La France dans les plans de DIEU par Vincent Chabrol. Communiqué de Presse républicain. Vidéos.

Lors du “rendez-vous des catholiques de France” du 13 et 14 mai 2023 sur le thème “Racine et devenir de la France”, Vincent Chabrol a exposé l’histoire de la France et les plans de Dieu pour celle-ci.
« La république a même brisé les familles, la Famille, elle a tué les pères, le Père, l’honneur, le respect, et même le passé et sa transmission. »
Jean Raspail : “Le Camp des Saints”.

MEMENTUM



« La république a même brisé les familles, la Famille, elle a tué les pères, le Père, l’honneur, le respect, et même le passé et sa transmission. »
C’est indiscutable et très triste, mais on oublie toujours que cela a été permis par le Bon Dieu.
L’ordre sociétal que regrettent V. C. et beaucoup d’autres conservateurs est UNE CONSEQUENCE, celle d’une authentique foi largement partagée. NON UNE FIN EN SOI en vue d’une vie terrestre avec finition patine antiquaire.
Si la cause a disparue, les effets cessent plus ou moins lentement et ce n’est que justice immanente.
La liturgie traditionnelle et le chant grégorien ont leurs amateurs parmi les (nombreux) gnostiques d’extrême-droite.
Je ne dis certes pas, loin de là, que V.C. lui-même appartient à cette catégorie, ce n’est pas du tout le cas, je le sais fort bien, mais si “la République” a pu faire ce qu’elle a fait aussi facilement, c’est que les sujet et les rois eux-mêmes (excepté L. XVI) étaient déjà devenus des citoyens en puissance.
L’éminent philosophe que fut Eric Voeglin a fort bien décrit ce qu’est la gnose en le sens le plus général : une tension vers vers le paradis terrestre, la terre, avant la mort, en opposition à la tension vers le vrai Paradis, après la mort et après avoir combattu victorieusement contre ses mauvais penchants ici-bas. Ce phénomène d’inversion date essentiellement de la soi-disant “Renaissance”. Bien-entendu, il a suffi à la Cabale d’exploiter astucieusement nos mauvais penchants d’hommes déchus.
Mais son notre consentement tacite, cela n’aurait pu advenir.
On lira son maître-ouvrage “La Nouvelle science du Politique” dont la première édition est parue à Chicago en 1952. Il y prédit que la modernité mourra de sa belle mort, se développera de manière démesurée usque ad mortem. N’est-ce pas l’auto-destruction à laquelle nous assistons ?
Encore une fois la République nous fait déplorer les effet en mettant sous le boisseau les causes ( dont elle est mère )