Pro Fide Catholica

Texte proposé par Chaux de Toureyre à Pro fide Catholica

Le canal-telegram a signalé il y a quelques semaines un témoignage sous forme de vidéo qui fait parler un ancien militaire en opération à la base de Mac-Murdo en Antarctique, au bord de la Mer de Ross pendant 3 ans de 1997 à 2000. Les références de cette video (en langue anglaise) sont https://t.me/Terre_Plane/572. Le présent texte propose une traduction en français.

Le témoin présentateur cité dans cette vidéo raconte qu’il fut sélectionné pour faire partie d’une équipe de recherche scientifique. Il raconte que le but principal des chercheurs de Mac-Murdo n’était pas l’étude des glaces obtenues par carottage mais d’une autre glace de nature complètement différente : la glace d’oxygène qu’ils appellent, la “glace de ciel” et qui se présente de couleur bleu-azur.

Cette glace du ciel s’obtient à des centaines de kilomètres des côtes antarctiques : c’est la glace du dôme que les Illuminati veulent percer avec les fusées, et dont parle pour les initiés Elon Musk !

LE PETIT PEUPLE, LUI, CROIT QUE L’ON ENVOIE UNIQUEMENT DES FUSEES DANS L’ESPACE. CELA LUI SUFFIT. ET CE SECRET EST CONNU DES SUPER-LOGES RESTEES SECRETE PENDANT PLUS DE 150 ANS (lire les traductions des super-loges de Laurent Glauzy).

L’auteur raconte aussi que les équipes ont cherché à percer ce mur et ont réussi à rentrer jusqu’à 16 kilomètres mais pour cela, ils ont expérimenté d’abord des appareils de forage très sophistiqués dans les glaces du Groënland. Il raconte que tout en perçant le tunnel en Antarctique, CETTE GLACE OXYGENIQUE SE RECOMPOSAIT RAPIDEMENT AVEC RISQUE D’EMPRISONNER LE PERSONNEL QUALIFIE.

Ainsi ces fragments de glace du ciel obtenus constitueraient la structure du dôme ou firmament qui couvre toute notre terre-plane.

Ce seraient donc toutes les théories annonçant l’existence de continents inconnus au-delà de la muraille de l’Antarctique, dite aussi la muraille de glace, qui seraient mises à mal.

Voilà pourquoi, les plus grandes puissances du monde surveillent militairement l’immense pourtour antarctique qui comporte une circonférence d’environ 105.000 km au 60°de latitude sud pour absolument empêcher toutes recherches privées risquant de faire effondrer les illusions interplanétaires, interstellaires et intergalactiques entretenues fallacieusement par la coalition de leurs agences spatiales, NASA (qui en hébreu signifie « tromper ») en tête.

On a vraiment l’impression que la quête vers les explorations spatiales lancées par les états du monde complètement téléguidés par la Franc-Maçonnerie, nécessitant des moyens technologiques faramineux et extrêmement coûteux, se substitue à la doctrine chrétienne du salut des âmes et de l’obtention du paradis. Cette quête semble ostensiblement être la suite du projet du Roi-Géant Nemrod de Babel qui fit construire la fameuse tour du même nom pour toucher le ciel. On trouve, de même, une démarche similaire dans la tentative des ex-Soviétiques de forer le fameux trou de la presqu’île de Kola-Samoyède près de Zapoliarny en Laponie russe entre 1970 et 1986. Les équipes russes, finlandaises et norvégiennes tombèrent sur une croûte incassable au niveau de 12 km, et après des phénomènes plus qu’étranges, par crainte, ils rebouchèrent cette excavation.

On retrouve aujourd’hui ces lieux complètement abandonnés, en ruine, mais aussi le chantier complètement en plan resté intact comme si le personnel y travaillant avait été expulsé de force.

Voici le récit de cette vidéo traduit par Chaux de Toureyre :

TEMOIGNAGE D’UN ANCIEN MILITAIRE AMÉRICAIN ETRANGER À LA FOI JUSQU’ALORS, AU SUJET DE LA MURAILLE DE GLACE ET DE CE QUI LA COMPOSE.

Je n’ai jamais cru réellement en Jésus ou fait quoique ce soit pour une œuvre d’église, mais je pense avoir vu quelque chose.

Je servais dans l’armée de 1997 à 2000, et fus envoyé à la base de Mac-Murdo en Antarctique. J’exerçais la fonction de mécanicien d’hélicoptère en tant que chef d’équipe et il y avait des roulements organisés pour les gars qui voulaient aller là et travailler ici sur les hélicoptères.

