L’Abbé Julio Meinvielle lutta contre la Synagogue de Satan jusqu’à sa mort.

L’auteur : Abbé Julio Meinvielle

Né le 31 août 1905 à Buenos Aires, Julio Meinvielle fut ordonné prêtre en 1930 et exerça dans cette même ville un ministère très fructueux. Joignant l’étude à l’apostolat, imprégné de la saine doctrine qu’il puisait dans les enseignements du Magistère et de saint Thomas d’Aquin, il fut l’un des plus grands esprits de son époque. Il analysa avec attention les importantes évolutions politiques qui marquèrent la première moitié du XXème siècle, et sut développer ainsi, avec une grande sûreté de jugement, la philosophie et la théologie de l’histoire.

Il prit place parmi les grands auteurs thomistes de son temps, Garrigou-Lagrange, De Koninck, Lachance… pour défendre les vérités catholiques attaquées. Le Père Meinvielle dénonça en particulier les graves erreurs politiques qui, à l’instar du personnalisme de Maritain, devaient triompher plus tard, lors du concile Vatican II. Il prit aussi vigoureusement position contre la « nouvelle théologie » des Congar, Schillebeeckx et autre Rahner. Meinvielle luttera spécialement contre ce dernier jusqu’à sa mort. Pasteur zélé autant que théologien averti, il mourut le 2 août 1973.

4ÈME DE COUVERTURE

   Il n’est pas possible de comprendre le véritable sens de l’histoire, ni la signification réelle des événements que nous vivons, si l’on ignore la place qu’y tient le problème du judaïsme et de l’opposition entre le judaïsme et le christianisme.

   Cette opposition ne trouve pas son explication, et encore moins sa solution, dans le racisme, le sectarisme ou l’antisémitisme. Les violences, persécutions, génocides ou totalitarismes qu’ils engendrent répugnent à l’esprit chrétien et lui sont odieux.

   La Vérité se trouve dans la doctrine catholique et l’enseignement de la sainte Église, qui traite le problème sur le plan théologique.

Librairie Française : http://www.librairiefrancaise.fr/fr/home/2601-le-juif-dans-le-mystere-de-l-histoire-abbe-julio-meinvielle-9782845196575.html

Extrait :

Réclamation des Marchands et Commerçants de Paris contre l’admission des juifs, 1760 :

« L’admission de cette espèce d’hommes dans une société politique ne peut être que très périlleuse ; on peut les comparer aux guêpes qui ne s’introduisent dans les ruches que pour tuer les abeilles, leur ouvrir le ventre et extraire le miel, qu’elles ont dans leurs entrailles.

Ainsi sont les juifs, en qui il est impossible de supposer qu’existent les qualités du citoyen d’une société politique.

Aucun de ceux de cette espèce d’hommes n’a été élevé dans les principes d’une autorité légitime. Ils croient que toute autorité est une usurpation sur leur dos, et ils font des vœux pour arriver à un Empire universel ; ils considèrent tous les biens comme s’ils leur appartenaient, et les sujets de tous les états comme s’ils leur avaient ravi leurs biens.

Les juifs ne peuvent se glorifier d’avoir procuré au monde aucun avantage, dans les différents pays où ils sont tolérés. Les inventions nouvelles, les découvertes utiles, un travail pénible et assidu, les manufactures, les armements, l’agriculture, rien de cela n’entre dans leur système.

Mais ils se servent des découvertes pour en altérer les productions, altérer les métaux, pratiquer tout espèce d’usure, cacher les effets volés, acheter de quelque main, même d’assassins ou d’un domestique, introduire des marchandises prohibées ou défectueuses, offrir aux dissipateurs et aux débiteurs malheureux des ressources qui précipitent leur faillite, les décomptes, les petits échanges, les agiotages, les prêts sur gage, les trocs, l’achat-vente, voilà toute leur industrie.

Permettre à un seul juif une maison de commerce dans une ville, serait permettre le commerce dans toute la nation ; ce serait opposer à chaque commerçant les forces d’une nation entière, qui ne manquerait pas de les employer pour opprimer le commerce de chaque maison, l’une après l’autre, et par conséquent celui de toute la cité. »


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