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Selon les experts, le nombre de décès dus au cancer du côlon chez les jeunes devrait doubler d’ici à 2030. Cet article est tiré d’une parution dans le Daily Mail du 6 juin 2023 sous le titre, « Mystery epidemic of Colon Cancer In Young People Laide Bare »

INFORMATION B17 : laurentglauzy1@gmail.com

Ce cancer, particulièrement difficile à traiter en raison d’un diagnostic tardif et de la généralisation des symptômes, devrait également devenir la première cause de décès par cancer chez les moins de 50 ans d’ici la fin de la décennie.

Les médecins tentent encore de déterminer les causes de cette augmentation sans précédent, mais ils avancent des théories telles que l’alimentation moderne, l’utilisation d’antibiotiques et les champignons. [Ndlr : Et, bien entendu, ils n’évoquent jamais la « vaxxination » qui tue. Et pour cause. Certains ont pu s’acheter de belles voitures !]

Le Dr Christopher Lieu, codirecteur du service d’oncologie médicale gastro-intestinale à l’université de médecine du Colorado, a déclaré : « Le cancer colorectal sera la première cause de décès liés au cancer chez les [patients] de 20 à 49 ans. »

S’exprimant lors d’une conférence sur le cancer à Chicago, il a ajouté : « Il s’agit d’un problème énorme ».

Les cancers du côlon et du rectum sont actuellement le troisième type de cancer le plus fréquent aux États-Unis et la troisième cause de décès chez les hommes et les femmes.

Le Dr Lieu a déclaré que chez les jeunes, les diagnostics et les taux de mortalité augmentent, alors que les taux dans les populations plus âgées sont en baisse.

L’American Cancer Society estime qu’environ 153 000 cas de cancer colorectal seront détectés cette année, dont 19 500 chez les moins de 50 ans. Quelque 52 550 personnes devraient mourir de cette maladie.

Dans un rapport publié en mars par l’ACS, les scientifiques ont averti que le taux de cancer du côlon chez les personnes âgées de 50 à 54 ans au niveau national s’élevait désormais à près de 60 pour 100 000. À titre de comparaison, entre 1975 et 1979, le taux était d’environ 40 pour 100 000, soit une augmentation de 50 % en 45 ans.

Environ 43 % des diagnostics ont été posés chez des personnes âgées de 45 à 49 ans. Les États-Unis ne sont pas les seuls à connaître ces taux alarmants. Une étude réalisée en 2023 a révélé que le taux de cancer colorectal à début précoce était de 12,4 pour 100 000 habitants aux États-Unis, de 13,5 en Australie, de 10,5 en Norvège, de 10,1 en Corée et de 9,3 au Royaume-Uni.

« Nous ne savons pas pourquoi cette tendance est observée dans de nombreux pays qui ont des régimes alimentaires, des expositions et des facteurs environnementaux différents », a déclaré le Dr Lieu.

Une enquête menée en 2020 par la Colorectal Cancer Alliance a révélé que de nombreux patients présentant des symptômes de cancer colorectal étaient initialement mal diagnostiqués ou rejetés. Le Dr Lieu a déclaré que, d’après les données du JAMA Surgery, entre 2010 et 2030, le cancer du côlon aura augmenté de 90 % chez les personnes âgées de 20 à 34 ans. Le cancer du rectum aura quant à lui augmenté de 124 % dans la même tranche d’âge.

Les experts ont généralement attribué cette évolution à une alimentation malsaine, à la consommation d’alcool et à un mode de vie sédentaire, bien que certaines recherches suggèrent le contraire. Une étude de 2021, par exemple, a révélé que les patients atteints d’un cancer précoce étaient moins susceptibles d’être obèses ou de fumer que leurs homologues plus âgés. Le Dr Lieu a souligné les effets sur la santé et l’exposition des patients atteints d’un cancer colorectal à un stade précoce, dès la naissance.

Le Dr Christopher Lieu a déclaré que l’augmentation du nombre de cancers du côlon chez les jeunes était un « problème énorme ».

Une étude publiée en avril a examiné l’influence du fait d’être né par césarienne sur le risque de développer un cancer colorectal précoce. Les chercheurs ont constaté que les femmes nées par césarienne étaient plus susceptibles de développer un cancer colorectal à un stade précoce de leur vie que celles nées par voie vaginale. Il n’y avait pas d’association chez les hommes.

En outre, il a été démontré que l’utilisation d’antibiotiques avait un impact sur ce risque. Une étude publiée dans la revue Gut a révélé que l’utilisation prolongée d’antibiotiques augmentait le risque d’apparition précoce du cancer du côlon. Cependant, elle était également associée à un risque plus faible de cancer du rectum.

