LE CRIF ET LA NUMEROLOGIE SATANISTE

Le 33e dîner du Conseil représentatif des Institutions juives de France (Crif) aura lieu le 7 mars prochain au Carrousel du Louvre.

Si l’on considère ce rendez-vous au prisme de la numérologie nous constatons que le 7 mars, sera le 66e jour de l’année, dans les fondements d’une pyramide qui compte 666 carreaux. Nous sommes bien en plein numérologie satanique.

Le Chanoine Crampon qui a fait une traduction de  la Bible en français portant son nom explique ainsi, dans les annotations, le nombre 666 : « La meilleure solution de l’énigme ne serait-elle plus de considérer le nombre 666, non plus comme la somme des valeurs numériques des lettres d’un nom propre, mais comme un nombre symbolique exprimant par lui-même, à la manière d’un nom, la nature de l’Antéchrist. Le nombre 7, est un nombre religieux, le nombre de la Création sanctifiée par le sabbat divin. Le nombre 8, d’après une idée commune chez les Pères, est le symbole du grand jour de la béatitude éternelle, octave glorieuse, succédant aux sept jours du Dieu créateur et sanctificateur, pour achever la grande semaine divine ; c’est donc le nombre de la Création restaurée et glorifiée par le Christ. Le nombre 6 restant en-dessous de 7, ne serait-il pas le nombre de la Création sans sabbat, de l’homme sans religion, sans Dieu ? Ainsi, l’ont pensé le Vénérable Bède et le Bienheureux Albert-le-Grand. »

Nuremberg fut aussi un tribunal monté sur une logique satanique et numérologique :

Le jugement fut donné après 218 [2+1+8=11] jours d’audition de 236 [2+3+6=11] témoins, écoutés pendant 11 mois et produisant 5330 [5+3+3=11] documents sur 22 [2×11] accusés et 11 condamnés à mort présents : Hermann Göring, Robert Ley, Hans Frank, Alfred Jodl, Ernst Kaltenbrunner, Wilhelm Keitel, Joachim von Ribbentrop, Alfred Rosenberg, Fritz Saukel, Arthur Seyss-Inquart et Julius Sreicher.

Louis Marschalko, écrivain de pièces de théâtre et poète, nationaliste hongrois et auteur en 1958 de The World Conquerors : The Real War Criminals (Les conquérants du monde : les réels criminels de guerre) observe : « Sur les trois mille employés du tribunal de Nuremberg, 2 400 étaient juifs. Beaucoup d’entre eux portaient indument des uniformes. Dans les salles du tribunal de Nuremberg, des juifs triomphants s’opposaient aux malchanceux et aux prisonniers assis sur le banc des accusés par des logorrhées de mensonges et des fausses preuves. »

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