y a toujours eu, en France Occupée depuis 1789, DES CLANS qui se remplissent les Poches.

« Les Bonaparte, c’est tout de même un clan qui se remplit les poches, se distribue les couronnes, et qui, en 1851, s’attable pour le deuxième service. »

François MAURIAC (1885-1970), Bloc-notes, IV (1965-1967) dans le journal L’Express.

“La République a été alors imposée à la Nation par des scélérats. Jamais le vrai peuple n’en avait voulu librement.”

Otto Von Bismarck.


2 Commentaires

  • en tt cas born stein & cie se sont empressés de venir masquer les scènes de crimes, on ne voit plus rien à part eux au premier chef. Ils n’avaient rien d’autre à faire de plus impérieux.

  • Photo ou les flics sont sur la victime …l‘agresseur en arrière plan : sa jambe est artistiquement floutée pour cacher son tatouage …..

Laisser un commentaire