Des recherches présentées ce week-end lors de la réunion annuelle de l’American Society of Clinical Oncology ont montré que le champignon Cladosporium sp. était plus fréquent dans les tumeurs des jeunes patients que dans celles des personnes plus âgées. On ne sait toujours pas comment Cladosporium sp. peut entraîner cette augmentation du nombre de cas, mais les chercheurs pensent qu’il pourrait endommager l’ADN des cellules. Les chercheurs pensent qu’il pourrait endommager l’ADN des cellules, ce qui les transformerait en cellules cancéreuses.

Ces facteurs environnementaux ont un impact durable sur le microbiome intestinal, ce qui, selon les experts, pourrait augmenter le risque de cancer colorectal, même lorsque l’exposition est limitée au début de la vie. 

« Les gens portent ce risque accru avec eux en vieillissant », a déclaré le Dr Lieu.

Le cancer colorectal est difficile à diagnostiquer en partie à cause de ses symptômes, qui peuvent souvent être attribués à d’autres maladies. Cependant, certains se distinguent plus que d’autres. 

Une étude publiée cette année 2023 dans le Journal of the National Cancer Institute a révélé que les symptômes les plus souvent signalés étaient les douleurs abdominales, la présence de sang dans les selles, la diarrhée et l’anémie ferriprive.

En outre, dans une enquête menée en 2020 par la Colorectal Cancer Alliance, 68 % des participants ont déclaré avoir eu du sang dans les selles. L’âge moyen des participants était de 42 ans.

« Il s’agit d’une constatation préoccupante qui ne doit jamais être prise à la légère, en particulier par les prestataires de soins primaires », a déclaré le Dr Lieu.

La même enquête a également révélé que de nombreux patients présentant des symptômes de cancer colorectal ont d’abord été mal diagnostiqués ou écartés.

Plus de la moitié des personnes interrogées ont déclaré avoir été mal diagnostiquées pour des affections telles que les hémorroïdes, le syndrome du côlon irritable, l’anémie et les problèmes de santé mentale. Les patients âgés de 19 à 39 ans étaient plus susceptibles de se sentir rejetés par leur prestataire de soins.

Dans une étude, les personnes présentant un seul symptôme ont mis en moyenne dix mois pour recevoir un diagnostic de cancer colorectal. Ceux qui présentaient au moins trois symptômes ont été diagnostiqués au bout de cinq mois en moyenne.

« Cinq mois, c’est encore beaucoup trop long pour être diagnostiqué d’une maladie manifestement très mortelle », a déclaré le Dr Lieu.

Le fait de passer plus de temps sans diagnostic pourrait permettre au cancer colorectal d’évoluer vers des stades plus avancés, ce qui le rendrait plus difficile à traiter.

« Certains de nos patients au stade IV attendaient plus d’un an pour être diagnostiqués à partir de l’apparition de leurs symptômes », a déclaré le Dr Lieu. Nous ne devrions pas être surpris de les voir apparaître à des stades plus avancés de la maladie”.

Face aux inquiétudes suscitées par l’augmentation du taux chez les jeunes adultes, le groupe de travail américain sur les services préventifs a abaissé en 2021 l’âge du dépistage de 50 à 45 ans.

Il s’agit généralement d’une coloscopie, au cours de laquelle une caméra est insérée dans le rectum d’une personne, à la recherche d’excroissances ou de modifications de l’intestin.

Toutefois, les patients de moins de 45 ans ont moins de chances de se faire dépister car ils n’entrent pas dans la tranche d’âge recommandée.

Une étude publiée en 2017 dans la revue Clinical Gastroenterology and Hepatology a révélé que les personnes de moins de 50 ans avaient tendance à attendre deux mois de plus que les personnes de plus de 50 ans avant de consulter un médecin après avoir constaté les premiers symptômes.

Dans une étude de 2019, 63 % des patients atteints de cancer colorectal ne savaient même pas que ce type de cancer pouvait survenir chez les personnes de moins de 50 ans.

Dans un appel à l’action, le Dr Lieu a déclaré qu’en informant les médecins et les patients des signes à surveiller et en développant l’évaluation des risques et les tests génétiques, les chercheurs pourraient mieux comprendre les causes de cette augmentation.

« La sensibilisation est essentielle », a-t-il déclaré.

[Ndlr : Il est bien évident que cette médecine qui feint d’ignorer l’impact de la « vaxxination qui tue » et dont certains membres ont même falsifié les études sur le danger du sucre [Cf. https://profidecatholica.com/2023/05/28/comment-lindustrie-du-sucre-a-paye-de-prestigieux-chercheurs-de-harvard-pour-quils-affirment-que-la-graisse-et-non-le-sucre-est-a-lorigine-des-maladies-cardiaques/%5D, ne mentionnerons jamais la vitamine B17, contrairement au très grand oncologue allemand, le Dr Mohammed ben Zayed et au Dr Hachtung qui traite le cancer par intraveineuse de B17 dans sa clinique proche de Strasbourg à Kehl.]

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