QUELQUES CONSEILS AUX CELIBATAIRES CATHOLIQUES POUR RESTER SAIN(T) par Laurent Glauzy.

Le souffle du croyant et du catholique est l’esprit saint, qui est nous est essentiel, car en tant que pratiquant de la seule vraie religion, nous faisons l’objet d’attaques.

Donc, pour se prémunir, il faut savoir prier et s’encadrer car il est très difficile de vivre seul.

Prier : souvent nous ne prions pas assez. Le rosaire entier est largement préférable à un seul chapelet. Et à cela nous pouvons ajouter la prière du matin et celle du soir. En fait, il ne s’agit pas uniquement d’un calcul de temps multipliant par 3 le temps du chapelet. C’est à dire que le saint Esprit vous donne la possibilité de réaliser le rosaire. En clair, il peut être bien plus facile et réalisable de faire un rosaire qu’un seul chapelet. Je le répète : nous ne sommes pas dans un calcul terrestre. Padre Pio faisait plusieurs rosaires par jour et avait le temps pour cela. Un ami, Roch Sauquere (Top Secret magazine), me disait être noyé de travail. Je lui ai répondu : “Ne travaille pas le dimanche, et tu verras ton temps mieux organisé.” De plus, la prière intense nous enlève des chemins de la tentation et donc de l’enfer.

L’environnement : Je reste convaincu que l’homme normal n’est pas fait pour vivre seul. Un célibataire peut opérer un retour aux sources; en trouvant un juste milieu dans son pays, celui de son enfance où habitent ses parents. Nous sommes forts chez nous. Ulysse parvint à bander son arc dans son pays, car il était fort chez lui. Et, pour nettement réduire les occasions de chute, il faut renforcer sa foi et s’entourer de religieux. Car la chute ou le péché n’est pas qu’une question de hasard, mais de qualité de l’âme. Donc, il faut fortifier son âme. Et, à ce titre, un célibataire qui travaille peut envisager des repos de fins de semaine dans un couvent ou un monastère.

Ainsi, par une meilleure prière (rosaire + prières matin et soir) qui peut aussi passer par l’écoute de chants religieux (pour occuper le vide avec Notre Seigneur) et une immersion fréquente dans un environnement religieux, détachent notre âme des envies terrestres. Pour les plus désespérés, il ne faut pas oublier que la Grâce surabonde, là où le péché abonde. Nous sommes tous fait pour aller au ciel. Pour se faire, il faut chercher par cette vie à grandir son Amour pour Dieu, plus qu’à tenter de lutter dans une morale rigide contre ses péchés. La morale sans la grâce conduit l’âme dans un chemin étroit et non vers son émancipation vers la vraie lumière du Christ.

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