Pour Bergoglio :”Jésus n’est pas Dieu”. Confession à Scalfari.
Grand ami et confident de Bergoglio, Eugenio Scalfari affirme que Bergo-Imbroglio lui a confié ne pas croire en la divinité du Christ en ces termes :
“Jésus de Nazareth, devenu homme, même s’il était d’une vertu exceptionnelle, n’était pas du tout un Dieu”.
C’est dans le journal Italien “La Repubblica” qu’Eugenio Scalfari commet un article avec pour entête :
“François et l’esprit de l’Amazonie”.
La Repubblica : En PDF : https://t.co/EeTP5CuNZ1?amp=1
Traduction
“François a convoqué un Synode auquel participent plus de deux cents cardinaux et archevêques pour traiter du problème de l’Amazonie.
Ce thème est d’une importance fondamentale pour l’humanité tout entière.
François a lancé depuis des années l’idée du Dieu Unique.
C’est une idée évidemment révolutionnaire qui comporte l’examen d’une problématique sérieuse qui intéresse tout le monde, des peuples riches et culturellement évolués ainsi que des peuples pauvres et désespérés.
L’Amazonie est un cas très grave mais elle représente l’histoire de l’humanité, il y a déjà six ans que François pointe le doigt sur ce thème dramatique.“
Le Pape François n’a jamais parlé du moi comme de l’élément déterminant de l’homme.
Le premier est ce qui se passe dans le Jardin de Gethsémani où Jésus se rend après la Dernière Cène. Les apôtres qui sont à quelques mètres de lui l’entendent prier Dieu avec des paroles qui furent à l’époque rapportées par Simon Pierre : «Seigneur — dit Jésus — si tu peux éloigner de moi cette coupe amère, je te prie de le faire, mais si tu ne peux ou ne veux pas je le boirai jusqu’au bout». Il fut arrêté par les gardes de Pilate qui sortaient de ce jardin.
Quand il m’est arrivé de discuter de ces phrases, le Pape François m’a dit : «Je suis là pour prouver que Jésus de Nazareth, une fois devenu homme, fût-il un homme de vertus exceptionnelles, n’était pas du tout un Dieu».
C’est ce qui nous différencie du genre animal auquel nous appartenons, nous aussi nous avons des instincts, mais nous ne nous limitons pas à eux : nous avons des sentiments.
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Dans sa photo d’illustration sur Twitter, Imbroglio tient à nous montrer où va sa Préférence :
Vers les Plumes LGBTQ.
Qui est donc “le Vrai Dieu” pour Imbroglio ?
Depuis la Croix, les promesses ne s’appliquent plus car l’Alliance a été révoquée, et nul ne progresse dans cette ancienne relation contrairement à ce que déclare fautivement l’Eglise conciliaire , car qui est exclu d’une Alliance ne peut y poursuivre un lien, ou alors cela signifierait, ce qui est absurde, que le judaïsme actuel maintiendrait l’Alliance avec Dieu, ce qui n’a aucun sens puisque l’Ancienne Alliance est devenue caduque, comme le déclare saint Paul dans l’épître aux Hébreux. Mais le drame, car s’en est un, c’est que cette rupture s’est transformée en une nouvelle alliance pour celui qui fut le peuple élu, une alliance avec les forces de l’enfer, faisant de la Synagogue, pour le reste des siècles, une puissance ténébreuse en lutte contre le christianisme.
Ce n’est donc pas pour rien, ni sans de justes motifs, que Pie IX, voulant conférer une image correspondant à ce qui animait l’esprit pervers des complots judaïques contre Rome, recourut dans sa lettre Encyclique Etsi multa luctuosa (1873), à la figure de la “Synagogue de Satan”, pour désigner les ennemis de l’Eglise, incluant sous cette expression, tous ceux qui, de près ou de loin, et en particulier les Juifs, travaillaient sans relâche à ruiner la civilisation chrétienne.
On le comprend donc aisément, lorsque Rome, qui ne cultive pas un antijudaïsme pour d’inexistants motifs, eut perçu distinctement les causes réelles des immenses tragédies révolutionnaires qui bouleversèrent les Etats chrétiens depuis et qui faillirent, au XVIIIe siècle, réduire l’Eglise à une ruine en martyrisant son clergé, brûlant ses monastères, détruisant ses édifices sacrés, elle n’hésita pas à désigner, clairement, les responsables du vertige satanique qui s’était emparé de l’Europe, en l’occurrence les Juifs. Ainsi, La Civiltà Cattolica, fondée en 1850, intervint dès 1858 sur la question juive. Environ dix ans après, en 1869, Gougenot des Mousseaux exposa amplement, dans Le Juif, le Judaïsme et la judaïsation des peuples chrétiens, les mécanismes qui oeuvraient à mettre en miettes la chrétienté, et Pie IX, en 1870, entrevit justement dans le Judaïsme la cause première de la Révolution, suivi en cela par Léon XIII, qui désigna les Juifs comme étant le moteur principal de la corruption contemporaine.
Israël est donc bien devenu, depuis l’arrestation du Christ, la Synagogue qui travaille à abattre l’ordre chrétien afin d’y substituer une loi impie, une assemblée ayant en répulsion et abomination Jésus-Christ et son Eglise, et à qui Notre Seigneur a donné pour nom : « LA SYNAGOGUE DE SATAN. »
On comprend de la sorte mieux pourquoi, dans l’Expositio in Cantica Canticorum, attribuée à Saint Thomas d’Aquin, on trouve cette phrase en forme de prière tant les œuvres de cette Synagogue de Satan sont néfastes :
- « Synagogue ! Reviens et quitte l’erreur de ton intelligence, reviens et quitte ton sens charnel ! Reviens en adhérant à la vérité ! Jerusalem, Jerusalem, revertere ad Dominum Deum tuum !
« Vous êtes du diable, votre père, et ce sont les désirs de votre père que vous voulez accomplir. »
(Saint Jean VIII, 44).