Quand ils réclamèrent des volontaires, une poignée d’entre nous répondit mais seulement moi et un autre camarade furent sélectionnés. La procédure d’application comportait plusieurs questionnaires que nous avions à remplir, et nous avions à honorer une série d’entretiens qui se succédaient les uns après les autres. Cela consistait la plupart du temps en une foule de questions qui concernaient nos centres d’intérêts et nos convictions. C’est quand-même curieux qu’ils nous interrogent sur nos croyances !

Je fus dirigé sur l’équipe du centre de recherche de la station de Mac-Murdo en août 1998.

Quand nous n’étions pas occupés à dégivrer l’appareil ni à opérer sur lui, nous avions le temps pour nous rapprocher et observer les scientifiques de la station de recherche.

L’unité militaire attachée à Mac-Murdo était petite et nous n’avions pas nos propres facilités d’indépendance. Nous ne disposions pas de PX ni d’un centre médiatique. Il n’y avait pas de chapelles ni d’aumôniers. Nous n’avions pas notre boîte aux lettres personnelle, nous avions juste à partager les mêmes commodités avec les scientifiques et les chercheurs. Donc, au fil du temps, je suis rentré en amitié avec quelques-uns d’entre eux.

Selon leurs rapports, il y avait deux types de glace différents sur lesquels ils travaillaient et étudiaient. C’est là que cela devient intéressant. D’un type de glace qui est celui que l’on rencontre tous habituellement, ils en ont extrait des échantillons à partir des trous de forage dans le sol, tout comme pour la glace normale. Ceux-là étaient clairs et parfois blancs et auraient fondu dans l’eau liquide s’ils s’étaient réchauffés par son contact.

Toute la zone de l’Antarctique est recouverte de ce type de glace. Mais ce n’était pas ce type de glace qu’ils recherchaient. La seule fois où je les ai vus étudier la glace normale, c’est lorsqu’une équipe du « National-Geographic » est venue nous rendre visite. Le reste du temps qui était plutôt la presque totalité du temps (rire du témoin_ NDT), les scientifiques étaient occupés à étudier quelque chose qu’ils appelaient la « glace du ciel ». Cet échantillon-là était totalement différent. Nous n’avons jamais été autorisés à rentrer dans les zones des laboratoires de la station parce que ceux-ci devaient être super-propres, et ils disaient que cela risquerait de gâcher leur travail en laissant rentrer trop de personnes à l’intérieur des lieux d’expériences. Mais une fois, l’un des chercheurs avec qui j’étais ami, me montra un morceau de « glace du ciel » que vous ne pouviez pas toucher avec vos mains nues, parce qu’il était si froid et qu’il n’était pas clair ou blanc comme de la glace normale. Ce morceau était de couleur bleu-uni. C’est pourquoi ils l’appelaient la glace du ciel parce qu’il était exactement de la même couleur que celui-ci.

Nous devions porter des gants d’extérieurs épais et lourds pour le manipuler. L’échantillon était si froid qu’il vous aurait gelé instantanément votre peau s’il y était rentré en son contact. Je ne me souviens plus de la température qu’il en a annoncée, mais c’était de l’ordre de plusieurs centaines de degrés en dessous de zéro ; bien plus froid que la glace normale qui était à l’extérieur. Il a dû transporter cet échantillon dans une bouteille en métal qui ressemblait à un thermos. Il m’a laissé jouer avec le morceau que je sortis du thermos, pendant un moment. Le morceau me semblait plus léger qu’un morceau de glace de même taille. Et comme il n’était pas très lourd du tout, on avait presque l’impression que vous pouviez le jeter en l’air et le faire flotter juste en arrière vers le bas. Mais je n’ai pas essayé cela. Cependant, il était un peu flexible quand j’ai essayé de le plier. Il ne se brisait pas comme de la glace normale et même un petit morceau que vous pouviez voir à travers, était d’un bleu-uni depuis la surface. Et voici l’épisode vraiment intrigant : ce morceau n’a pas fondu dans l’eau. Quand nous l’eûmes placé dans un lieu intérieur réchauffé dont nous disposions, il commença juste à rétrécir pour devenir de plus en plus petit, mais mon gant n’a jamais été mouillé et il n’y avait pas d’eau sur le sol.

Il disait que c’était la raison pour laquelle ils avaient à étudier les phénomènes qui se trouve juste là-bas en allant tout droit en Antarctique. Vous n’auriez pas pu rapporter de la glace du ciel en Amérique afin de l’étudier, car il était absolument impossible de la conserver suffisamment au froid pendant le voyage. Puis ils ont partagé le verset d’Ezechiel 1_26 ici où il est dit :

« Au-dessus dans le firmament, au-dessus de leurs têtes, il y avait comme un trône ayant l’apparence d’une pierre de saphir, et au-dessus de cette apparence de trône il y avait comme un homme placé dessus ».

