Pour Bergoglio :”Jésus n’est pas Dieu”. Confession à Scalfari.

Grand ami et confident de Bergoglio, Eugenio Scalfari affirme que Bergo-Imbroglio lui a confié ne pas croire en la divinité du Christ en ces termes :

“Jésus de Nazareth, devenu homme, même s’il était d’une vertu exceptionnelle, n’était pas du tout un Dieu”.

 

C’est dans le journal Italien “La Repubblica”  qu’Eugenio Scalfari commet un article avec pour entête :

“François et l’esprit de l’Amazonie”.

La Repubblica : En PDF : https://t.co/EeTP5CuNZ1?amp=1

 

                  Article 1 : https://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2019/10/09/francesco-e-lo-spirito-dellamazzonia01.html

   Article 2 : https://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2019/10/09/francesco-e-lo-spirito-dellamazzonia32.html

 

Traduction

“François a convoqué un Synode auquel participent plus de deux cents cardinaux et archevêques pour traiter du problème de l’Amazonie.

Ce thème est d’une importance fondamentale pour l’humanité tout entière.

François a lancé depuis des années l’idée du Dieu Unique.

C’est une idée évidemment révolutionnaire qui comporte l’examen d’une problématique sérieuse qui intéresse tout le monde, des peuples riches et culturellement évolués ainsi que des peuples pauvres et désespérés.

L’unification réside dans le fait qu’il existe une communauté intérieure : tous doivent vivre et tous devraient le faire, les uns aidant les autres qui, à leur tour, devraient correspondre adéquatement. Riches et pauvres, hommes et femmes : c’est notre monde d’humains et le Pape en tient continuellement compte. «Nous sommes venus pour contempler, pour comprendre, pour servir les peuples». Ainsi, le Pape François a ouvert les travaux du Synode.

L’Amazonie est un cas très grave mais elle représente l’histoire de l’humanité, il y a déjà six ans que François pointe le doigt sur ce thème dramatique.

 

“Nous sommes venus ici pour inventer des programmes de développement social ou de protection des cultures. Ce n’est pas là notre tâche, ou du moins pas le principal» ont été les paroles de François. «Notre travail sera d’abord de prier, puis de réfléchir, de dialoguer, d’écouter avec humilité et de parler avec courage. Nous n’avons pas besoin de montrer notre pouvoir dans les médias. Cela définirait une Église sensationnelle, mais ce n’est pas celle que nous concevons, nous savons que les humains sont tous égaux dans leur diversité extérieure».

Le Pape François n’a jamais parlé du moi comme de l’élément déterminant de l’homme.

Celui qui a eu, comme moi, la chance de le rencontrer et de lui parler avec la plus grande confiance culturelle, sait que le pape François conçoit le Christ comme Jésus de Nazareth, homme, non Dieu incarné. Une fois incarné, Jésus cesse d’être un Dieu et devient un homme jusqu’à sa mort sur la croix. La preuve qui confirme cette réalité et qui crée une Église complètement différente des autres est prouvée par certains épisodes qui méritent d’être rappelés.

Le premier est ce qui se passe dans le Jardin de Gethsémani où Jésus se rend après la Dernière Cène. Les apôtres qui sont à quelques mètres de lui l’entendent prier Dieu avec des paroles qui furent à l’époque rapportées par Simon Pierre : «Seigneur — dit Jésus — si tu peux éloigner de moi cette coupe amère, je te prie de le faire, mais si tu ne peux ou ne veux pas je le boirai jusqu’au bout». Il fut arrêté par les gardes de Pilate qui sortaient de ce jardin.

Un autre épisode, lui aussi bien connu, survient lorsque Jésus est déjà crucifié et qu’il répète encore une fois et est écouté par les apôtres et les femmes qui sont agenouillées au pied de la croix : «Seigneur, tu m’as abandonné».

Quand il m’est arrivé de discuter de ces phrases, le Pape François m’a dit : «Je suis là pour prouver que Jésus de Nazareth, une fois devenu homme, fût-il un homme de vertus exceptionnelles, n’était pas du tout un Dieu».

Je me souviens de ces événements qui m’ont permis de rencontrer plusieurs fois le pape François, de discuter avec lui des thèmes et des problèmes qui concernent l’histoire de l’humanité dans son ensemble, mais surtout celle qui est la plus proche de commencer par les Lumières jusqu’à nos jours. Le Pape François voulait avoir une image méprisée de la culture moderne et il m’a demandé de la lui indiquer et d’en faire l’examen.
Tous ces entretiens ont été reportés à la lettre dans notre journal, et c’est pourquoi aujourd’hui je ressens le besoin de les rappeler, parce que François aborde le thème de l’Amazonie mais en élargit la portée et arrive à la conclusion que les hommes sont essentiellement tous égaux et tous différents.

C’est ce qui nous différencie du genre animal auquel nous appartenons, nous aussi nous avons des instincts, mais nous ne nous limitons pas à eux : nous avons des sentiments.

