Pro Fide Catholica

INFO : laurentglauzy1@gmail.com

A mon humble niveau, vivant en Allemagne, j’utilise la B17 et j’ai consté la disparition de mes troubles urinaires nocturnes.

Le site allemand Krebstherapie.com – Die Informationsplattform für Menschen mit Krebs (La plate-forme de l’information pour les personnes atteintes de cancer) publie l’article ci-dessous, traduit en français. (https://krebstherapie.com/hunza-aprikose)

Si la seconde partie de l’article invite à la prudence et à l’assistance d’un médecin, la première partie est quant à elle une source de réflexion et d’approfondissement. Elle montre que l’occident attestant que l’on vit plus vieux est un mensonge grossier.

Les Hunzas sont très souvent associés au traitement du cancer dans la médecine alternative avec la vitamine B-17. (…) Le médecin britannique, d’origine irlandaise, Robert McCarrison (1878-1960) qui, en tant que médecin officiel britannique, avait reçu la mission d’examiner l’état de santé de la population dans la région frontalière du nord du Cachemire, a été frappé par l’état de santé étonnamment bon des Hunzas, qui leur permettait de vivre jusqu’à 145 ans. Il a remarqué que diverses maladies, comme le cancer, n’apparaissaient pas du tout.

Les Hunzas, un peuple naturel particulièrement pacifique, ont un régime alimentaire presque sans viande, composé de beaucoup de crudités, d’un peu de lait et de produits laitiers. Mais surtout, leur santé, leur vitalité et leur absence de cancer seraient dues à une source alimentaire importante composé de l’abricot Hunza.

Cet abricot sauvage qui pousse vigoureusement dans la vallée de la Hunza, contient dans son noyau amer la vitamine B-17, également utilisée dans le traitement alternatif du cancer. Le mode d’action est apparemment simple. Le cyanure, un poison hautement toxique, reste stable et inactif dans la vitamine B-17 jusqu’à ce qu’il soit libéré par l’enzyme bêta-glucosidase et détruise la cellule dans laquelle il se trouve. Heureusement, dans notre corps, cette enzyme se trouve exclusivement dans les cellules malades atteintes d’un cancer. La vitamine B-17 peut donc tuer le cancer avec précision sans causer d’autres dégâts.

Étant donné que l’alimentation Hunza est riche en abricots et que les Hunza apportent également une santé longue et sans cancer, de nombreux commerçants – surtout en ligne – essaient de commercialiser l’abricot Hunza comme le dernier remède contre le cancer. Les noyaux, l’abricot entier ou le plant d’abricot s’achètent à des prix souvent exorbitants, avec la promesse de venir à bout du cancer. S’il est vrai que les noyaux d’abricots amers contiennent une très grande quantité de vitamine B-17, il n’a pas encore été prouvé que l’abricot Hunza présente une concentration plus élevée que notre abricot sauvage local. Par conséquent, si l’on souhaite prévenir ou même combattre le cancer grâce à la vitamine B-17, il est possible d’acheter des abricots bon marché, disponibles sur le marché ou dans les magasins de produits diététiques, sans avoir à dépenser beaucoup d’argent pour des abricots Hunza du Pakistan. En outre, il convient de noter que l’abricot est un bon donneur de vitamine B-17, mais que les personnes souffrant d’un cancer grave et souhaitant être traitées avec de la vitamine B-17 devraient consulter un médecin ou un naturopathe pour une thérapie par perfusion de vitamine B-17 plus appropriée et plus efficace.

Le site allemand publie donc cet article sur une plateforme pour les malades du cancer. Nous comprenons bien que la seconde partie sert à présenter la première, tout en restant dans le conformisme des normes médicales. Quoi qu’il en soit, ce site mentionne bien en filigrane l’intérêt de la vitamine B-17 contre le cancer en attisant la curiosité d’un lecteur avisé. Par conséquent, il faut retenir de cet article la première partie qui en est le véritablement fondement. Et, nous le constaterons dans les prochains articles, la vitamine B-17 suscite le plus grand intérêt de certains spécialistes dans le combat contre le cancer, à tel point que le laetrile est qualifié de chimiothérapie naturelle. L’information essentielle de cet article est l’affirmation que la vitamine B-17 produit un cyanure qui n’attaque que la cellule malade ou cancéreuse. Nous pouvons en déduire, que la prise de cette vitamine ne peut et quelle que soit les doses, endommager les autres cellules, à savoir les cellules saines. Or, faute de pouvoir interdire cette vitamine, les instances du pouvoir et de la médecine conformiste bloquent les canaux de distribution pour que la B-17 ne soit pas en vente libre (contrairement à l’Allemagne, où cette vitamine est facilement accessible) et double cette restriction par de la désinformation : « attention, la vitamine B-17 contient du cyanure », sans préciser que ce produit toxique n’attaque que les cellules malades. Ce sont les arguments qu’il faut pouvoir lire dans cet article diffusé sur un site allemand s’adressant aux personnes malades du cancer.

Concernant les Hunzas, Michel Dogna écrit dans l’article Des amandes qui détruisent les cancers :

« Il s’est avéré que le Hunzakuts consomment entre 100 à 200 fois plus de B-17 que l’Américain moyen, en raison principalement du fait qu’ils consomment des amandes de noyaux d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, dans cette région du Pakistan, la richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. La nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B-17. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA du 7 janvier 1922, il indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation. »

Les analyses du Dr McCarrison sont appuyées par un médecin français, le Dr Ralph Bircher qui avait également séjourné chez eux. Dans son livre Les Hunzas, un peuple qui ignore la maladie, Ralph Bircher fait la synthèse des écrits, et de la correspondance qu’il a eu avec divers observateurs qui ont vécu jusqu’à plusieurs années dans la région de Karimabad, considérée comme la capitale de la Vallée des Hunzas. Le Dr Bircher explique leur mode de vie, ils ne mangent que ce qu’ils produisent, et qu’ils jeûnent aussi l’hiver quand leur stock de céréales et autres nourritures sont épuisées, ils ont encore leurs abricots secs, ainsi jusqu’aux nouvelles récoltes. Et c’est suite à son séjour chez les Hunzas qu’il a orienté sa médecine par l’alimentation et proposé à ses patients de manger des flocons et fruits secs qui est devenu le « Bircher-müseli », et les encourageait aussi à faire des jeûnes. Le Dr Bircher voulait début des années 2000 ouvrir une clinique pour soigner les gens et les aider à jeûner, et malheureusement, son projet n’a pas pu voir le jour… faute d’appui et de nombreux ennemis (dirons-nous !)

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EXTRATERRESTRES – LE MENSONGE QUE PREPARE L’ALLIANCE.

TOUT CE QUI VA SE PASSER EST MENTIONNE AVEC GRANDE PRECISION DANS CE LIVRE ECRIT EN 1920 PAR UN PRETRE ALLEMAND, TRADUIT PAR LAURENT GLAUZY.