La glace du ciel se serait toujours évaporée dans l’air, et il n’en serait rien resté quand vous seriez retourné en Amérique. Il disait que les scientifiques Russes avaient découvert le même problème quand ils essayèrent aussi de rapporter la glace du ciel en Russie. C’est pourquoi ils ont tous ainsi édifié des bases de recherches en Antarctique.

Après avoir manipulé la pièce de glace du ciel pendant peut-être 15 minutes, elle s’était pratiquement estompée en totalité. Il ne restait plus qu’un fragment ténu. Et mes gants étaient secs pendant tout ce temps.

Je n’ai jamais vu quelque chose de semblable auparavant ni depuis. Et c’était quelque chose d’inhabituel parce que j’avais toujours porté un intérêt pour les choses scientifiques. Je pense même que c’était la raison qui avait fait que j’avais été sélectionné pour partir en Antarctique parce qu’une grande partie des entretiens concernaient la science en laquelle je croyais avec tous les sujets annexes. J’ai ainsi vraiment pensé que c’était merveilleux de voir quelque chose dont je n’avais jamais entendu parler auparavant.

Au cours de toute la période que j’ai passée à Mac Murdo, j’entendais les gens parler d’un « mur » comme si c’était un endroit particulier. L’intégralité de la région de l’Antarctique est couverte de glace. Mais il est juste normal que cela soit de la glace normale claire ou blanche. Ainsi j’interrogeai mon ami d’où il pouvait extraire cette glace toute particulière, et il me répondait qu’elle provenait du mur.

Je ne me souviens plus exactement comment il le décrivait, mais apparemment, il y a un énorme mur de glace en Antarctique. Il disait que c’était à des centaines de kilomètres de la côte, à l’intérieur des terres. « Je n’ai jamais pu réussir à le voir moi-même parce que je devais seulement et après m’en aller et rentrer immédiatement à la station de Mac-Murdo », racontait-il. « Je n’ai pas pu obtenir une autorisation de sortir en expédition »

Cet ami disait que c’était la plus grande structure naturelle du monde.

Imaginez qu’il a dit dans les années 1960, que l’armée américaine avait un plan pour percer un tunnel à travers le mur, mais qu’ils ne disposaient pas d’une foreuse capable de supporter des températures extrêmement froides. Ainsi ils avaient ensemble un projet de test au Groënland où ils ont développé des tunnels de glace et ont l’intention de partager et d’inventer de nouvelles foreuses qui pourraient fonctionner à des températures super-froides.

C’était donc à l’époque où ils allaient fonder la NASA et toutes les autres choses qui étaient un peu étranges comme le traité de l’Antarctique, cette fois-ci assez proche autour du sujet qui nous intéresse. Puis il dit, comme s’ils avaient réalisé cet énorme projet au Groënland uniquement pour donc s’entraîner, que c’était pour expérimenter le forage à l’intérieur de la glace du ciel.

Je ne suis pas expert en la matière, mais c’est tout ce qu’il m’a dit ? Alors il poursuivit et m’annonça qu’une fois ayant compris le fonctionnement de la nouvelle aléseuse, ils l’amenèrent au mur de glace ou autrement appelé le mur de l’Antarctique. Il raconta que la machine mordait vigoureusement en formant un tunnel. Je ne me souviens pas exactement s’ils avaient réussi à percer 8 ou 16 kilomètres à l’intérieur du mur, mais ils ne sont jamais parvenus à sortir et parvenir de l’autre côté de cette paroi-barrière ultra-glaciale.

Ils ne savent donc toujours pas, même à ce jour, quelle est l’épaisseur du mur et par conséquent, je ne me souviens pas correctement de cet épisode. Mais mon ami m’a dit qu’au début, le sol du tunnel était composé tout en roche continue très dure, mais après 1600 ou 3200 mètres dans le sol, il y avait de la glace comme si c’était de la glace du ciel en dessous et après un certain point ou quelque chose comme cela (Ah bon !, ils auraient aussi foré en profondeur ????_NDT). Et apparemment le mur se reconstruit lui-même lentement après avoir était excavé. On a constaté en effet qu’après une année, le tunnel s’était rétréci tout seul comme une plaie autocicatrisante et qu’il commençait à se refermer. Ils ont dû alors laisser la foreuse à l’intérieur du mur parce que le tunnel était devenu trop étroit pour la faire sortir. Et après quelques décennies, le tunnel avait complètement disparu comme si la partie du mur était redevenue solide. Il a dit alors que les scientifiques essayent d’utiliser la technologie pour déterminer l’épaisseur du mur. Il a dit quelque chose se rapportant à la mise en place de capteurs de tremblements de terre tout le long du mur et que d’une manière ou d’une autre, vous pourriez mesurer le signal d’un séisme pour observer l’épaisseur du dôme. Mais il m’a en quelque sorte confondu sur ce sujet. Je n’avais pas vraiment pensé à tout cela après mon départ de Mac-Murdo. C’était vraiment bizarre. Je n’ai pas pensé aussi que c’était un gros problème à l’époque, mais il y a quelques semaines, j’ai vu une carte du mur antarctique (la Gleason Map), à savoir la carte était toute plate et avait une apparence toute folle. Elle montrait que le mur s’élevait sur toute la terre.