Ils peuvent être bons ou mauvais, égoïstes ou altruistes ; notre corps et nos organes vitaux développent ces diversités de type moral et créent un organe précieux, bien qu’entièrement incorporel, qui est notre Esprit. C’est la raison pour laquelle j’ai encore une fois rappelé les intérêts de François à la connaissance corporelle et spirituelle de l’homme.
Il aime la culture et veut connaître le plus possible la société moderne pour la raison évidente que l’Église qu’il dirige doit également acquérir la modernité dans sa partie la plus élevée, qui contribue le mieux à une humanité qui rend notre existence digne d’être vécue.”

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Dans sa photo d’illustration sur Twitter, Imbroglio tient à nous montrer où va sa Préférence :

Vers les Plumes LGBTQ.

Screenshot_2019-10-11 Pape François ( Pontifex_fr) Twitter

 

Qui est donc “le Vrai Dieu” pour Imbroglio ?

 

Screenshot_2019-10-11 Après Santo-subito-JP² et Benoît, François défie la colère de Dieu au Mur des Lamentations

Screenshot_2019-10-11 Après Santo-subito-JP² et Benoît, François défie la colère de Dieu au Mur des Lamentations(1)

Screenshot_2019-10-11 Après Santo-subito-JP² et Benoît, François défie la colère de Dieu au Mur des Lamentations(2)

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Screenshot_2019-10-11 Après Santo-subito-JP² et Benoît, François défie la colère de Dieu au Mur des Lamentations(7)

 

 

Depuis la Croix, les promesses ne s’appliquent plus car l’Alliance a été révoquée, et nul ne progresse dans cette ancienne relation contrairement à ce que déclare fautivement l’Eglise conciliaire , car qui est exclu d’une Alliance ne peut y poursuivre un lien, ou alors cela signifierait, ce qui est absurde, que le judaïsme actuel maintiendrait l’Alliance avec Dieu, ce qui n’a aucun sens puisque l’Ancienne Alliance est devenue caduque, comme le déclare saint Paul dans l’épître aux Hébreux. Mais le drame, car s’en est un, c’est que cette rupture s’est transformée en une nouvelle alliance pour celui qui fut le peuple élu, une alliance avec les forces de l’enfer, faisant de la Synagogue, pour le reste des siècles, une puissance ténébreuse en lutte contre le christianisme.

Ce n’est donc pas pour rien, ni sans de justes motifs, que Pie IX, voulant conférer une image correspondant à ce qui animait l’esprit pervers des complots judaïques contre Rome, recourut dans sa lettre Encyclique Etsi multa luctuosa (1873), à la figure de la “Synagogue de Satan”, pour désigner les ennemis de l’Eglise, incluant sous cette expression, tous ceux qui, de près ou de loin, et en particulier les Juifs, travaillaient sans relâche à ruiner la civilisation chrétienne.

On le comprend donc aisément, lorsque Rome, qui ne cultive pas un antijudaïsme pour d’inexistants motifs, eut perçu distinctement les causes réelles des immenses tragédies révolutionnaires qui bouleversèrent les Etats chrétiens depuis et qui faillirent, au XVIIIe siècle, réduire l’Eglise à une ruine en martyrisant son clergé, brûlant ses monastères, détruisant ses édifices sacrés, elle n’hésita pas à désigner, clairement, les responsables du vertige satanique qui s’était emparé de l’Europe, en l’occurrence les Juifs. Ainsi, La Civiltà Cattolica, fondée en 1850, intervint dès 1858 sur la question juive. Environ dix ans après, en 1869, Gougenot des Mousseaux exposa amplement, dans Le Juif, le Judaïsme et la judaïsation des peuples chrétiens, les mécanismes qui oeuvraient à mettre en miettes la chrétienté, et Pie IX, en 1870, entrevit justement dans le Judaïsme la cause première de la Révolution, suivi en cela par Léon XIII, qui désigna les Juifs comme étant le moteur principal de la corruption contemporaine.

Israël est donc bien devenu, depuis l’arrestation du Christ, la Synagogue qui travaille à abattre l’ordre chrétien afin d’y substituer une loi impie, une assemblée ayant en répulsion et abomination Jésus-Christ et son Eglise, et à qui Notre Seigneur a donné pour nom : « LA SYNAGOGUE DE SATAN. »

On comprend de la sorte mieux pourquoi, dans l’Expositio in Cantica Canticorum, attribuée à Saint Thomas d’Aquin, on trouve cette phrase en forme de prière tant les œuvres de cette Synagogue de Satan sont néfastes :

  • « Synagogue ! Reviens et quitte l’erreur de ton intelligence, reviens et quitte ton sens charnel ! Reviens en adhérant à la vérité ! Jerusalem, Jerusalem, revertere ad Dominum Deum tuum !

 

« Vous êtes du diable, votre père, et ce sont les désirs de votre père que vous voulez accomplir. »

(Saint Jean VIII, 44).

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