Euthanasie : l’envers de la barbarie
Dans les années 1990, je me souviens d’un article paru dans le journal PRESENT exposant que majoritairement les gens en bonne santé sont pour l’euthanasie. Mais, cette tendance s’inverse quand il s’agit de personnes malades. Aux Pays-Bas, peu savent que les personnes âgées portent sur elles une lettre mentionnant qu’elles ne veulent pas être euthanasiées si elles étaient prises d’un malaise dans la rue. L’euthanasie, en plus d’être une hypocrisie des bien-pensants, est devenue une hantise. C’est à peine croyable ! La presse maçonne y va alors de sa propagande criminelle : un grand-père atteint d’un cancer et ayant décidé d’être euthanasié, une semaine avant, a été invité à assister avec son petits-fils, dans la tribune présidentielle à un match du Feyenord Rotterdam. Nous sommes dans une forme d’idolatrie purement démoniaque que nous retrouvons dans le cadre des gens décédés demamandant à ce que leur cercueil (avant l’incinération, car ça va ensemble) fasse le tour du stade Bolaert de Lens. Tel est l’homme sans Dieu. Il est bien vrai, nous le constatons par ces exemples, que “l’homme qui ne prie pas, est un animal sans raison”. Ce sont ces mêmes apôtres de la culture de mort qui se gardent bien de vous parler de la vitamine C et du gluathation. Les miracles de la santé doivent être ignorés du peuple. (Pro Fide Catholica)
En effet, les dérives sont notoires en Belgique comme aux Pays-Bas et proviennent de diverses source.
Les auteurs d’une toute récente étude s’inquiètent de ce que « plusieurs conditions de la loi sur l’euthanasie censées fonctionner comme garde-fous et garanties procédurales, en réalité, échouent souvent à fonctionner de la sorte ».
Les conditions auxquelles l’euthanasie est permise se voulaient strictes à l’origine mais s’avèrent floues et subjectives, permettant une interprétation large par les praticiens.
Notamment le fait de permettre l’euthanasie en cas de souffrance psychique permet nombre d’abus en raison de la difficulté d’appréhender l’ampleur d’une telle souffrance : c’est ainsi que, régulièrement, des professionnels de santé belges demandent que les conditions permettant une telle euthanasie soient affinées, voire qu’une telle possibilité soit supprimée.
En Belgique comme aux Pays-Bas, la tendance est toutefois à la multiplication des euthanasies (officiellement 235 euthanasies pratiquées en 2003 et 2444 en 2020 en Belgique) et à l’anéantissement progressif des garde-fous originaires : en 2014, la possibilité de demander l’euthanasie a également été ouverte aux mineurs « dotés de la capacité de discernement » sans limite d’âge en Belgique, tandis que les Pays-Bas ont permis l’euthanasie des nouveau-nés sous certaines conditions par le Protocole (officieux) de Groningen (2005) et réfléchissent à en ouvrir l’accès aux personnes fatiguées de vivre et aux mineurs de moins de 12 ans.
La mentalité euthanasique progresse comme le montrent trois études révélant que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ».
Aux Pays-Bas, l’association NVVE a créé des « équipes volantes » et une clinique de fin de vie traitant les cas-limite que les médecins refusent de prendre en charge.
https://www.genethique.org/euthanasie-le-contre-exemple-des-lois-belge-et-neerlandaise/
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L’euthanasie est très largement pratiquée discrètement depuis au moins 40 ou 50 ans. Les commanditaires s’en cachent de moins en moins, voire s’en vantent de plus en plus.
Soit la famille, c’est-à-dire les enfants, le demande directement à leur tueur à gages remboursé par la CQ, soit un membre de la famille franc-maçon fait intervenir ses réseaux, implantés dans absolument tous les hôpitaux, EHPAD et cliniques.
En ce dernier cas, un beau matin, de préférence durant un jour férié où les bureaux du Procureur sont fermés, le téléphone sonne pour nous avertir que X est décédé(e) brusquement pendant la nuit. “Il n’a pas souffert, vous savez …”.
C’est parce que tous les cœurs sont corrompus que les atrocités commises par le régime ne rencontre aucune véritable opposition. En fait, tout le monde est d’accord, consent secrètement aux pires mesures du “Gouvernement”.
Il est vrai que “si Dieu n’existe pas, tout est permis” (D).