Donc, depuis, j’ai essayé d’en apprendre plus sur la glace du ciel que j’ai vue et le mur dont j’ai entendu parler. Mais je ne trouve rien du tout sur le sujet. Alors maintenant je me demande, m’interroge et songe vraiment s’il pourrait y avoir un lien ici, et c’est comme cela que j’ai trouvé ce groupe ayant publié cet article russe « Prévision du climat se rapportant à la mer » consacrant un chapitre sur la forme du firmament, des anneaux autour du Soleil et de la Lune, des pseudos soleils et des piliers etc.

Donc, j’espère que peut-être, certaines parties de mon expérience, aideront quelqu’un à comprendre quelque chose.

Alors, bien reconnaissant envers cette personne si elle peut dire la vérité, nous affirmons que c’est une information très intéressante, étant donné ce que nous savons de ce qui nous entoure. Nous avons conscience que la connaissance du firmament ne nous explique pas seulement sur la composition de glace. C’est quelque chose de spécial qui pourrait juste être un phénomène se rapportant aux fondements de la Terre pour vous détourner d’aller rechercher selon un dessein plus lointain, qui est très complexe et contient des connaissances. Ce dessein comporte la prescience de ce que l’humanité va essayer de faire. Ces petites bombes nucléaires qu’ils ont tirées vers le firmament n’étaient rien par rapport à ce qu’est ce même firmament. Ils ne peuvent pas le briser bien qu’ils l’aient tenté. Ils veulent le faire quand-même mais ne le peuvent pas et ce n’est juste qu’une de ces histoires qui confirment beaucoup de ce que j’avais supposées déjà se passer. J’ai toujours affirmé que s’il y avait des hommes là-bas, c’est pour expérimenter probablement le moyen de percer cette muraille de glace, et s’ils le font, comment ne l’ont-ils pas déjà réussi ? Cela répondrait à la question pour vous parce que cette muraille se ferme au fur et à mesure que vous avancez dans l’excavation.

Mais, c’était dans les années 1960. Cela ne dit pas sur ce qu’ils essayent maintenant de garder dans le secret. Je suis sûr que nous avons à faire au plus gros travail des (politiques_NDT) dont la mission est de nous empêcher de nous rendre en Antarctique. Et si vous y allez, vous ne pouvez vous y rendre qu’à certains endroits. Cela coûte des dizaines de milliers de dollars pour un aller-simple. Sinon beaucoup d’entre nous y seraient déjà allé et aurait essayé de se faufiler et d’enquêter. Cette vidéo-ci n’avait que 300 vues. Alors des circonstances merveilleuses ont fait que des personnes voulaient la transmettre. Le comité de censure de notre époque cherche le moyen vous empêchant de découvrir des informations comme celle-ci, et je me souviens d’avoir enregistrée cette vidéo dans la « playlist » consacrée au firmament.

Je n’étais donc tout simplement pas sûr si vous en aviez entendu parler et que vous vouliez la transmettre. Les réponses à certaines questions que la plupart d’entre vous se posaient sur ce qu’il se passe là-bas, si vous êtes comme moi, relèvent de certaines propriétés concernant les fondations du firmament si elles sont même proches de cela. Elles pourraient se prolonger comme cela sur de nombreux kilomètres, qui sait ? Nous découvrirons un jour le firmament lui-même. Il roulera comme un parchemin. Ce fut le deuxième jour de la création que le Seigneur plaça cette étendue pour les signes et les saisons et nous a fait savoir (dans l’évangile_NDT) qu’il reviendra très bientôt. C’est cela que nous devons garder en mémoire. Ces choses que nous ressentons sont juste au coin de la rue à cause de leur déroulement dans le monde et de ce à quoi ils essaient de nous préparer en entretenant la division. Mais ils se préparent aussi pour une guerre et je vais vous en parler dans une autre vidéo sur ce qu’il vous faut prévoir, afin de ne pas tomber dans les désillusions à venir.

A bientôt les gars. Je sais que c’est une vidéo aléatoire et j’essaie juste de diffuser ce sujet partout et d’arrêter de tergiverser. Partagez les informations que j’ai pendant que nous le pouvons encore. Je vous reverrai très bientôt les gars. Demeurez en sécurité et soyez prêts. »

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