Discours sur la Tombe.

JEWISH WARS
 
“Thanks to the terrible power of our international banks, we have forced the christians into wars without number. Wars have a special value for jews, since christians massacre each other and make more room for us jews. Wars are the jew’harvest, the jew banks grow fat on christians wars. Over one hundred million christians have been swept off the face of the earth been swept off the face of the eath by wars, and the end is not yet.”
Jewish Wars
Rabbi Reichhorn – 1869-
 
 
 
“Merci au pouvoir de la terrible puissance  de nos banques internationales, nous avons forcé les chrétiens a rentrer dans des guerres sans nombre.
 
Les guerres ont une valeur spéciale pour des juifs, puisque les chrétiens se massacrent et font plus de place à nous les juifs.
Les guerres sont le jew’harvest, les banques juives deviennent grasses sur des guerres de chrétiens. Plus de cent millions de chrétiens ont été balayés de la face de la terre,   balayés de la face de la terre par les guerres, et ce n’est pas fini.”
 
 
Publié dans le journal “La Vieille France” du 21 Octobre 1920 N° 195
 
 
 

http://truedemocracy.net/hj32/28.html

truedemocracy.net
Rabbi Reichhorn’s Protocols “Funeral Oration” The Fatal Discourse of Rabbi Reichhorn [“(In its issue of 21 October, 1920 (No. 195) La Vieille France published an extremely important Russian document in which the following passage occurs:
Un Délice !!!!!!!
 
 

http://whale.to/c/rabbi_q.html

whale.to
Rabbi quotes (extreme) Judaism. See quotes: Israel Holocaust quotes (selected) Hate quotes Jewish/Judaism Zionism Rabbi quote banners (racist, misogynist) [2010] How To Kill Goyim And Influence People: Leading Israeli Rabbis Defend Manual for For Killing Non-Jews
Vieux cimetière juif en plein coeur de Prague.
DXCF8889

Discours sur la tombe du grand rabbin Siméon-Ben-Jéhuda

prononcé par le rabbin Reichhorn en 1869 au cimetière de Prague

“Il n’y a pas de Complot”.

Le voici néanmoins :

Tous les cent ans, nous les Sages d’Israël, avons coutume de nous réunir en sanhédrin afin d’examiner nos progrès vers la domination que nous a promise Jéhovah, et nos conquêtes sur la Chrétienté ennemie. Cette année, réunis, sur la tombe de notre vénéré Siméon-Ben-Jéhuda, nous pouvons constater avec fierté que le siècle écoulé nous a rapproché du but, et que ce but sera bientôt atteint. L’or a toujours été et sera toujours la puissance irrésistible. Manié par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus utile pour ceux qui le possèdent, et l’objet d’envie pour ceux qui ne le possèdent pas. Avec l’or on achète les consciences les plus rebelles, on fixe le taux de toutes les valeurs, le cours de tous les produits, on subvient aux emprunts des états, qu’on tient ensuite à sa merci. Déjà les principales banques, les bourses du monde entier, les créances sur tous les gouvernements sont entre nos mains.L’autre grande puissance est la presse. En répétant sans relâche certaines idées, la presse les fait admettre à la fin comme des vérités. Le théâtre rend les services analogues. Partout le théâtre et la presse obéissent à nos directions. Par l’éloge infatigable du régime démocratique, nous diviserons les Chrétiens en partis politiques, nous détruirons l’unité de leurs nations, nous y sèmerons la discorde ; impuissants ils subiront la loi de notre banque, toujours unie et toujours dévouée à notre cause. Nous pousserons les Chrétiens aux guerres en exploitant leur orgueil et leur stupidité, ils se massacreront et déblaieront la place, où nous pousserons les nôtres.

La possession de la terre a toujours procuré l’influence et le pouvoir. Au nom de la justice sociale et de l’égalité, nous morcellerons les grandes propriétés aux paysans qui les désirent de toute leur force, et qui seront bientôt endettés par l’exploitation. Nos capitaux et nos prêts nous en rendront bientôt maîtres. Nous serons à notre tour les grands propriétaires, et la possession de la terre nous en assurera le pouvoir.

Efforçons-nous de remplacer dans la circulation l’or par le papier monnaie ; nos caisses absorberont l’or et nous réglerons la valeur du papier, ce qui nous rendra maîtres de toutes les existences. Nous comptons parmi nous des orateurs capables de feindre l’enthousiasme et de persuader les foules ; nous les répandrons parmi les peuples pour leur annoncer les changements qui doivent réaliser le bonheur du genre humain. Par l’or et par la flatterie nous gagnerons le prolétariat qui se chargera d’anéantir le capitalisme chrétien. Nous promettrons aux ouvriers des salaires qu’ils n’ont jamais osé rêver, mais nous élèverons tellement le prix des choses nécessaires que nos profits seront encore plus grands.

De cette manière nous préparerons la révolution que les Chrétiens feront eux-mêmes et de laquelle nous cueillerons les fruits. Par nos railleries et par nos attaques, nous rendrons les prêtres ridicules puis odieux, leur religion aussi ridicule, aussi odieuse que le clergé. Nous serons alors maîtres de leurs âmes. Nous avons déjà établi nos hommes dans toutes les positions importantes. Efforçons-nous de fournir aux goyim des avocats et des médecins ; les avocats sont au courant de tous les intérêts ; les médecins, une fois dans la maison, deviennent des confesseurs et des directeurs de conscience.

Mais surtout accaparons l’enseignement. Par là nous répandrons les idées qui nous seront utiles, et nous pétrirons les cerveaux à notre gré.

Si l’un des nôtres tombe malheureusement dans les griffes de la Justice chez les Chrétiens, courons à son aide ; trouvons autant de témoignages qu’il en faut pour le sauver de ses juges, en attendant que nous soyons nous-mêmes les juges.

Les monarques de la Chrétienté, gonflés d’ambition et de vanité, s’entourent de luxe et d’armées nombreuses. Nous leur fournirons tout l’argent que réclame leur folie et nous les tiendrons en laisse. Gardons-nous d’empêcher le mariage de nos hommes avec les filles chrétiennes, car par elles nous pénétrerons dans les cercles les plus fermés. Si nos filles épousent des goyim, elles ne nous seront pas moins utiles, car les enfants d’une mère juive sont à nous. Propageons l’idée des unions libres pour détruire chez les femmes chrétiennes l’attachement aux principes et aux pratiques de leur religion.

Depuis des siècles, les fils d’Israël, méprisés et persécutés, ont travaillé à se frayer une voie vers la puissance. Ils touchent au but. Ils contrôlent la vie économique des Chrétiens maudits ; leur influence est prépondérante sur la politique et sur les moeurs. A l’heure voulue, fixée d’avance, nous déchaînerons la révolution qui, ruinant toutes les classes de la Chrétienté, nous asservira définitivement les Chrétiens. Car ainsi s’accomplira la promesse de Dieu faite à son Peuple.

source: http://europaien.over-blog.com/article-5411980-6.html#anchorComment
PS: Une autre version plus détaillée ici: http://www.propagandes.info/product_info.php/le-discours-du-rabbin-reichhorn-prsent-par-renlouis-berclaz-p-710

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